Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Porté par une distribution mixte, entre acteurs professionnels, en tête desquels le charismatique Nahuel Pérez Biscayart resplendit, et des comédiens non professionnels qui s’intègrent à merveille dans le dispositif, le cinéaste signe une belle métaphore sur le capitalisme qui trace une voie originale entre Lucrecia Martel et Bruno Dumont.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Déroulant une ligne narrative propre au mélodrame mais évidée de toute sentimentalité, réduite à la plus grande sécheresse, Manuel Nieto Zas orchestre une lutte de classe en sourdine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Éric Derobert
Avec ses cadrages prosaïques et sans manières, avec son âpreté désinvolte, Manuel Nieto Zas filme l’érosion du monde, et c'est fort.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le cinéaste utilise aussi habilement la cinégénie des grands espaces agricoles de la région, ces anciens territoires des gauchos (les cow-boys d’Amérique latine) désormais dévolus à l’alimentation du bétail, pour en faire un décor de néo-western saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Bastien Gens
Si les deux clans se situent aux deux extrémités de l’échelle sociale, le cinéaste n’établit pas pour autant de hiérarchie claire entre eux et refuse la verticalité de leur relation en mettant en scène un monde horizontal.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
L'Uruguayen Manuel Nieto met en scène avec minutie les rapports de classe entre les deux, sans vraiment transcender la dimension sociale de son histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit aussi subtil que déroutant progressivement gagné par une tension sourde.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film plus intéressant par ce qu’il décrit du monde rural argentin que par sa trame.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Et malgré une ultime ligne droite trop téléphonée, l’ambiguïté prenante qui y règne en maître hisse le film au- dessus de la moyenne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste uruguayen Manuel Nieto Zas filme son pays à travers deux familles que tout oppose. Trouble mais fort.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un voyage en Uruguay pour découvrir, entre impassibilité et tension, les transformations du monde rural et ses conséquences.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Manuel Nieto s’intéresse aux questions sociales et particulièrement au monde rural. Son regard, sympathique, a un défaut : la longueur des plans, interminables. Le sujet du film se dissout dans cette attente, et, au bout d’une demi-heure, on ne sait toujours pas quelle histoire le cinéaste veut nous raconter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
Porté par une distribution mixte, entre acteurs professionnels, en tête desquels le charismatique Nahuel Pérez Biscayart resplendit, et des comédiens non professionnels qui s’intègrent à merveille dans le dispositif, le cinéaste signe une belle métaphore sur le capitalisme qui trace une voie originale entre Lucrecia Martel et Bruno Dumont.
Les Inrockuptibles
Déroulant une ligne narrative propre au mélodrame mais évidée de toute sentimentalité, réduite à la plus grande sécheresse, Manuel Nieto Zas orchestre une lutte de classe en sourdine.
Positif
Avec ses cadrages prosaïques et sans manières, avec son âpreté désinvolte, Manuel Nieto Zas filme l’érosion du monde, et c'est fort.
Télérama
Le cinéaste utilise aussi habilement la cinégénie des grands espaces agricoles de la région, ces anciens territoires des gauchos (les cow-boys d’Amérique latine) désormais dévolus à l’alimentation du bétail, pour en faire un décor de néo-western saisissant.
Critikat.com
Si les deux clans se situent aux deux extrémités de l’échelle sociale, le cinéaste n’établit pas pour autant de hiérarchie claire entre eux et refuse la verticalité de leur relation en mettant en scène un monde horizontal.
Le Figaro
L'Uruguayen Manuel Nieto met en scène avec minutie les rapports de classe entre les deux, sans vraiment transcender la dimension sociale de son histoire.
Le Journal du Dimanche
Un récit aussi subtil que déroutant progressivement gagné par une tension sourde.
Les Fiches du Cinéma
Un film plus intéressant par ce qu’il décrit du monde rural argentin que par sa trame.
Première
Et malgré une ultime ligne droite trop téléphonée, l’ambiguïté prenante qui y règne en maître hisse le film au- dessus de la moyenne.
Sud Ouest
Le cinéaste uruguayen Manuel Nieto Zas filme son pays à travers deux familles que tout oppose. Trouble mais fort.
aVoir-aLire.com
Un voyage en Uruguay pour découvrir, entre impassibilité et tension, les transformations du monde rural et ses conséquences.
L'Obs
Manuel Nieto s’intéresse aux questions sociales et particulièrement au monde rural. Son regard, sympathique, a un défaut : la longueur des plans, interminables. Le sujet du film se dissout dans cette attente, et, au bout d’une demi-heure, on ne sait toujours pas quelle histoire le cinéaste veut nous raconter.