Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Marc Arlin
Le film est largement basé sur l'improvisation et, sur ce plan, c'est une réussite. Hormis quelques moments, les actrices ne sont jamais en roue libre, un danger courant de ce genre de pratique. Ce n'est pas la moindre des qualités de ce film honnête, inspiré et rarement ennuyeux.
Première
par Olivier de Bruyn
Radford évite élégamment les pièges du déjà-vu et de la complaisance pleurnicharde. Ni moralisateur ni mélodramatique, Dancing at the blue Iguana instaure une atmosphère équivoque, à peine gâchée par quelques longueurs éparses.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par François Forestier
Sans scénario préalable, le film de Radford s'est construit à partir d'improvisations. Les acteurs, formés au théâtre, ont contribués à définir leur personnage. le résultat est probant. D'autant plus que la mise en scène reste soignée
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Stéphane Brisset
Entre esthétique chorégraphique et naturalisme brutal, Radford entremêle les destins avec brio, slalomant entre les pièges du voyeurisme et de la compassion. A l'aide de comédiennes visiblement très impliquées, il signe une jolie tranche de vie, ni trop sage, ni trop trash.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Didier Peron
Une plongée réaliste dans l'univers du cabaret sexy et une dénonciation raisonnée de l'exploitation des femmes réduites à l'état de proies désirables pour un public d'hommes libidineux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Aden
par Philippe Piazzo
Basé sur l'improvisation de tous les comédiens, le film de Michael Radford pèche par la fadeur de ces tranches de vie et l'approximation de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Florence Colombani
Etonnant que tant de bonnes intentions et de risques artistiques donnent un film aussi conventionnel et ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Elle sont belles (...) les strip-teaseuses du Blue Iguana ! Hélas, on n'arrive pas à s'intéresser à leurs problèmes, et ce malgré le bon travail du réalisateur britannique Michael Radford.
Obejctif-Cinema.com
par Laetitia Heurteau
Le fruit de ce travail artistique commun de longue haleine est Dancing at the blue iguana : "une expérience humaine des plus extraordinaire". Soit. Cependant, et c'est malheureusement le danger premier d'un travail basé sur l'improvisation, le film manque cruellement d'une écriture qui puisse relier véritablement tous ces personnages.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Télérama
par Louis Guichard
Ecrit et réalisé à partir d'ateliers d'improvisation, ce film n'en montre que les effets pervers : concours de pathos, incohérence tous azimuts et cabotinage en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Le film est largement basé sur l'improvisation et, sur ce plan, c'est une réussite. Hormis quelques moments, les actrices ne sont jamais en roue libre, un danger courant de ce genre de pratique. Ce n'est pas la moindre des qualités de ce film honnête, inspiré et rarement ennuyeux.
Première
Radford évite élégamment les pièges du déjà-vu et de la complaisance pleurnicharde. Ni moralisateur ni mélodramatique, Dancing at the blue Iguana instaure une atmosphère équivoque, à peine gâchée par quelques longueurs éparses.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sans scénario préalable, le film de Radford s'est construit à partir d'improvisations. Les acteurs, formés au théâtre, ont contribués à définir leur personnage. le résultat est probant. D'autant plus que la mise en scène reste soignée
Zurban
Entre esthétique chorégraphique et naturalisme brutal, Radford entremêle les destins avec brio, slalomant entre les pièges du voyeurisme et de la compassion. A l'aide de comédiennes visiblement très impliquées, il signe une jolie tranche de vie, ni trop sage, ni trop trash.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Une plongée réaliste dans l'univers du cabaret sexy et une dénonciation raisonnée de l'exploitation des femmes réduites à l'état de proies désirables pour un public d'hommes libidineux.
Aden
Basé sur l'improvisation de tous les comédiens, le film de Michael Radford pèche par la fadeur de ces tranches de vie et l'approximation de la mise en scène.
Le Monde
Etonnant que tant de bonnes intentions et de risques artistiques donnent un film aussi conventionnel et ennuyeux.
Le Parisien
Elle sont belles (...) les strip-teaseuses du Blue Iguana ! Hélas, on n'arrive pas à s'intéresser à leurs problèmes, et ce malgré le bon travail du réalisateur britannique Michael Radford.
Obejctif-Cinema.com
Le fruit de ce travail artistique commun de longue haleine est Dancing at the blue iguana : "une expérience humaine des plus extraordinaire". Soit. Cependant, et c'est malheureusement le danger premier d'un travail basé sur l'improvisation, le film manque cruellement d'une écriture qui puisse relier véritablement tous ces personnages.
Télérama
Ecrit et réalisé à partir d'ateliers d'improvisation, ce film n'en montre que les effets pervers : concours de pathos, incohérence tous azimuts et cabotinage en roue libre.