Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Saisissant et bouleversant.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Nitram » s’inspire d’un fait divers brutal qui s’est déroulé en Tasmanie dans les années 1990. Le film révèle Caleb Lancry Jones dont c’est le premier rôle principal. Le comédien trentenaire n’a pas volé son Prix d’interprétation à Cannes pour sa composition inquiétante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une étude de personnage complexe et perturbante. Caleb Landry Jones a bien mérité son Prix d’Interprétation à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le film de Justin Kurzel fait songer à Bowling for Columbine de Michael Moore, enquête sur la violence provoquée par les armes à feu aux États-Unis, Oscar du Meilleur film documentaire, partant de la tragédie du lycée Columbine dans le Colorado en 1999.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Justin Kurzel livre encore un drame hyper-solide avec Nitram, histoire glaçante des origines de la violence d'un marginal (Caleb Landry-Jones dingue) appuyée par la noirceur caractéristique du cinéma indé de l'Australien et évitant habilement le danger du sensationnalisme.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Le jeune acteur texan Caleb Landry Jones donne vie à ce personnage incandescent et troublant, enfermé dans une solitude qui l'obsède, avec un talent qui lui a valu le prix d'interprétation masculine au dernier festival de Cannes. Son jeu est tout simplement stupéfiant d'intelligence et d'émotion.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le film de Justin Kurzel fait songer à Bowling for Columbine (...) On songe aussi au portrait des auteurs, dans l’indispensable Elephant de Gus van Sant, Palme d’or en 2003 et Prix de la mise en scène.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L’étonnant Caleb Landry Jones prête sa silhouette mollassonne à ce pauvre héros qui roule dans une Volvo jaune avec une planche de surf sur le toit (il ne s’en sert jamais, préfère rêver devant les vagues).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Dur et frontal mais jamais complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Un drame glaçant, dont la tension monte progressivement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Justin Kurzel suit avec délicatesse les déambulations tragicomiques de son antihéros, interprété par un acteur en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Fort.
Ouest France
par Cédric Page
Mais le film vaut surtout pour l'interprétation de Caleb Landry Jones (...).
Positif
par Eithne O’Neill
Les frustrations montent de toutes parts dans une tension sans relâche qui rive le spectateur à l’écran.
Transfuge
par Serge Kaganski
Ce film est inspiré d’un tragique fait divers. Il saisit parce qu’il laisse le sentiment d’un gâchis humain qui aurait pu être évité et touche pour son portrait d’une forme de monstruosité regardée avec empathie et sans jugement moral facile.
Télérama
par Cécile Mury
Nitram est incarné par le comédien américain Caleb Landry Jones (remarqué, entre autres, dans Get Out, de Jordan Peele, ou encore 3 Billboards, les panneaux de la vengeance, de Martin McDonagh), si dérangeant, si formidable dans son opacité poisseuse qu’il a amplement mérité son prix d’interprétation à Cannes en 2021.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La volonté du réalisateur de dénoncer la facilité d’accès aux armes en Australie passe par le portrait d’un jeune adulte qui n’aurait jamais dû pouvoir s’en procurer.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Portrait d’une terrifiante énigme, d’un mal-être à vif que le troublant Caleb Landry Jones (prix d’interprétation mérité à Cannes) fait sien, le film de Justin Kurzel, inlassable dissecteur du mal en milieu familial, épouse l’imprévisibilité de son protagoniste, les à-coups d’une vie en souffrance. Démarche pertinente qui s’étiole dans la dernière demi-heure, plus programmatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Réalisé par Justin Kurzel, Nitram évoque la tuerie de Port-Arthur d’avril 1996 en Tasmanie (35 morts, 23 blessés). On pense lointainement à Elephant, notamment dans la séquence finale, tétanisante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
À travers le destin d’un marginal en manque d’affection, J. Kurzel livre un pamphlet glaçant mais inégal sur la violence par arme à feu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Laurent Duroche
