Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Avec une exceptionnelle acuité, Poppy Field met ainsi en lumière les fissures d’une humanité constamment au bord du chaos, tiraillée entre une oppression permanente et insidieuse et un désir de vie conduisant ceux qui l’éprouvent à la démence lorsqu’ils se sentent menacés…
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Après une première partie centrée sur le couple, ce premier film immersif et tendu s’arrime à son personnage principal pris dans le chaos de la salle. La caméra, tour à tour mobile et fixe, saisit avec acuité son ressenti, entre peur et culpabilité, au fil de plans séquences tournés façon documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
La sortie en France de Poppy Field (littéralement champ de coquelicots), premier film d’Eugen Jebeleanu, est une nouvelle bonne surprise. Ne serait-ce que parce que son sujet massif – l’homosexualité ordinaire dans une Roumanie qui peine à l’accepter – est abordé de biais par un “drame” domestique a priori anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
Dès la première scène d'intimité entre les deux hommes, on a senti un excellent directeur d'acteurs. La suite est tout aussi remarquable, presque en huis clos, constamment sur les personnages, dans un dépouillement total, avec juste des gros plans.
Télérama
par Cécile Mury
À la fois victime et complice des préjugés crasseux de son entourage, Cristi (l’excellent et sobre Conrad Mericoffer) protège à tout prix le secret de son homosexualité, y compris à coups de poing, lorsque l’un des spectateurs reconnaît en lui un ancien amant. Saisissant portrait d’un homme emmuré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par JPEG - 152.8 ko Laurent Cambon
Un premier film maîtrisé, emprunt de sensualité et de dureté, qui décrit avec force les ravages de l’homophobie en Roumanie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La réussite de Poppy Field tient à sa manière de capter le mal-être du protagoniste et son glissement progressif vers la schizophrénie. Les très longs plans serrés dans des espaces clos (appartement, voiture, cinéma) renforcent le sentiment d’isolement du policier.
L'Obs
par F. F.
Ce premier film d’un metteur en scène de théâtre est acéré, parfois handicapé par un manque de moyens. Mais la violence de la situation et la force de l’interprétation emportent tout. C’est court, simple, direct et fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Eugen Jebeleanu, connu chez nous comme homme de théâtre, réussit à créer un drame psychologique tendu sur un sujet de société encore brûlant d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
L’intérêt de Poppy Field se trouve, davantage que dans un récit édifiant, dans les choix formels d’Eugen Jebeleanu : mettant à profit son expérience de scénographe, il organise de longs plans caméra à l’épaule, dans un 16 mm granuleux, rêche qui annonce une expérience immersive, quasi documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par J. Ma.
Perclus de longueurs, dépourvu de profondeur, voilà un récit qui manque singulièrement de substance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par La Rédaction
Mais Poppy field passe à côté de son sujet. L’intrigue – un huis-clos dans un théâtre entre limiers à gros bras, militants conservateurs affligeants et pro-LGBT – piétine, les dialogues sonnent creux jusqu’à une fin bâclée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Avec une exceptionnelle acuité, Poppy Field met ainsi en lumière les fissures d’une humanité constamment au bord du chaos, tiraillée entre une oppression permanente et insidieuse et un désir de vie conduisant ceux qui l’éprouvent à la démence lorsqu’ils se sentent menacés…
Le Journal du Dimanche
Après une première partie centrée sur le couple, ce premier film immersif et tendu s’arrime à son personnage principal pris dans le chaos de la salle. La caméra, tour à tour mobile et fixe, saisit avec acuité son ressenti, entre peur et culpabilité, au fil de plans séquences tournés façon documentaire.
Les Inrockuptibles
La sortie en France de Poppy Field (littéralement champ de coquelicots), premier film d’Eugen Jebeleanu, est une nouvelle bonne surprise. Ne serait-ce que parce que son sujet massif – l’homosexualité ordinaire dans une Roumanie qui peine à l’accepter – est abordé de biais par un “drame” domestique a priori anecdotique.
Positif
Dès la première scène d'intimité entre les deux hommes, on a senti un excellent directeur d'acteurs. La suite est tout aussi remarquable, presque en huis clos, constamment sur les personnages, dans un dépouillement total, avec juste des gros plans.
Télérama
À la fois victime et complice des préjugés crasseux de son entourage, Cristi (l’excellent et sobre Conrad Mericoffer) protège à tout prix le secret de son homosexualité, y compris à coups de poing, lorsque l’un des spectateurs reconnaît en lui un ancien amant. Saisissant portrait d’un homme emmuré.
aVoir-aLire.com
Un premier film maîtrisé, emprunt de sensualité et de dureté, qui décrit avec force les ravages de l’homophobie en Roumanie.
Cahiers du Cinéma
La réussite de Poppy Field tient à sa manière de capter le mal-être du protagoniste et son glissement progressif vers la schizophrénie. Les très longs plans serrés dans des espaces clos (appartement, voiture, cinéma) renforcent le sentiment d’isolement du policier.
L'Obs
Ce premier film d’un metteur en scène de théâtre est acéré, parfois handicapé par un manque de moyens. Mais la violence de la situation et la force de l’interprétation emportent tout. C’est court, simple, direct et fort.
Les Fiches du Cinéma
Eugen Jebeleanu, connu chez nous comme homme de théâtre, réussit à créer un drame psychologique tendu sur un sujet de société encore brûlant d’actualité.
Libération
L’intérêt de Poppy Field se trouve, davantage que dans un récit édifiant, dans les choix formels d’Eugen Jebeleanu : mettant à profit son expérience de scénographe, il organise de longs plans caméra à l’épaule, dans un 16 mm granuleux, rêche qui annonce une expérience immersive, quasi documentaire.
Le Monde
Perclus de longueurs, dépourvu de profondeur, voilà un récit qui manque singulièrement de substance.
Première
Mais Poppy field passe à côté de son sujet. L’intrigue – un huis-clos dans un théâtre entre limiers à gros bras, militants conservateurs affligeants et pro-LGBT – piétine, les dialogues sonnent creux jusqu’à une fin bâclée.