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Les cascades sont impressionnantes, Ben Affleck est finalement à l'aise dans le rôle-titre, et Jennifer Garner, échappée de sa série ALIAS, incarne parfaitement Elektra. Aux producteurs de transformer l'essai sur le second chapitre, pour ne pas faire de L'Homme sans Peur une icône masquée de plus... ou de trop.
Dans le rôle-titre, Ben Affleck est d'une rare justesse, restituant avec subtilité la versatilité de son personnage vengeur et assassin, qui balance entre vulnérabilité et froide détermination.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) cette farandole de cabrioles et autres castagnes acrobatiques se laisse voir mais n'apporte pas de vraie surprise, sinon une séquence de pure poésie que n'aurait pas renié Paul Eluard lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La suite ressemble à un Batman mâtiné de Superman, sans le peps visuel qu'on apprécie généralement dans ce genre de productions. Sans mauvais goût non plus. Cette bande dessinée pour le grand écran est sage comme un livre d'images.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Daredevil est un catalogue de clichés. Rien n'y échappe. Ni l'histoire (dont on devine le déroulement de A à Z), ni les scènes d'action (énième démarquage hongkongais), ni la psychologie (moi bon, toi méchant)...
La critique complète est disponible sur le site Aden
On n'ajoutera pas grand-chose à cela, sinon que la séquence d'action la plus spectaculaire reste la scène coucherie façon Feux de l'amour entre Matt et sa copine, avec corps en feu, peau de bête, et cheminée bien alimentée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le tout est aggravé par l'absence de charisme de Ben Affleck. Jennifer Garner, héroïne de la série Alias, garde sa dignité dans le naufrage : le signe d'un talent indiscutable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce faussement jeune et leste Affleck est un gros défaut (il est empâté) de ce retour du refoulé "Marvel Comics". Le précédent, Spider-man, était fade, comme Batman, The Mask ou Dick Tracy avant ; DareDevil est honteux. Bruyant, laid, con, bushien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaroscope
Ben Affleck a donné du corps, de l'esprit, de l'humour à son Daredevil. Il a réussi à le rendre attachant, intrigant.
MCinéma.com
Les cascades sont impressionnantes, Ben Affleck est finalement à l'aise dans le rôle-titre, et Jennifer Garner, échappée de sa série ALIAS, incarne parfaitement Elektra. Aux producteurs de transformer l'essai sur le second chapitre, pour ne pas faire de L'Homme sans Peur une icône masquée de plus... ou de trop.
Première
Dans le rôle-titre, Ben Affleck est d'une rare justesse, restituant avec subtilité la versatilité de son personnage vengeur et assassin, qui balance entre vulnérabilité et froide détermination.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Produit du temps, Daredevil n'éblouit brièvement que par sa lumineuse cécité.
Cinopsis.com
En bref, DAREDEVIL, même si il est loin d'innover en la matière, est un spectacle réussi qui plaira à toute la famille...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
(...) cette farandole de cabrioles et autres castagnes acrobatiques se laisse voir mais n'apporte pas de vraie surprise, sinon une séquence de pure poésie que n'aurait pas renié Paul Eluard lui-même.
Télérama
La suite ressemble à un Batman mâtiné de Superman, sans le peps visuel qu'on apprécie généralement dans ce genre de productions. Sans mauvais goût non plus. Cette bande dessinée pour le grand écran est sage comme un livre d'images.
Aden
Daredevil est un catalogue de clichés. Rien n'y échappe. Ni l'histoire (dont on devine le déroulement de A à Z), ni les scènes d'action (énième démarquage hongkongais), ni la psychologie (moi bon, toi méchant)...
Chronic'art.com
On n'ajoutera pas grand-chose à cela, sinon que la séquence d'action la plus spectaculaire reste la scène coucherie façon Feux de l'amour entre Matt et sa copine, avec corps en feu, peau de bête, et cheminée bien alimentée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Le tout est aggravé par l'absence de charisme de Ben Affleck. Jennifer Garner, héroïne de la série Alias, garde sa dignité dans le naufrage : le signe d'un talent indiscutable.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Ce faussement jeune et leste Affleck est un gros défaut (il est empâté) de ce retour du refoulé "Marvel Comics". Le précédent, Spider-man, était fade, comme Batman, The Mask ou Dick Tracy avant ; DareDevil est honteux. Bruyant, laid, con, bushien.
Mad Movies
La justice est aveugle, le réalisateur aussi...
Novaplanet.com
Au final, il ne reste qu'un mauvais film avec un type ridicule en collant rouge.
TéléCinéObs
Ben Affleck, looké gravure de mode, la mâchoire plus pendante que jamais, a le charisme d'un parpaing.
Zurban
Mark Steven Johnson ne parvient jamais à emballer sa machine. Dire qu'on reste plutôt déçu relève de l'euphémisme.