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25 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Hlynur Pálmason est grand par sa vision, son talent, et sa méticulosité à capter les tourments humains, ici transcendés par un voyage géographique unique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Pálmason ne tombe pas avec son nouveau film dans le piège de la folie des grandeurs, ne se perd pas dans cet académisme béat qui l'accompagne souvent ; nous parlerons plutôt d'une libération des ambitions d'un auteur visant à approfondir encore un peu les thématiques qui semblent constituer son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Entre quête spirituelle et voyage métaphysique, Godland est un long-métrage en état de plénitude, narrative et visuelle. Un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Hypnotique dans ses images et son rythme, habité par l’acteur danois halluciné Elliott Crosset Hove, Godland donne corps aussi à la meurtrissure des chairs et à la putréfaction des cadavres. Sans gratuité aucune, le film visualise la tragédie d’une peur cosmique et le combat d’un homme à la surmonter, avec la poésie d’un magicien de la lumière. Sublime.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le troisième long métrage de l’Islandais Hlynur Pálmason est une merveille qui ferait de nous tous des panthéistes, gorgé qu’il est de plans presque surnaturels révélant les confins islandais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
De Pálmason, il ne faut attendre ni complexe nordique du surcadrage, ni petite musique de l’insolite dépressif ; son cinéma est au contraire incroyablement accueillant, empli du monde, gonflé de sensations, notamment sonores – le tapis de mousse humide que des pieds nus foulent au matin après une nuit de campement.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Cinéma Présenté à un Certain regard lors du dernier Festival de Cannes, Godland, de Hlynur Palmason, est une traversée insensée de l’île à la fin du XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par F. F.
Malgré la longueur, la maîtrise de la mise en scène étreint ce film inhabituel, l’équivalent d’un chant grégorien, qui élève l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un film à la beauté stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Une intensité qui fait de Godland une terre de cinéma joliment habitée.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Il y a du Aguirre dans cette fuite en avant, comme une sorte de rêve solennel. Bergman n’est pas absent et il n’est pas interdit de convoquer Dreyer. Cela fait du monde. Le film le mérite. Dieu y reconnaîtra les siens. Espérons qu’il ne sera pas le seul.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au fil d’un récit qui se traîne, mais hypnotise par la puissance de la nature qu’il magnifie, on entre dans le grand imagier d’un autre temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
On guette, dans l’attente que Godland succombe à la joliesse, mais tout y est profondément organique, nécessaire, musical.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le cinéaste islandais Hlynur Palmason signe une aventure dépaysante dans l'Islande du XIXe siècle. En dépit de sa longueur, il emmène ses spectateurs dans des endroits reculés, qu'aucun décor ne saurait imaginer. Un objet esthétique splendide et une réflexion rare sur la colonisation du Grand Nord.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
L’Islandais Hlynur Pálmason continue d’imposer la puissance de sa mise en scène. Ce périple d’un jeune prêtre luthérien danois dans l’Islande du XIXe siècle est un formidable voyage à la réalisation aussi ample que les cerveaux des personnages sont étriqués.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Du burlesque en sourdine de ses deux premiers films, le cinéaste islandais en expulse la charge comique pour ne garder que la grande quête formelle et existentielle du genre : saisir les défaillances du corps en proie à un environnement hostile.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Baptiste Roux
La réussite de Godland réside sans doute dans sa capacité à ressaisir les motifs de l’intégration délicate et de l’hostilité larvée pour les orienter dans une direction inattendue, qui relance la machine narrative.
Première
par Gaël Golhen
Un récit humain, un vrai voyage sensoriel doublé d’un geste plastique phénoménal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce grand poème épique, qui tient aussi de l’œuvre d’un naturaliste, demeure l’histoire de créatures minuscules, prises dans la fugacité de leur destin. Le réalisateur islandais Hlynur Pálmason les ressuscite avec un art à la fois spectaculaire et poétique dont la puissance éblouit.
Télérama
par Samuel Douhaire
Une réflexion sur la force du collectif, dans un film majestueux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce splendide récit d’un périple physique et intérieur est un choc visuel et narratif, quelque part entre Herzog et Bergman. Du grand art !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Au bout d'une grosse heure redoutable et d'une seconde plus convenue, le film parvient quand même à s'achever avec force sur une image dévorante.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Parfois trop rigide, Godland s’avère plus convaincant lorsqu’il laisse sourdre de son paysage une force mystique débordant de son dispositif, pour laisser l’imagination des spectateurs s’exprimer librement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Magnifique du point de vue formel, cette épopée dramatique s’avère au final trop longue, abrupte et parfois ennuyeuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Des images stupéfiantes de beauté mais une austérité qui rend quand même le voyage ardu.
Bande à part
Hlynur Pálmason est grand par sa vision, son talent, et sa méticulosité à capter les tourments humains, ici transcendés par un voyage géographique unique.
