Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le rappeur âgé de 30 ans semble parfaitement à l’aise dans le rôle de celui qui cherche à protéger les siens alors que la violence va crescendo dans les couloirs du bâtiment.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le cruel sentiment d’inexorabilité qui rend La Tour si oppressant, et auquel Nicloux ne cède rien, répond à autre chose qu’à un regard impitoyablement distant, qui observerait les humains tels des rats de laboratoire se débattant en vain dans un vivarium piégé (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
La construction du long métrage est faite de manière intelligente pour éviter l'essoufflement.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
La Tour assume une position rare, y compris (et surtout) dans le cinéma français.
Le Monde
par J. Ma.
A 56 ans, ce réalisateur n’aime rien tant que l’expérimentation et la provocation. Dans La Tour, pas l’ombre d’une vedette, et un genre, l’horreur, auquel il ne s’était encore jamais frotté. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Gilles Esposito
Nicloux réussit son coup grâce à la sécheresse du récit. [...] En outre, "La Tour" ne craint pas de se coltiner aux fractures de la société hexagonale.
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Guillaume Nicloux dérange avec ce film de genre inquiétant et pessimiste.
Voici
par La Rédaction
Derrière sa dimension de huis clos fantastique, La Tour distille un propos d'un pessimisme social radical à l'heure de la France archipélisée. L'horreur, la vraie, elle est là.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Derrière une fable pessimiste sur le devenir de l'humanité, la hantise d'un cinéaste inquiet quant à l'évolution du cinéma se fait plus touchante.
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
Avare d'images sanglantes, le cinéaste laisse l'imagination du spectateur s'envoler vers les pensées et angoisses les plus inconcevables et horrifiques.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le touche-à-tout Guillaume Nicloux s’essaye au film d’horreur en imaginant des habitants piégés dans un immeuble. Une vision radicale qui souffre de sa noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
L’histoire comporte cependant suffisamment de rebondissements pour que l’on n’éprouve aucun ennui devant ce long-métrage qui exploite au mieux ses décors limités.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Passé le quart d’heure d’exposition, particulièrement abrasif, le film ne fait plus que s’enfoncer toujours plus loin dans l’horreur sans qu’aucune pulsion ne vienne le porter ailleurs, à un autre niveau que celui de la démonstration de force – oppressante, dérangeante, jusqu’au-boutiste, mais in fine, un peu vaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Malgré son interprétation inégale, le film mérite le détour. Ne serait-ce que pour sa vision angoissante et angoissée d’une France aux abois, tentée par toutes les formes de repli, identitaire et communautaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Qu’importe, malgré le soin apporté aux cadres, on n’y croit pas. L’interprétation est médiocre, le scénario, écrit à la truelle, et la tension, absente. Pire, sa vision du repli identitaire laisse autant à désirer qu’il donne au nihilisme du film un goût saumâtre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
“Vous allez regretter votre dernier confinement”, promettait l’affiche de La Tour. En découvrant ce nouveau film de G. Nicloux, véritable couteau suisse du cinéma français, on pourra en effet regretter d’être sorti de chez soi pour le découvrir en salle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Guillaume Nicloux rejoue le confinement dans une parabole fantastique qui arrive un peu tard et patauge dans les banalités.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un huis clos fantastique qui peine à tenir la distance.
Première
par Thierry Chèze
Mais une fois cette base et la métaphore sociale posée, le récit qui a la bonne idée de ne pas s’échiner à tout expliquer a cependant tendance à bégayer et à tirer à la ligne pour tenir 90 minutes.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’idée générale du film est vraiment bonne, on se demande pourquoi le talentueux Guillaume Nicloux est allé se perdre dans un récit aussi confus et violent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Malgré sa fureur apparente, le film ne fait qu'aligner sagement un ensemble de certitudes – et pas des plus glorieuses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Geste radical et troublant mais atmosphère nihiliste, philosophie sectaire, dialogues nébuleux, morts atroces... et no future. Un peu comme si les personnages et le récit avaient été avalés par ces mystérieuses ténèbres. Le glauque, lui, a résisté.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Après une mise en bouche prometteuse, le dispositif s’effondre, tout simplement parce qu’il repose sur un scénario de court métrage. Pour compenser, ce survival à huis clos enchaîne les provocations gratuites et embarrassantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
20 Minutes
Le rappeur âgé de 30 ans semble parfaitement à l’aise dans le rôle de celui qui cherche à protéger les siens alors que la violence va crescendo dans les couloirs du bâtiment.
