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    Joyeuse fin du monde
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    2,6
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    24 critiques spectateurs

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    Mia Wallace
    Mia Wallace

    13 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Ce film a de l'idée, intéressante au départ.
    Toutefois je trouve qu'il manque quelque chose au scénario. Les personnages ne sont pas vraiment attachants, voire détestables pour certains. L'histoire est pas très bien développée : Pour ma part, ça aurait dû être un film plus psychologique
    LeandreBRN
    LeandreBRN

    4 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mars 2024
    Extrêmement gênant, ce qui se veut être du second degré est tellement écrit et surjoué pour bien marquer qu'on est en présence d'archétypes et qu'on est décalé que ça en devient crispant. Impression de voir une mauvaise pièce de théâtre mal filmée (la soeur insupportable surjouant l'ivresse pendant les règlements de compte, la soeur gay, l'enfant à problème) et le film réussit à réunir deux des actrices les plus crispantes des 20 dernières années: lily rose depp et Keira Knightley. J'ai très douloureusement été jusqu'au bout...
    Maximemax527
    Maximemax527

    11 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2022
    C'est de ce silent night don't je parlais. Alors toute mes excuses pour les modérateurs 🙏 un m***** sans nom. Ç'est tout sauf du cinéma.
    gak1976
    gak1976

    11 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2023
    Un film surprenant, tout à fait original, qui manie tantôt l’humour british et le drame apocalyptique. Ce quasi huis-clos bénéficie d’un cadre propice à toutes les évolutions psychologiques et à un certain suspense. La distribution est irréprochable avec une mention spéciale à Lucy Punch qui, avec son éternel abattage, porte décidément bien son nom.
    Eif Ji
    Eif Ji

    9 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Caustique, grinçant et un brin moralisateur par moment.
    Tous les clichés et la diversité y passent.
    Les réalisateurs ont l'air d'être également visionnaires en rapport avec l'actualité.
    Sinon, le film en lui-même est sans trop de surprise. Pourquoi passer les derniers moments de sa vie avec des amis que l'on estime sans plus au lieu de les passer rien qu'avec sa famille ?? Pas trop compris l'intérêt, et mou par moment.
    chazarius
    chazarius

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    Le film est très bien, mais attention , ce n'est ni un film de Noel , et encore moins pour les enfants!
    Michael L.
    Michael L.

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 novembre 2022
    Le film est féroce, Humour british au vitriol.
    Il y a le petit garçon qui jouait Jojo Rabbit, formidable acteur très prometteur qui se paye le luxe de se moquer de Leonardo DiCaprio... Il vole la vedette aux acteurs adultes.
    Il y a aussi une petite fille dont le personnage jouissivement caricatural n'a rien à envier à Nelly Oleson dans la petite maison dans la prairie. Et les adultes du film sont tous plus ou moins névrosés.
    L'humour Noir est à l'honneur dans ce film. Le père Noël est habillé tout en noir. Le noir, lui va si bien. Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir.
    Et pas de vaccin cette fois.
    Des amis de longues dates réunis pour un Noël vraiment inoubliable.
    Dans le premier Matrix, Néo avait le choix entre 2 pilules. Mais Ici il n'y en a qu'une et elle est très dure à avaler.
    Ce film c'est Peters Friends avec la Mort qui s'invite sous la forme d'une brume menaçante, digne d'un bon Stephen King ou d'un bon vieux John Carpenter.
    Lars von Trier et Jane Birkin n'étaient probablement pas libres pour le tournage de ce film pas si "Mélancolique".
    Je le recommande aux fans d'humour macabre et à ceux qui pensent que la fin du Monde c'est pour bientôt. D'ailleurs je trouve ça un peu dommage que le titre français soit aussi explicite. Le titre original "Silent Night" était plus glaçant.
    Lili San
    Lili San

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2022
    Ce film est probablement le meilleur film de l’année, pour autant je le sanctionne avec la note de 3.5.

