Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
"Nome" est bien davantage qu’une fresque historique : c’est une fable universelle, une épopée magique, de celles qui font tenir ensemble toutes les faces de l’expérience humaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
« Pourquoi les gens deviennent-ils si mauvais ? », demande le génie, alimentant le paradoxe d’un film qui bouillonne d’énergie, fait vibrer et démythifie dans le même mouvement, nous faisant ressentir en un infini miroitement la vague et son ressac, l’espoir et la désillusion, l’allégresse et le désenchantement. Comme pour mieux nous dire que les révolutions restent à l’image du bois de bombolong : elles (ne) sont (que) de l’étoffe des hommes qui les font.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Nome signifie en créole « homonyme », manière pour le cinéaste de dire que la guerre est l’affaire de tous. Quand la Guinée-Bissau est libérée, des couples dansent, mais il reste comme un goût amer traversant les frontières, nous dit le film, grâce au montage mêlant les époques, mais aussi les morts et les vivants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Transfuge
par Mathieu Guetta
Un film lumineux et désillusionné.
Télérama
par Hélène Marzolf
Ces moments arrachés au passé, loin de nous sortir de l’hypnose, confèrent à Nome une touche fantomatique, comme le surgissement d’une mémoire historique, dont le cinéaste, à la manière d’un archiviste, cherche à fixer la pérennité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Floriane Jacquin
Son film est le témoignage kaléidoscopique d’une guerre qui confronte la Guinée-Bissau à ses paradoxes mais aussi à la mise en récit sincère de son combat émancipateur. Documenter ce conflit ne saurait se limiter au récit de la lutte armée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un choix esthétique judicieux, car au noir et blanc des années 1970 répond une image en quasi sépia écrasée de lumière, gamme chromatique choisie pour la reconstitution contemporaine. Comme si, en marge du devoir de mémoire, le cinéaste opérait un glissement optique pour dire la résonance spectrale du réel lorsqu’il questionne la fiction.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Sana Na N’Hada signe ici une fable amère, porteuse d’une vision âpre sur la Guerre d’indépendance bissao-guinéenne, et le désenchantement qui l’a suivie. Cependant, malgré sa richesse visuelle et thématique, le film n’échappe pas à une certaine lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Parsemé de véritables éclats de grâce, et subitement éclairé de lumières tranchées qui font ressortir la belle précarité de la reconstitution (le film débute en 1969 et semble se finir de nos jours), "Nome" est aussi parcouru par les images filmées à l’époque par le cinéaste, et qui viennent s’entrechoquer à la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Elias Zabalia
A la fois contemplatif et tranchant, Nome nous éclaire sur un conflit méconnu et traite du sujet universel des opprimés et de leur impuissance face au chaos du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
S’il fallait un film pour comprendre la libération de l’occupation portugaise, la création de l’État de Guinée-Bissau, et la faillite qui a succédé dans le pays, Nome est de ceux-là.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
"Nome" est bien davantage qu’une fresque historique : c’est une fable universelle, une épopée magique, de celles qui font tenir ensemble toutes les faces de l’expérience humaine.
Cahiers du Cinéma
« Pourquoi les gens deviennent-ils si mauvais ? », demande le génie, alimentant le paradoxe d’un film qui bouillonne d’énergie, fait vibrer et démythifie dans le même mouvement, nous faisant ressentir en un infini miroitement la vague et son ressac, l’espoir et la désillusion, l’allégresse et le désenchantement. Comme pour mieux nous dire que les révolutions restent à l’image du bois de bombolong : elles (ne) sont (que) de l’étoffe des hommes qui les font.
Le Monde
Nome signifie en créole « homonyme », manière pour le cinéaste de dire que la guerre est l’affaire de tous. Quand la Guinée-Bissau est libérée, des couples dansent, mais il reste comme un goût amer traversant les frontières, nous dit le film, grâce au montage mêlant les époques, mais aussi les morts et les vivants.
Transfuge
Un film lumineux et désillusionné.
Télérama
Ces moments arrachés au passé, loin de nous sortir de l’hypnose, confèrent à Nome une touche fantomatique, comme le surgissement d’une mémoire historique, dont le cinéaste, à la manière d’un archiviste, cherche à fixer la pérennité.
L'Humanité
Son film est le témoignage kaléidoscopique d’une guerre qui confronte la Guinée-Bissau à ses paradoxes mais aussi à la mise en récit sincère de son combat émancipateur. Documenter ce conflit ne saurait se limiter au récit de la lutte armée.
La Septième Obsession
Un choix esthétique judicieux, car au noir et blanc des années 1970 répond une image en quasi sépia écrasée de lumière, gamme chromatique choisie pour la reconstitution contemporaine. Comme si, en marge du devoir de mémoire, le cinéaste opérait un glissement optique pour dire la résonance spectrale du réel lorsqu’il questionne la fiction.
Les Fiches du Cinéma
Sana Na N’Hada signe ici une fable amère, porteuse d’une vision âpre sur la Guerre d’indépendance bissao-guinéenne, et le désenchantement qui l’a suivie. Cependant, malgré sa richesse visuelle et thématique, le film n’échappe pas à une certaine lourdeur.
Libération
Parsemé de véritables éclats de grâce, et subitement éclairé de lumières tranchées qui font ressortir la belle précarité de la reconstitution (le film débute en 1969 et semble se finir de nos jours), "Nome" est aussi parcouru par les images filmées à l’époque par le cinéaste, et qui viennent s’entrechoquer à la fiction.
Première
A la fois contemplatif et tranchant, Nome nous éclaire sur un conflit méconnu et traite du sujet universel des opprimés et de leur impuissance face au chaos du monde.
aVoir-aLire.com
S’il fallait un film pour comprendre la libération de l’occupation portugaise, la création de l’État de Guinée-Bissau, et la faillite qui a succédé dans le pays, Nome est de ceux-là.