Cahiers du Cinéma
Le cruel sentiment d’inexorabilité qui rend La Tour si oppressant, et auquel Nicloux ne cède rien, répond à autre chose qu’à un regard impitoyablement distant, qui observerait les humains tels des rats de laboratoire se débattant en vain dans un vivarium piégé (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
La construction du long métrage est faite de manière intelligente pour éviter l'essoufflement.
Le Dauphiné Libéré
La Tour assume une position rare, y compris (et surtout) dans le cinéma français.
Le Monde
A 56 ans, ce réalisateur n’aime rien tant que l’expérimentation et la provocation. Dans La Tour, pas l’ombre d’une vedette, et un genre, l’horreur, auquel il ne s’était encore jamais frotté. A ne pas manquer.
Mad Movies
Nicloux réussit son coup grâce à la sécheresse du récit. [...] En outre, "La Tour" ne craint pas de se coltiner aux fractures de la société hexagonale.
Télé 2 semaines
Guillaume Nicloux dérange avec ce film de genre inquiétant et pessimiste.
Voici
Derrière sa dimension de huis clos fantastique, La Tour distille un propos d'un pessimisme social radical à l'heure de la France archipélisée. L'horreur, la vraie, elle est là.
CinemaTeaser
Derrière une fable pessimiste sur le devenir de l'humanité, la hantise d'un cinéaste inquiet quant à l'évolution du cinéma se fait plus touchante.
L'Ecran Fantastique
Avare d'images sanglantes, le cinéaste laisse l'imagination du spectateur s'envoler vers les pensées et angoisses les plus inconcevables et horrifiques.
Le Figaro
Le touche-à-tout Guillaume Nicloux s’essaye au film d’horreur en imaginant des habitants piégés dans un immeuble. Une vision radicale qui souffre de sa noirceur.
Le Parisien
L’histoire comporte cependant suffisamment de rebondissements pour que l’on n’éprouve aucun ennui devant ce long-métrage qui exploite au mieux ses décors limités.
Libération
Passé le quart d’heure d’exposition, particulièrement abrasif, le film ne fait plus que s’enfoncer toujours plus loin dans l’horreur sans qu’aucune pulsion ne vienne le porter ailleurs, à un autre niveau que celui de la démonstration de force – oppressante, dérangeante, jusqu’au-boutiste, mais in fine, un peu vaine.
Télérama
Malgré son interprétation inégale, le film mérite le détour. Ne serait-ce que pour sa vision angoissante et angoissée d’une France aux abois, tentée par toutes les formes de repli, identitaire et communautaire.
L'Obs
Qu’importe, malgré le soin apporté aux cadres, on n’y croit pas. L’interprétation est médiocre, le scénario, écrit à la truelle, et la tension, absente. Pire, sa vision du repli identitaire laisse autant à désirer qu’il donne au nihilisme du film un goût saumâtre.
Les Fiches du Cinéma
“Vous allez regretter votre dernier confinement”, promettait l’affiche de La Tour. En découvrant ce nouveau film de G. Nicloux, véritable couteau suisse du cinéma français, on pourra en effet regretter d’être sorti de chez soi pour le découvrir en salle.
Les Inrockuptibles
Guillaume Nicloux rejoue le confinement dans une parabole fantastique qui arrive un peu tard et patauge dans les banalités.
Ouest France
Un huis clos fantastique qui peine à tenir la distance.
Première
Mais une fois cette base et la métaphore sociale posée, le récit qui a la bonne idée de ne pas s’échiner à tout expliquer a cependant tendance à bégayer et à tirer à la ligne pour tenir 90 minutes.
aVoir-aLire.com
Si l’idée générale du film est vraiment bonne, on se demande pourquoi le talentueux Guillaume Nicloux est allé se perdre dans un récit aussi confus et violent.
Critikat.com
Malgré sa fureur apparente, le film ne fait qu'aligner sagement un ensemble de certitudes – et pas des plus glorieuses.
La Voix du Nord
Geste radical et troublant mais atmosphère nihiliste, philosophie sectaire, dialogues nébuleux, morts atroces... et no future. Un peu comme si les personnages et le récit avaient été avalés par ces mystérieuses ténèbres. Le glauque, lui, a résisté.
Le Journal du Dimanche
Après une mise en bouche prometteuse, le dispositif s’effondre, tout simplement parce qu’il repose sur un scénario de court métrage. Pour compenser, ce survival à huis clos enchaîne les provocations gratuites et embarrassantes.