Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Rarement aura-t-on eu l'impression de pouvoir regarder de si loin, et avec si peu de troubles - comme si l'essentiel était déjà joué - la splendeur éphémère du monde.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une comédie optimiste et joyeusement frappadingue.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Depuis toujours, Yolande Moreau a la poésie chevillée au cœur. Dans "La Fiancée du poète", qu’elle réalise et dans lequel elle tient le premier rôle, elle joue entre les rimes et la prose, la liesse et la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Yolande Moreau a des complices pour faire tenir tout ça solidement et humblement debout. Ses amis des Deschiens, François Morel et Philippe Duquesne, mais aussi Grégory Gadebois, Esteban, William Sheller, Sergi Lopez, Thomas Guy et Anne Benoît. Une sacrée troupe de farfelus magnifiques.
La Croix
par Céline Rouden
L’actrice et réalisatrice nous embarque dans un univers poétique qui transforme le quotidien le plus prosaïque en un monde enchanteur, peuplé de faussaires et d’originaux qui repeignent la vie aux couleurs de leurs rêves.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Yolande Moreau fait du cinéma sensible.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film de potes, une ode à l’art un peu barrée mais réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La comédienne et réalisatrice de « Quand la mer monte » signe un troisième long-métrage loufoque et doux, hymne poétique aux troupes et aux rêveurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Le troisième film de Yolande Moreau nous transporte dans un monde où la mélancolie et l’excentricité se marient magnifiquement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un film tendre et décalé.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Il y a beaucoup de Kaurismaki dans ce film élégant, attachant, poésie de la différence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Joliment photographié, "La Fiancée du poète" est un film chaleureux et doucement loufoque, qui croit en l’art, au collectif, au pardon et à l’amitié.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Une fantaisie délicieuse, pétrie d’humanité et de poésie.
Télé 2 semaines
par Olivier Rajchman
Parfois acide, souvent tendre, jamais cynique, Yolande Moreau nous fait pénétrer dans son monde, peuplé de personnages aussi décalés que profonds. C'est drôle et touchant. On en redemande !
Télé Loisirs
par Olivier Rajchman
Parfois acide, souvent tendre, jamais cynique, Yolande Moreau nous fait pénétrer dans son monde peuplé de personnages aussi décalés que profonds. C'est drôle et touchant.
Télérama
par Jérémie Couston
Yolande Moreau mêle avec bonheur comédie sociale et réalisme poétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La comédienne belge réalise son troisième long-métrage et signe une ode fantaisiste aux gentils faussaires de la vie. Émouvant et poétique, bien sûr.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Valérie Beck
Pour son troisième film, l’actrice et réalisatrice signe une fable à son image, un peu foutraque et follement attachante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La réalisatrice croque ses marginaux, interprétés par des comédiens épatants, avec une infinie tendresse, et signe un film qui met du baume au cœur, malgré quelques passages à vide.
Le Monde
par V. Cau.
Dans La Fiancée du poète, on bricole, on s’adapte selon les moyens du bord, on s’arrange avec le réel, quitte à s’inventer des pans de vie rendre celle-ci plus belle. Le cinéma n’est rien d’autre. Yolande Moreau en fait son affaire, nous montre que, au fond, chacun se fabrique sa petite fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Par son écriture (en tandem avec Frédérique Moreau), Yolande Moreau va au plus profond de ses personnages, met à jour leurs contradictions, les limites de cette vie en dehors des clous où l’utopie vient régulièrement se fracasser sur la réalité. Mais il y a un ton joyeusement mélancolique, une manière de raconter ce petit coin de province qui ne ressemblent qu’à elle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L’actrice-réalisatrice signe une comédie à son image, délicate, un peu ailleurs et délicieusement « anar », sur le vrai et le faux, l’art et l’amitié, qui rendent plus belles nos vies.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Yolande Moreau pour son troisième long métrage signe le portrait attachant et tout en délicatesse de doux rêveurs. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par E.R.
En dire sur soi mais pas trop, et via les autres : La Fiancée du poète vaut surtout comme un autoportrait rêvasseur, épuré de tout narcissisme.
L'Obs
par N. S.
On ne doute pas de l’amour sincère de l’actrice et ex-Deschiens pour les éclopés du droit chemin qui s’inventent des vies plus belles. Encore aurait-il fallu l’écrire et le mettre en scène, cet amour, ainsi que son personnage de poor lonesome hippie, avec plus d’allant et d’inspiration que dans ce plat poème, digne d’un téléfilm France 3 Ardennes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Didier Péron
Le film souffre terriblement d’être ainsi ballotté entre deux eaux, ni véritablement fiction utopique et chaleureuse sur la constitution d’une communauté ou d’une famille alternative, ni comédie potentiellement féroce sur un désir très égoïste d’échapper à la solitude au détriment de tous ceux qu’elle accepte puis critique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
Rarement aura-t-on eu l'impression de pouvoir regarder de si loin, et avec si peu de troubles - comme si l'essentiel était déjà joué - la splendeur éphémère du monde.