Culturopoing.com
Pálmason ne tombe pas avec son nouveau film dans le piège de la folie des grandeurs, ne se perd pas dans cet académisme béat qui l'accompagne souvent ; nous parlerons plutôt d'une libération des ambitions d'un auteur visant à approfondir encore un peu les thématiques qui semblent constituer son cinéma.
Ecran Large
Entre quête spirituelle et voyage métaphysique, Godland est un long-métrage en état de plénitude, narrative et visuelle. Un chef-d’œuvre.
Franceinfo Culture
Hypnotique dans ses images et son rythme, habité par l’acteur danois halluciné Elliott Crosset Hove, Godland donne corps aussi à la meurtrissure des chairs et à la putréfaction des cadavres. Sans gratuité aucune, le film visualise la tragédie d’une peur cosmique et le combat d’un homme à la surmonter, avec la poésie d’un magicien de la lumière. Sublime.
Libération
Le troisième long métrage de l’Islandais Hlynur Pálmason est une merveille qui ferait de nous tous des panthéistes, gorgé qu’il est de plans presque surnaturels révélant les confins islandais.
Cahiers du Cinéma
De Pálmason, il ne faut attendre ni complexe nordique du surcadrage, ni petite musique de l’insolite dépressif ; son cinéma est au contraire incroyablement accueillant, empli du monde, gonflé de sensations, notamment sonores – le tapis de mousse humide que des pieds nus foulent au matin après une nuit de campement.
L'Humanité
Cinéma Présenté à un Certain regard lors du dernier Festival de Cannes, Godland, de Hlynur Palmason, est une traversée insensée de l’île à la fin du XIXe siècle.
L'Obs
Malgré la longueur, la maîtrise de la mise en scène étreint ce film inhabituel, l’équivalent d’un chant grégorien, qui élève l’esprit.
La Croix
Un film à la beauté stupéfiante.
La Septième Obsession
Une intensité qui fait de Godland une terre de cinéma joliment habitée.
Le Figaro
Il y a du Aguirre dans cette fuite en avant, comme une sorte de rêve solennel. Bergman n’est pas absent et il n’est pas interdit de convoquer Dreyer. Cela fait du monde. Le film le mérite. Dieu y reconnaîtra les siens. Espérons qu’il ne sera pas le seul.
Le Journal du Dimanche
Au fil d’un récit qui se traîne, mais hypnotise par la puissance de la nature qu’il magnifie, on entre dans le grand imagier d’un autre temps.
Le Monde
On guette, dans l’attente que Godland succombe à la joliesse, mais tout y est profondément organique, nécessaire, musical.
Les Echos
Le cinéaste islandais Hlynur Palmason signe une aventure dépaysante dans l'Islande du XIXe siècle. En dépit de sa longueur, il emmène ses spectateurs dans des endroits reculés, qu'aucun décor ne saurait imaginer. Un objet esthétique splendide et une réflexion rare sur la colonisation du Grand Nord.
Les Fiches du Cinéma
L’Islandais Hlynur Pálmason continue d’imposer la puissance de sa mise en scène. Ce périple d’un jeune prêtre luthérien danois dans l’Islande du XIXe siècle est un formidable voyage à la réalisation aussi ample que les cerveaux des personnages sont étriqués.
Les Inrockuptibles
Du burlesque en sourdine de ses deux premiers films, le cinéaste islandais en expulse la charge comique pour ne garder que la grande quête formelle et existentielle du genre : saisir les défaillances du corps en proie à un environnement hostile.
Positif
La réussite de Godland réside sans doute dans sa capacité à ressaisir les motifs de l’intégration délicate et de l’hostilité larvée pour les orienter dans une direction inattendue, qui relance la machine narrative.
Première
Un récit humain, un vrai voyage sensoriel doublé d’un geste plastique phénoménal.
Sud Ouest
Ce grand poème épique, qui tient aussi de l’œuvre d’un naturaliste, demeure l’histoire de créatures minuscules, prises dans la fugacité de leur destin. Le réalisateur islandais Hlynur Pálmason les ressuscite avec un art à la fois spectaculaire et poétique dont la puissance éblouit.
Télérama
Une réflexion sur la force du collectif, dans un film majestueux.
aVoir-aLire.com
Ce splendide récit d’un périple physique et intérieur est un choc visuel et narratif, quelque part entre Herzog et Bergman. Du grand art !
CinemaTeaser
Au bout d'une grosse heure redoutable et d'une seconde plus convenue, le film parvient quand même à s'achever avec force sur une image dévorante.
Critikat.com
Parfois trop rigide, Godland s’avère plus convaincant lorsqu’il laisse sourdre de son paysage une force mystique débordant de son dispositif, pour laisser l’imagination des spectateurs s’exprimer librement.
Le Parisien
Magnifique du point de vue formel, cette épopée dramatique s’avère au final trop longue, abrupte et parfois ennuyeuse.
Ouest France
Des images stupéfiantes de beauté mais une austérité qui rend quand même le voyage ardu.