[...] "Nitram" évolue sur une corde très raide : privé de l'impact final des actes impardonnables de Martin, le spectateur non australien, qui n'a pas vécu le drame dans sa chair, retient finalement plus son statut de victime que son destin de bourreau.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Mettant avec intelligence la violence à distance, Kurzel maitrise de bout en bout ce film analytique, portrait en creux d’un oublié de la socialisation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce portrait d’un jeune homme à la dérive est une étude de mœurs bien menée, basée sur un tragique fait divers. L’acteur Caleb Landry Jones y est prodigieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Le film, hésitant et parfois incohérent formellement, se demande en permanence s’il lui faut rester ancré à la psyché de sa figure centrale ou, à l’inverse, prendre ses distances.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Nitram ne peut en ce sens se prévaloir de la grâce vénéneuse et de l’intuition politique qui faisait du Elephant, de Gus Van Sant, relatant la tuerie du lycée de Columbine, aux Etats-Unis, un très grand film contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Foutraque et balourd, le film de Justin Kurzel, qui revient sur une tuerie de masse en Australie, s’apitoie sur son protagoniste-assassin, par ailleurs brillamment interprété par Caleb Landry Jones.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Mais cette vision sans doute excessivement clinique, trop précautionneuse, ne débouche du coup sur aucun vertige, malgré la présence toujours extraterrestre de Caleb Landry Jones. Son regard translucide de grand enfant triste semble poser une question condamnée à rester sans réponse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Nitram combine deux tares parmi les plus accablantes de l’auteurisme international. La première est sa contribution à l’édifice du forçage poétique au nom d’une marginalité brandie en étendard. (...) Mais ce n’est pas tout, car à mi-chemin, à la suite d’un accident funeste, l’ensemble révèle sa vraie nature didactique d’avertissement par le catapultage d’une thèse massive contre la libre circulation des armes à feu sur le territoire australien.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Justin Kurzel évoque la tuerie de Port Arthur en Australie en 1996 et dresse avec complaisance un portrait du meurtrier avant l'hécatombe. Sur le fond comme sur la forme, le réalisateur a toujours usé et abusé des surenchères. Hélas, il pratique de même dans ce « Nitram » qui cherche à rendre compte de la folie d'un homme (presque) ordinaire devenu un monstre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Voici
Saisissant et bouleversant.
20 Minutes
« Nitram » s’inspire d’un fait divers brutal qui s’est déroulé en Tasmanie dans les années 1990. Le film révèle Caleb Lancry Jones dont c’est le premier rôle principal. Le comédien trentenaire n’a pas volé son Prix d’interprétation à Cannes pour sa composition inquiétante.
CinemaTeaser
Une étude de personnage complexe et perturbante. Caleb Landry Jones a bien mérité son Prix d’Interprétation à Cannes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le film de Justin Kurzel fait songer à Bowling for Columbine de Michael Moore, enquête sur la violence provoquée par les armes à feu aux États-Unis, Oscar du Meilleur film documentaire, partant de la tragédie du lycée Columbine dans le Colorado en 1999.
Ecran Large
Justin Kurzel livre encore un drame hyper-solide avec Nitram, histoire glaçante des origines de la violence d'un marginal (Caleb Landry-Jones dingue) appuyée par la noirceur caractéristique du cinéma indé de l'Australien et évitant habilement le danger du sensationnalisme.
Elle
Le jeune acteur texan Caleb Landry Jones donne vie à ce personnage incandescent et troublant, enfermé dans une solitude qui l'obsède, avec un talent qui lui a valu le prix d'interprétation masculine au dernier festival de Cannes. Son jeu est tout simplement stupéfiant d'intelligence et d'émotion.
Le Dauphiné Libéré
Le film de Justin Kurzel fait songer à Bowling for Columbine (...) On songe aussi au portrait des auteurs, dans l’indispensable Elephant de Gus van Sant, Palme d’or en 2003 et Prix de la mise en scène.
Le Figaro
L’étonnant Caleb Landry Jones prête sa silhouette mollassonne à ce pauvre héros qui roule dans une Volvo jaune avec une planche de surf sur le toit (il ne s’en sert jamais, préfère rêver devant les vagues).
Le Journal du Dimanche
Dur et frontal mais jamais complaisant.
Le Parisien
Un drame glaçant, dont la tension monte progressivement.
Les Inrockuptibles
Justin Kurzel suit avec délicatesse les déambulations tragicomiques de son antihéros, interprété par un acteur en état de grâce.
Marie Claire
Fort.
Ouest France
Mais le film vaut surtout pour l'interprétation de Caleb Landry Jones (...).
