Nitram
Note moyenne
3,3
29 titres de presse
  • Voici
  • 20 Minutes
  • CinemaTeaser
  • Dernières Nouvelles d'Alsace
  • Ecran Large
  • Elle
  • Le Dauphiné Libéré
  • Le Figaro
  • Le Journal du Dimanche
  • Le Parisien
  • Les Inrockuptibles
  • Marie Claire
  • Ouest France
  • Positif
  • Transfuge
  • Télérama
  • Franceinfo Culture
  • L'Obs
  • La Voix du Nord
  • Les Fiches du Cinéma
  • Mad Movies
  • Paris Match
  • aVoir-aLire.com
  • Critikat.com
  • Le Monde
  • Libération
  • Première
  • Cahiers du Cinéma
  • Les Echos

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

29 critiques presse

Voici

par La Rédaction

Saisissant et bouleversant.

20 Minutes

par Caroline Vié

« Nitram » s’inspire d’un fait divers brutal qui s’est déroulé en Tasmanie dans les années 1990. Le film révèle Caleb Lancry Jones dont c’est le premier rôle principal. Le comédien trentenaire n’a pas volé son Prix d’interprétation à Cannes pour sa composition inquiétante.

La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

CinemaTeaser

par Aurélien Allin

Une étude de personnage complexe et perturbante. Caleb Landry Jones a bien mérité son Prix d’Interprétation à Cannes.

La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

Dernières Nouvelles d'Alsace

par Nathalie Chifflet

Le film de Justin Kurzel fait songer à Bowling for Columbine de Michael Moore, enquête sur la violence provoquée par les armes à feu aux États-Unis, Oscar du Meilleur film documentaire, partant de la tragédie du lycée Columbine dans le Colorado en 1999.

Ecran Large

par Alexandre Janowiak

Justin Kurzel livre encore un drame hyper-solide avec Nitram, histoire glaçante des origines de la violence d'un marginal (Caleb Landry-Jones dingue) appuyée par la noirceur caractéristique du cinéma indé de l'Australien et évitant habilement le danger du sensationnalisme.

La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

Elle

par Françoise Delbecq

Le jeune acteur texan Caleb Landry Jones donne vie à ce personnage incandescent et troublant, enfermé dans une solitude qui l'obsède, avec un talent qui lui a valu le prix d'interprétation masculine au dernier festival de Cannes. Son jeu est tout simplement stupéfiant d'intelligence et d'émotion.

Le Dauphiné Libéré

par Nathalie Chifflet

Le film de Justin Kurzel fait songer à Bowling for Columbine (...) On songe aussi au portrait des auteurs, dans l’indispensable Elephant de Gus van Sant, Palme d’or en 2003 et Prix de la mise en scène.

Le Figaro

par Eric Neuhoff

L’étonnant Caleb Landry Jones prête sa silhouette mollassonne à ce pauvre héros qui roule dans une Volvo jaune avec une planche de surf sur le toit (il ne s’en sert jamais, préfère rêver devant les vagues).

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpeche

Dur et frontal mais jamais complaisant.

La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

Le Parisien

par Catherine Balle

Un drame glaçant, dont la tension monte progressivement.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Les Inrockuptibles

par Jacky Goldberg

Justin Kurzel suit avec délicatesse les déambulations tragicomiques de son antihéros, interprété par un acteur en état de grâce.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Marie Claire

par Emily Barnett

Fort.

Ouest France

par Cédric Page

Mais le film vaut surtout pour l'interprétation de Caleb Landry Jones (...).

Positif

par Eithne O’Neill

Les frustrations montent de toutes parts dans une tension sans relâche qui rive le spectateur à l’écran.

Transfuge

par Serge Kaganski

Ce film est inspiré d’un tragique fait divers. Il saisit parce qu’il laisse le sentiment d’un gâchis humain qui aurait pu être évité et touche pour son portrait d’une forme de monstruosité regardée avec empathie et sans jugement moral facile.