    D’abord, précisons que ce film n’a rien d’une comédie contrairement à ce qui est annoncé et je vous déconseille de le regarder en famille, ou si vous avez le moral dans les chaussettes : ce film est bouleversant, impactant et dérangeant. Je reconnais volontiers que le thème est très bien choisi, que les acteurs sont bons, que la réalisation est bien et qu’il est riche de détails. Néanmoins le terme comédie est une tromperie qui vise certainement à prendre des spectateurs dans sa toile : le film commence d’ailleurs comme une comédie familiale de Noël, de quoi tromper la vigilance du spectateur. Joyeuse fin du monde est en réalité un film d’horreur, en quelque sorte une uchronie. Ce n’est ni un thriller, ni une comédie. Les rares traits d’humour sont là uniquement pour servir la cruauté du scénario : c’est sarcastique, cynique. A peine de quoi détendre l’atmosphère = c’est une parabole de ce que l’on a vécu pendant la crise covid, tout en l’extrapolant aux enjeux climatiques et à la population mondiale croissante dans un monde de ressources limitées.

    Je reproche au film, sous couvert de vouloir se montrer critique envers une société résignée régie par la peur et sous couvert de vouloir faire la part belle à l’espoir, au libre arbitre et au libre choix médical, de faire malheureusement avancer des idées mortifères, macabres et dangereuses. spoiler: Ici le film se fait malencontreusement messager de l’idée intolérable de l’extermination de la population mondiale (par des guerres, ou par une apocalypse). C’est une manière maladroite qui habitue peu à peu les esprits à l’extermination de masse = en cela je dénonce ce film et le trouve intolérable. A l’image du crime commis par Thanos, ce genre de scénario présente le fâcheux défaut de nous accoutumer à l’idée que la population serait en « surnombre » et que l’extermination serait une option que des dictateurs pourraient envisager. En somme une « solution finale » cruelle présentée comme inéluctable, à l’image de l’idéologie démente et criminelle Naz*e. A plusieurs égards, la petite famille parfaite rappelle d’ailleurs le couple Goebbels, lesquels ont préféré assassiner leurs enfants plutôt que de faire face à l’idée que ceux-ci pourraient éventuellement vivre dans un monde dépourvus des repères aliénés qui furent les leurs, et qu’ils puissent subir les conséquences de leurs crimes (ici dans le film, il s'agit des conséquences des modes de vie des générations précédentes sur l'environnement).. Le film fait résonance à l’actualité covid. Le caractère prédictif et annoncé des nuages toxiques laisse entendre qu’il ne s’agit nullement de phénomènes naturels, mais bien d’actions volontaires. En filigrane attribuées ici aux Russes = une manière d’accuser un dictateur afin d’occulter qu’il s’agit probablement d’un acte mondialisé ayant l’aval de ceux censés protéger les populations = ce non dit est lourd de sens. Tout comme le fait d’apprendre que la reine d’Angleterre se serait réfugiée dans un bunker, faisant passer la survie de ses nombreux chiens avant celle d’êtres humains, et notamment d’enfants. Cela ne peut signifier qu’une chose pour le jeune garçon = il y a donc une vie après le nuage toxique. Ces informations sont distillées au compte goutte au travers d’indices subtiles et de conversations entre enfants. Les adultes ont cessé d’ergoter sur le pourquoi du comment, car ils se sont résignés à mourir : ils ont vu des gens mourir à la tv dans d’atroces souffrances et le gouvernement les encourage vers cette issue, c’est donc inéluctable. La mort ou la mort. Ou au pire, la vie dans un monde de survie, sans confort, fait de repères perdus (d'où l'évocation du film La Route et de l'eau du robinet brune, témoin de l'apocalypse en cours) = inenvisageable pour ces protagonistes de la bourgeoise anglaise. Les mères de famille se refusent à tenter leur chance dans un monde d’après, potentiellement différent et difficile. Résignés et terrifiés à l’idée de souffrir, ils s’estiment chanceux de pouvoir échapper à la douleur horrible engendrée par l’inhalation du gaz, grâce aux pilules de mort distribuées par les gouvernements (ce à quoi des tas de gens ne pourront avoir accès et devront subir les douleurs = une forme d’échelonnement de la gravité qui sert à faire relativiser à la population sa mort programmée, technique purement managériale que l’on aurait très bien pu voir naître d’un cabinet de conseil). C’est d’ailleurs pour un suicide collectif qu’ils se sont réunis le soir du réveillon de Noël. L’assaut du nuage toxique étant prévu pour le matin de Noël. Là où le film échoue, c’est qu’il prend le parti de