Positif
Les frustrations montent de toutes parts dans une tension sans relâche qui rive le spectateur à l’écran.
Transfuge
Ce film est inspiré d’un tragique fait divers. Il saisit parce qu’il laisse le sentiment d’un gâchis humain qui aurait pu être évité et touche pour son portrait d’une forme de monstruosité regardée avec empathie et sans jugement moral facile.
Télérama
Nitram est incarné par le comédien américain Caleb Landry Jones (remarqué, entre autres, dans Get Out, de Jordan Peele, ou encore 3 Billboards, les panneaux de la vengeance, de Martin McDonagh), si dérangeant, si formidable dans son opacité poisseuse qu’il a amplement mérité son prix d’interprétation à Cannes en 2021.
Franceinfo Culture
La volonté du réalisateur de dénoncer la facilité d’accès aux armes en Australie passe par le portrait d’un jeune adulte qui n’aurait jamais dû pouvoir s’en procurer.
L'Obs
Portrait d’une terrifiante énigme, d’un mal-être à vif que le troublant Caleb Landry Jones (prix d’interprétation mérité à Cannes) fait sien, le film de Justin Kurzel, inlassable dissecteur du mal en milieu familial, épouse l’imprévisibilité de son protagoniste, les à-coups d’une vie en souffrance. Démarche pertinente qui s’étiole dans la dernière demi-heure, plus programmatique.
La Voix du Nord
Réalisé par Justin Kurzel, Nitram évoque la tuerie de Port-Arthur d’avril 1996 en Tasmanie (35 morts, 23 blessés). On pense lointainement à Elephant, notamment dans la séquence finale, tétanisante.
Les Fiches du Cinéma
À travers le destin d’un marginal en manque d’affection, J. Kurzel livre un pamphlet glaçant mais inégal sur la violence par arme à feu.
Mad Movies
[...] "Nitram" évolue sur une corde très raide : privé de l'impact final des actes impardonnables de Martin, le spectateur non australien, qui n'a pas vécu le drame dans sa chair, retient finalement plus son statut de victime que son destin de bourreau.
Paris Match
Mettant avec intelligence la violence à distance, Kurzel maitrise de bout en bout ce film analytique, portrait en creux d’un oublié de la socialisation.
aVoir-aLire.com
Ce portrait d’un jeune homme à la dérive est une étude de mœurs bien menée, basée sur un tragique fait divers. L’acteur Caleb Landry Jones y est prodigieux.
Critikat.com
Le film, hésitant et parfois incohérent formellement, se demande en permanence s’il lui faut rester ancré à la psyché de sa figure centrale ou, à l’inverse, prendre ses distances.
Le Monde
Nitram ne peut en ce sens se prévaloir de la grâce vénéneuse et de l’intuition politique qui faisait du Elephant, de Gus Van Sant, relatant la tuerie du lycée de Columbine, aux Etats-Unis, un très grand film contemporain.
Libération
Foutraque et balourd, le film de Justin Kurzel, qui revient sur une tuerie de masse en Australie, s’apitoie sur son protagoniste-assassin, par ailleurs brillamment interprété par Caleb Landry Jones.
Première
Mais cette vision sans doute excessivement clinique, trop précautionneuse, ne débouche du coup sur aucun vertige, malgré la présence toujours extraterrestre de Caleb Landry Jones. Son regard translucide de grand enfant triste semble poser une question condamnée à rester sans réponse.
Cahiers du Cinéma
Nitram combine deux tares parmi les plus accablantes de l’auteurisme international. La première est sa contribution à l’édifice du forçage poétique au nom d’une marginalité brandie en étendard. (...) Mais ce n’est pas tout, car à mi-chemin, à la suite d’un accident funeste, l’ensemble révèle sa vraie nature didactique d’avertissement par le catapultage d’une thèse massive contre la libre circulation des armes à feu sur le territoire australien.
Les Echos
Justin Kurzel évoque la tuerie de Port Arthur en Australie en 1996 et dresse avec complaisance un portrait du meurtrier avant l'hécatombe. Sur le fond comme sur la forme, le réalisateur a toujours usé et abusé des surenchères. Hélas, il pratique de même dans ce « Nitram » qui cherche à rendre compte de la folie d'un homme (presque) ordinaire devenu un monstre.