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Dans un film noir sidérant d'invention, Emin Alper rappelle que le cinéma, parfois, peut contribuer à la lutte contre l'abjection. Une des révélations du printemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Un thriller brûlant, peut-être l'un des meilleurs de l'année, à quelques jours de l'élection présidentielle en Turquie, où Erdogan brigue un nouveau mandat.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Solaire et sombre, ce thriller politique met en lumière, au risque de se brûler, ce qui se joue depuis le trop long mandat de Recep Tayyip Erdogan, à savoir l’institutionnalisation de la corruption doublée d’un système de terreur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Sous forme de thriller sec et impeccable, Emin Alper, 49 ans, livre un réquisitoire implacable sur la corruption systémique d’une Turquie menaçante et paranoïaque.
Un film dont la colère sourde s'exprime au travers d'une mise en scène envoûtante et d'un casting parfait. Burning Days se sert du réel, et du réel seulement, pour créer de l'épouvante autour d'une situation sociale et politique alarmante. Un séduisant cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La force de ce film au scénario dédaléen, qui réconcilierait Nuri Bilge Ceylan et Asghar Farhadi, repose aussi sur ses équivoques : qui manipule qui ? Le chevalier blanc est-il vraiment si blanc, et son allié journaliste, si sincère ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Une fable politique aux allures de polar brûlant dans laquelle le réalisateur turc Emin Alper dénonce avec brio la dérive autoritaire et populiste de son pays, la Turquie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La dénonciation de la corruption des élites et de leur extrême violence est au cœur du film d’Emin Alper qui prend la forme d’un thriller paranoïaque affolant. Le cinéaste déploie un scénario tendu, dans une fiction éthique axée sur le jeune juge et placée de son point de vue critique et moral, sans compromis.
Burning Days, présenté au dernier Festival de Cannes dans la section Un certain regard, tient du western et du thriller paranoïaque. Plus Emre enquête et envoie les notables en prison, plus il construit lui-même le piège qui finira par l'enfermer. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Emin Alper impressionne avec sa mise en scène, qui brille par son découpage des plans remarquable et orchestre une montée en puissance progressive. Jusqu’à flirter avec le western.
Burning days raconte le choc tellurique entre Turquie d’en haut et d’en bas, entre progressisme et populisme, où tous les coups semblent permis pour que rien ne change, sur fond de masculinité toxique. Le tout dans une ambiance de pur cauchemar où, par une réalisation inspirée, le réalisme flirte régulièrement avec le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les gouffres qui environnent la ville deviennent ainsi comme une figure du paysage mental de ce film : celle d’un trou noir où le populisme, la corruption et l’enrichissement sans limite des puissants, le bâillonnement de l’opposition et la crédulité des peuples menacent de faire sombrer le monde, au sens civique, moral et écologique de cette chute.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
De la première à la dernière image, Burning Days progresse ainsi comme une lente hallucination, hélas bien bâtie sur la réalité sociopolitique de son pays.
Peinture d’un étouffoir mêlant pathologies sociales, politiques, environnementales, Burning Days nous avait un peu perdu à Cannes. Le courage frondeur de son auteur incite plutôt à en réévaluer à la hausse le climat intoxiqué de cocotte-minute caniculaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Outre la tentative d’introduire ponctuellement dans l’image des éléments hallucinatoires (délires du protagoniste après avoir été drogué par ses ennemis), Burning Days se limite à un style lourdement appuyé : vision esthétisante de la nature, recours à une musique pompeuse.
Les Echos
Dans un film noir sidérant d'invention, Emin Alper rappelle que le cinéma, parfois, peut contribuer à la lutte contre l'abjection. Une des révélations du printemps.
Marianne
Un thriller brûlant, peut-être l'un des meilleurs de l'année, à quelques jours de l'élection présidentielle en Turquie, où Erdogan brigue un nouveau mandat.
20 Minutes
Le réalisateur de « Derrière les colline » signe un film haletant découvert à Cannes l’an passé.