réunir d’anciens amis/camarades pour leur dernière nuit de fête, lesquels se détestent passablement. Facilité scénaristique visant à nous présenter différents cas de figure de décès. Ainsi la petite famille parfaite préfère passer sa dernière nuit entourée de personnes odieuses dans la demeure bourgeoise prêtée par la grand-mère (laquelle a été invitée à aller mourir seule après un vulgaire dernier message d’adieu en visio). Ridicule, mais assez emblématique de l’égoïsme et de la superficialité des gens. C’est évidemment une allusion à tous les anciens qui ont été abandonnés à leur sort, seuls, pendant la crise covid. Chacun des protagonistes meurt dans une extrême solitude, en dépit du simulacre du « vivre ensemble, ensemble dans la mort ». Chacun de tenter de se convaincre qu’ils sont des gens biens et de bons parents, tandis qu’ils refusent à leurs enfants une autre voie que leur meurtre. Le film parvient à montrer la bêtise humaine qui conduit notre société droit dans le mur = plutôt que de tenter de faire survivre leurs enfants, certains ont préféré claquer l’épargne destiné à leurs études dans des fringues = l’investissement est dilapidé plutôt qu’utilisé à des fins intelligentes. Les pères se sont isolés pour fumer un joint. Les jumeaux jouent à leurs jeux vidéos, l’une retombe dans son alcoolisme, une autre tente de tromper son mari afin d’assouvir un phantasme = une évocation des vices et des obsessions superficielles qui nuisent aux protagonistes, lesquels ne peuvent se soustraire à leur bêtise, même le dernier jour de leur vie. Le meurtre est ainsi présenté sous une multitude de formes, dans ce qui reprend les codes d’une secte sacrificielle. Le médecin ne sera pas l’âme secourable qui choisira de tenter de sauver: on sait qu’il a participé à l’euthanasie des patients de son hôpital. Ce fait présenté avec légèreté comme un acte charitable, fait en réalité de lui un meurtrier de masse, servile, embrigadé. Le déni et sa culpabilité le poussent à rejeter toute autre option que celle de la pilule. Jusqu’à opérer un chantage sur sa compagne enceinte pour qu’elle cède à son idéologie et sous la pression qu’il exerce. De par l’amour qu’elle lui porte, la confiance, et puisque qu’il représente l’autorité médicale, elle le suit dans son choix macabre et limitant. Lequel a tourné le dos à son serment d’Hippocrate, pour se conformer à une idéologie venue de sa hiérarchie. Ce qui a de quoi nous évoquer le livre « La mort est mon métier», démontrant comment de bons professionnels zélés peuvent se faire les meilleurs complices de régimes criminels. On se suicide, on assassine les autres en les forçant à ingérer la pilule, en exerçant sur eux toute forme de coercition possible pour qu’ils cèdent. Jusqu’au coup de couteau, là encore prétendument destiné à épargner l’horrible souffrance du gaz toxique. Sauf qu’une telle blessure n’a surement rien à envier au gaz : le simulacre s’effondre, il apparait évident que l’on tue par égoïsme et par idéologie et non pour se sauver de quoi que ce soit = pour ne pas partir tout seul, pour emmener les autres avec soi dans la mort. C’est donc véritablement un crime, et non une issue de secours contrairement à ce que les protagonistes ont tenté de s’auto-persuader durant tout le film. Ce film évoque la peur comme outil pour paralyser la réflexion, la peur comme outil de résignation, comme outil de contrôle des masses face à l’espoir, certes faible mais vivace, de ceux qui passent entre les gouttes et survivent. Un bon parent aurait respecté le choix de son enfant et aurait pris le risque de l’accompagner dans la survie du monde d’après, quitte à souffrir. Plutôt que de prendre le risque de l’abandonner seul, dans une maison emplie des cadavres de sa famille. Et plutôt que de préparer une énième fête superficielle, se serait investi pour tenter de protéger son enfant du gaz toxique. Ils ont préféré s'abandonner à la pilule pour faire la fiesta, plutôt que de prendre un minimum de mesures (comme de calfeutrer les fenêtres) pour continuer à avancer, quitte à devoir renoncer à certains conforts.
    Kevin L.
    Kevin L.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    Pas mal du tout , retournement de situation , quand on a vu aucun extrait nous ne savons pas où ce film nous emmènera , on démarre sur une bonne comédie familiale de Noël , pour finalement atterrir dans une spoiler: programmation de fin du monde , la fin était beaucoup trop évidente par contre , j’étais certain depuis le début que Art ne mourrait pas .

    Bref un film sympa pas trop long , je recommande :)
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