Derniers Avis : Joyeuse fin du monde - Page 2

Entre comédie et dramatique mais ce n'est ni l'un ni l'autre en fait. Les acteurs se cherchent, le scénario est poussif. les acteurs en recherche constante d'humour ou de drama mais tout le monde se plante. A la fin du film, on n'arrive même pas à imaginer le but du film... le message ? tout est transparent dans ce film, et on le traverse en titubant de la tête. Dommage.

Une parfaite œuvre d'une grande sensibilité d'une grande émotion sur le départ nos attachement familiaux puis ce resserrant sur nos intérêts particuliers puis sur notre vraie amour et finalement notre vraie envie de vivre... Magnifique conte horrifique au finale. mais d'un grand espoir finalement ! 👍 Merci pour ce grand moment wouah.,...

C'est de ce silent night don't je parlais. Alors toute mes excuses pour les modérateurs 🙏 un m***** sans nom. Ç'est tout sauf du cinéma.

Quel film !! L'humour anglais mêlé au tragique ... Contexte : c'est la guerre. La guerre entre l'Amérique et la Russie. Un gaz toxique est apparemment lâché dans le monde ( états unis et Royaume unie faisant des millions de morts selon le rapport officiel du gouvernement britannique)
L'histoire nous plonge donc à la veille de l'apocalypse voulu et orchestré par l'homme.
La force du film c'est l'innocence et la force de la foi en Dieu et en l'amour du prochain de ce gamin remarquable...sa foi le sauvera t il ??
On est même a se demander si ce nuage phénomènale ne vient pas du Tout Puissant lui même.....
Film a voir.

Ce film aurait pu être une vraie réussite étant donné le scénario : une famille se retrouve, enfermée à huit clos avant que la mort de les rattrape. Il n'y a plus d'échappatoire, tout le monde y passera. C'est un peu comme le covid actuellement, on incite dans le film, les personnages à prendre une pilule pour se donner la mort eux même, pour ne pas souffrir. Malheureusement, les acteurs ne sont pas très bons mais surtout le dialogue est creux. Il n'y a pas d'émotions, rien ne parait crédible. Je déconseille.

Mal foutu, peu crédible, à la limite du ridicule.
Pourquoi tous ces gens paraîtraient si joyeux ou indifférents alors que tout va s'effondrer ?
Pourquoi choisiraient-ils une issue certaine alors qu'ils ne sont même pas sûrs de l'autre ? Fin prévisible à cet égard.
Aucun sens. Ce qui gâche complètement le film.

Tous les éléments d'une bonne comédie anglaise de Noël, à la fois grinçante et feel-good, sont là ! L'effervescence familiale autour des préparations du réveillon dans une maison de campagne bourgeoise, la réunion inévitable que tous les invités et amis d'enfance conspuent chacun de leur côté avant même d'y arriver, les critiques murmurées en permanence à l'encontre des autres convives, les duos classiques du genre (le couple socle et aimant, le mari benêt dominée par une blonde superficielle, le couple plus outsider avec une petite amie jeune étrangère aux autres compagnes, etc), les chamailleries des enfants et, évidemment, les secrets amenés à éclater au cours de la soirée pour que tout ce petit monde se remettre en cause à un moment ou à un autre... Avant un incontournable happy-end rempli d'effusions mièvres ? Eh bien non, pas cette fois, car ce repas de Noël est tout simplement le dernier que ce petit groupe déguste ensemble avant que l'humanité soit éradiquée de la planète le jour suivant !

L'idée n'était pas bête, jouer des codes archi-attendus de ce type de film dans un contexte que l'on sait rapidement sans issue pour ses protagonistes avait tout pour pousser le premier long-métrage écrit et réalisé par Camille Griffin dans des retranchements inédits et en faire une espèce de sommet de tragi-comédie noire apocalyptique ! Mais il n'en sera hélas rien ou alors trop peu...