Bande à part
Solaire et sombre, ce thriller politique met en lumière, au risque de se brûler, ce qui se joue depuis le trop long mandat de Recep Tayyip Erdogan, à savoir l’institutionnalisation de la corruption doublée d’un système de terreur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sous forme de thriller sec et impeccable, Emin Alper, 49 ans, livre un réquisitoire implacable sur la corruption systémique d’une Turquie menaçante et paranoïaque.
Ecran Large
Un film dont la colère sourde s'exprime au travers d'une mise en scène envoûtante et d'un casting parfait. Burning Days se sert du réel, et du réel seulement, pour créer de l'épouvante autour d'une situation sociale et politique alarmante. Un séduisant cauchemar.
L'Obs
La force de ce film au scénario dédaléen, qui réconcilierait Nuri Bilge Ceylan et Asghar Farhadi, repose aussi sur ses équivoques : qui manipule qui ? Le chevalier blanc est-il vraiment si blanc, et son allié journaliste, si sincère ?
La Croix
Une fable politique aux allures de polar brûlant dans laquelle le réalisateur turc Emin Alper dénonce avec brio la dérive autoritaire et populiste de son pays, la Turquie.
Le Dauphiné Libéré
La dénonciation de la corruption des élites et de leur extrême violence est au cœur du film d’Emin Alper qui prend la forme d’un thriller paranoïaque affolant. Le cinéaste déploie un scénario tendu, dans une fiction éthique axée sur le jeune juge et placée de son point de vue critique et moral, sans compromis.
Le Figaro
Burning Days, présenté au dernier Festival de Cannes dans la section Un certain regard, tient du western et du thriller paranoïaque. Plus Emre enquête et envoie les notables en prison, plus il construit lui-même le piège qui finira par l'enfermer. A voir.
Le Journal du Dimanche
Emin Alper impressionne avec sa mise en scène, qui brille par son découpage des plans remarquable et orchestre une montée en puissance progressive. Jusqu’à flirter avec le western.
Le Parisien
Ce polar sur la corruption dans un petit village turc, très efficace, fait froid dans le dos.
Première
Burning days raconte le choc tellurique entre Turquie d’en haut et d’en bas, entre progressisme et populisme, où tous les coups semblent permis pour que rien ne change, sur fond de masculinité toxique. Le tout dans une ambiance de pur cauchemar où, par une réalisation inspirée, le réalisme flirte régulièrement avec le fantastique.
Télérama
Corruption, ambiguïté, chasse à l’homme : un sommet de tension signé Emin Alper.
Voici
Un thriller turc aussi captivant que très actuel.
aVoir-aLire.com
Un thriller palpitant, subtilement construit, et un portrait sans concessions de la corruption en Turquie.
Le Monde
Les gouffres qui environnent la ville deviennent ainsi comme une figure du paysage mental de ce film : celle d’un trou noir où le populisme, la corruption et l’enrichissement sans limite des puissants, le bâillonnement de l’opposition et la crédulité des peuples menacent de faire sombrer le monde, au sens civique, moral et écologique de cette chute.
Les Fiches du Cinéma
Emin Alper réalise un film qui retient l’attention par des scènes fortes, mais qui manque de subtilité pour pleinement convaincre.
Les Inrockuptibles
De la première à la dernière image, Burning Days progresse ainsi comme une lente hallucination, hélas bien bâtie sur la réalité sociopolitique de son pays.
Libération
Peinture d’un étouffoir mêlant pathologies sociales, politiques, environnementales, Burning Days nous avait un peu perdu à Cannes. Le courage frondeur de son auteur incite plutôt à en réévaluer à la hausse le climat intoxiqué de cocotte-minute caniculaire.
Paris Match
Un grand film qui sait fiévreusement mêler les genres.
Sud Ouest
Ce thriller métaphorique sonde les ressorts du populisme. Plus subtil dans son propos que dans sa mise en scène.
Cahiers du Cinéma
Outre la tentative d’introduire ponctuellement dans l’image des éléments hallucinatoires (délires du protagoniste après avoir été drogué par ses ennemis), Burning Days se limite à un style lourdement appuyé : vision esthétisante de la nature, recours à une musique pompeuse.