Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Nécessaire et profond, en dépit d’un budget bien loin des productions de film en France, le troisième long-métrage de Nora Hamdi est un coup de poing salutaire dans le cœur de tous ces jeunes en peine de définition identitaire et sociale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par G.To.
Venue se loger à Paris et percer dans la peinture, Yasmine doit prendre un nom à consonance occidentale. Ce geste va réveiller une angoisse liée à un secret sur la mort de ses parents en Algérie. Tiré d’un roman, le film multiplie les thèmes sans les creuser.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Chloé Delos- Eray
Ici, l’errance dans la Ville Lumière – dont on ne voit que les recoins – se constitue journal intime didactique sans jamais réussir à dissimuler les fragilités techniques de ce tâtonnement de film, ou la langueur du personnage se transforme en longueur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Yohan Haddad
Ce récit contre l’intolérance aurait pu être convaincant. Mais la réalisatrice Nora Hamdi traite son sujet sur le mode de l’anecdote, en le noyant sous une tonne d’intrigues inspirées par une certaine idée de la Nouvelle Vague. Et le jeu bancal des comédiens n’aide pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Nécessaire et profond, en dépit d’un budget bien loin des productions de film en France, le troisième long-métrage de Nora Hamdi est un coup de poing salutaire dans le cœur de tous ces jeunes en peine de définition identitaire et sociale.
Les Fiches du Cinéma
Venue se loger à Paris et percer dans la peinture, Yasmine doit prendre un nom à consonance occidentale. Ce geste va réveiller une angoisse liée à un secret sur la mort de ses parents en Algérie. Tiré d’un roman, le film multiplie les thèmes sans les creuser.
Première
Ici, l’errance dans la Ville Lumière – dont on ne voit que les recoins – se constitue journal intime didactique sans jamais réussir à dissimuler les fragilités techniques de ce tâtonnement de film, ou la langueur du personnage se transforme en longueur.
Télérama
Ce récit contre l’intolérance aurait pu être convaincant. Mais la réalisatrice Nora Hamdi traite son sujet sur le mode de l’anecdote, en le noyant sous une tonne d’intrigues inspirées par une certaine idée de la Nouvelle Vague. Et le jeu bancal des comédiens n’aide pas.