Télérama

par Cécile Mury

Nitram est incarné par le comédien américain Caleb Landry Jones (remarqué, entre autres, dans Get Out, de Jordan Peele, ou encore 3 Billboards, les panneaux de la vengeance, de Martin McDonagh), si dérangeant, si formidable dans son opacité poisseuse qu’il a amplement mérité son prix d’interprétation à Cannes en 2021.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Franceinfo Culture

par Jacky Bornet

La volonté du réalisateur de dénoncer la facilité d’accès aux armes en Australie passe par le portrait d’un jeune adulte qui n’aurait jamais dû pouvoir s’en procurer.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

L'Obs

par Nicolas Schaller

Portrait d’une terrifiante énigme, d’un mal-être à vif que le troublant Caleb Landry Jones (prix d’interprétation mérité à Cannes) fait sien, le film de Justin Kurzel, inlassable dissecteur du mal en milieu familial, épouse l’imprévisibilité de son protagoniste, les à-coups d’une vie en souffrance. Démarche pertinente qui s’étiole dans la dernière demi-heure, plus programmatique.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

La Voix du Nord

par Christophe Caron

Réalisé par Justin Kurzel, Nitram évoque la tuerie de Port-Arthur d’avril 1996 en Tasmanie (35 morts, 23 blessés). On pense lointainement à Elephant, notamment dans la séquence finale, tétanisante.

La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

Les Fiches du Cinéma

par Michael Ghennam

À travers le destin d’un marginal en manque d’affection, J. Kurzel livre un pamphlet glaçant mais inégal sur la violence par arme à feu.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Mad Movies

par Laurent Duroche

[...] "Nitram" évolue sur une corde très raide : privé de l'impact final des actes impardonnables de Martin, le spectateur non australien, qui n'a pas vécu le drame dans sa chair, retient finalement plus son statut de victime que son destin de bourreau.

Paris Match

par Fabrice Leclerc

Mettant avec intelligence la violence à distance, Kurzel maitrise de bout en bout ce film analytique, portrait en creux d’un oublié de la socialisation.

La critique complète est disponible sur le site Paris Match

aVoir-aLire.com

par Gérard Crespo

Ce portrait d’un jeune homme à la dérive est une étude de mœurs bien menée, basée sur un tragique fait divers. L’acteur Caleb Landry Jones y est prodigieux.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Critikat.com

par Corentin Lê

Le film, hésitant et parfois incohérent formellement, se demande en permanence s’il lui faut rester ancré à la psyché de sa figure centrale ou, à l’inverse, prendre ses distances.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Le Monde

par Jacques Mandelbaum

Nitram ne peut en ce sens se prévaloir de la grâce vénéneuse et de l’intuition politique qui faisait du Elephant, de Gus Van Sant, relatant la tuerie du lycée de Columbine, aux Etats-Unis, un très grand film contemporain.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Libération

par Lelo Jimmy Batista

Foutraque et balourd, le film de Justin Kurzel, qui revient sur une tuerie de masse en Australie, s’apitoie sur son protagoniste-assassin, par ailleurs brillamment interprété par Caleb Landry Jones.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Première

par Frédéric Foubert

Mais cette vision sans doute excessivement clinique, trop précautionneuse, ne débouche du coup sur aucun vertige, malgré la présence toujours extraterrestre de Caleb Landry Jones. Son regard translucide de grand enfant triste semble poser une question condamnée à rester sans réponse.

La critique complète est disponible sur le site Première

Cahiers du Cinéma

par Mathieu Macheret

Nitram combine deux tares parmi les plus accablantes de l’auteurisme international. La première est sa contribution à l’édifice du forçage poétique au nom d’une marginalité brandie en étendard. (...) Mais ce n’est pas tout, car à mi-chemin, à la suite d’un accident funeste, l’ensemble révèle sa vraie nature didactique d’avertissement par le catapultage d’une thèse massive contre la libre circulation des armes à feu sur le territoire australien.

Les Echos

par Olivier De Bruyn

Justin Kurzel évoque la tuerie de Port Arthur en Australie en 1996 et dresse avec complaisance un portrait du meurtrier avant l'hécatombe. Sur le fond comme sur la forme, le réalisateur a toujours usé et abusé des surenchères. Hélas, il pratique de même dans ce « Nitram » qui cherche à rendre compte de la folie d'un homme (presque) ordinaire devenu un monstre.

La critique complète est disponible sur le site Les Echos
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