Si, dans un premier temps, "Silent Night" s'amuse malicieusement du chaos des préparatifs d'un tel réveillon en y mêlant seulement en arrière-plan des petits détails qui traduisent l'ampleur de la réelle catastrophe à venir, les présentations des membres de la tablée se résument trop vite à tous les enfermer dans les rôles de pions bien connus qu'ils tiennent dans ce genre d'événement familial (enfin amical, ici) au cinéma et les passages obligés qui les accompagnent. Ce sera le premier énorme faux-pas de "Silent Night" car, faute d'une réelle maîtrise dans leur évolution lors de la courte durée du film, ces personnages auront un mal fou à se débarrasser de leurs contours caricaturaux de départ et peineront de fait à susciter la moindre empathie au fur et à mesure que la mise en avant de leur sort funeste tente de les faire passer dans une dimension plus tragique.
Pourtant, dans la progression des événements, on ne peut pas dire que Camille Griffin ne ménage pas ses efforts pour faire craquer le vernis des apparences maintenues désespérément par le couple hôte et parasiter ainsi le déroulement habituel d'un tel récit. Des remarques d'un enfant rebelle sur la situation à la prise de conscience de plus en plus frontale des invités face à la fatalité et du choix crucial qu'elle entraîne, "Silent Night" fait s'immiscer le climat d'apocalypse inéluctable à travers quelques temps forts, d'une étonnante gravité, pour amorcer un point de bascule censé donner un ton unique au long-métrage. Mais, là encore, malgré la qualité notable de certains artifices (la musique de Lorne Balfe en premier lieu) et les efforts d'un casting solide (Keira Knightley, Matthew Goode, Annabelle Wallis, Lucy Punch, Lily-Rose Depp ou encore Roman Griffin Davis, le petit héros de "Jojo Rabbit" et fils de la réalisatrice), le film n'arrive jamais vraiment à trouver un équilibre pertinent entre la farce et la tragédie. Certes, on entrevoit bien le potentiel de ce mariage lors de quelques bons moments dans le crépuscule de cette "Silent Night" (les derniers instants de Lucy Punch et de sa compagne et ceux de la famille de Keira Knightley par exemple) mais notre manque d'attachement à ses protagonistes trop longtemps restés stéréotypés et l'incapacité de Camille Griffin à imprégner durablement ce parti pris sur l'ensemble les condamnent à un caractère hélas anecdotique.

Par la force des choses, et alors que sa production a débuté en amont, "Silent Night" peut désormais se voir en partie comme une parabole involontaire mais bien sentie sur la période Covid mais cet "heureux" hasard ne saurait camoufler les intentions non concrétisées d'un projet qui avant pourtant l'argument d'un mélange des genres beaucoup plus attractif pour séduire. Dans une catégorie proche, et avec la même actrice principale de surcroît, "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" avait fait bien mieux.

Film de genre légèrement horrifique sur fond de chansons de Noël enjouées, avec un bon casting et dans l'ensemble c'est captivant. Pas du tout dans la lignée des comédies romantiques de Noël et donc ça, ça vaut un bon point.

"Silent Night" est un film de spoiler: fin du monde
même s'il n'en a pas l'air à première vue. spoiler: Que feriez-vous si un mystérieux gaz mortel arrivait sur vous après avoir décimé une partie de la population mondiale. Est-ce que vous tenteriez votre chance ou est-ce que vous suivriez les directives du gouvernement qui a mis à disposition de ses citoyens une pilule pour "partir" sans souffrir ?
Nell et son mari Simon ont pris leur décision et s'apprêtent à recevoir leurs amis qui partagent leur point de vue pour un diner de Noel entre proches. Un diner placé sous le signe de l'amour et du pardon, mais qui ne va pas se dérouler comme prévu. Tandis que certains secrets sont révélés au grand jour, certains vont faire part de leurs doutes sur la situation. Pour un film sur ce sujet, c'est assez original, mais aussi très inégal. Je n'ai pas été très convaincu par la première partie axée sur la comédie notamment à cause des personnages qui sont énervants, par contre la dernière partie est bonne. Si cela soulève un débat intéressant, Camille Griffin ne s'attarde pas vraiment sur le fond du sujet et préfère une réflexion plus philosophique avec des personnages qui préfèrent ne pas parler de ce qui les réunit tous. Le film aurait pu être vraiment plus profond et spoiler: faire même un parallèle avec ce que l'on vit notamment en ce qui concerne le gouvernement et la méfiance de certains en leur capacité à gérer la situation et à donner de bonnes directives.
"Silent Night" est frustrant, mais pour un premier film, c'est pas si mal.