20 Minutes
Une comédie optimiste et joyeusement frappadingue.
Bande à part
Depuis toujours, Yolande Moreau a la poésie chevillée au cœur. Dans "La Fiancée du poète", qu’elle réalise et dans lequel elle tient le premier rôle, elle joue entre les rimes et la prose, la liesse et la mélancolie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Yolande Moreau a des complices pour faire tenir tout ça solidement et humblement debout. Ses amis des Deschiens, François Morel et Philippe Duquesne, mais aussi Grégory Gadebois, Esteban, William Sheller, Sergi Lopez, Thomas Guy et Anne Benoît. Une sacrée troupe de farfelus magnifiques.
La Croix
L’actrice et réalisatrice nous embarque dans un univers poétique qui transforme le quotidien le plus prosaïque en un monde enchanteur, peuplé de faussaires et d’originaux qui repeignent la vie aux couleurs de leurs rêves.
Le Dauphiné Libéré
Yolande Moreau fait du cinéma sensible.
Le Parisien
Un film de potes, une ode à l’art un peu barrée mais réjouissante.
Les Echos
La comédienne et réalisatrice de « Quand la mer monte » signe un troisième long-métrage loufoque et doux, hymne poétique aux troupes et aux rêveurs.
Les Fiches du Cinéma
Le troisième film de Yolande Moreau nous transporte dans un monde où la mélancolie et l’excentricité se marient magnifiquement.
Ouest France
Un film tendre et décalé.
Paris Match
Il y a beaucoup de Kaurismaki dans ce film élégant, attachant, poésie de la différence.
Positif
Joliment photographié, "La Fiancée du poète" est un film chaleureux et doucement loufoque, qui croit en l’art, au collectif, au pardon et à l’amitié.
Sud Ouest
Une fantaisie délicieuse, pétrie d’humanité et de poésie.
Télé 2 semaines
Parfois acide, souvent tendre, jamais cynique, Yolande Moreau nous fait pénétrer dans son monde, peuplé de personnages aussi décalés que profonds. C'est drôle et touchant. On en redemande !
Télé Loisirs
Parfois acide, souvent tendre, jamais cynique, Yolande Moreau nous fait pénétrer dans son monde peuplé de personnages aussi décalés que profonds. C'est drôle et touchant.
Télérama
Yolande Moreau mêle avec bonheur comédie sociale et réalisme poétique.
La Voix du Nord
La comédienne belge réalise son troisième long-métrage et signe une ode fantaisiste aux gentils faussaires de la vie. Émouvant et poétique, bien sûr.
Le Figaro
Pour son troisième film, l’actrice et réalisatrice signe une fable à son image, un peu foutraque et follement attachante.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice croque ses marginaux, interprétés par des comédiens épatants, avec une infinie tendresse, et signe un film qui met du baume au cœur, malgré quelques passages à vide.
Le Monde
Dans La Fiancée du poète, on bricole, on s’adapte selon les moyens du bord, on s’arrange avec le réel, quitte à s’inventer des pans de vie rendre celle-ci plus belle. Le cinéma n’est rien d’autre. Yolande Moreau en fait son affaire, nous montre que, au fond, chacun se fabrique sa petite fiction.
Première
Par son écriture (en tandem avec Frédérique Moreau), Yolande Moreau va au plus profond de ses personnages, met à jour leurs contradictions, les limites de cette vie en dehors des clous où l’utopie vient régulièrement se fracasser sur la réalité. Mais il y a un ton joyeusement mélancolique, une manière de raconter ce petit coin de province qui ne ressemblent qu’à elle.
Télé 7 Jours
L’actrice-réalisatrice signe une comédie à son image, délicate, un peu ailleurs et délicieusement « anar », sur le vrai et le faux, l’art et l’amitié, qui rendent plus belles nos vies.
aVoir-aLire.com
Yolande Moreau pour son troisième long métrage signe le portrait attachant et tout en délicatesse de doux rêveurs. Une réussite.
Cahiers du Cinéma
En dire sur soi mais pas trop, et via les autres : La Fiancée du poète vaut surtout comme un autoportrait rêvasseur, épuré de tout narcissisme.
L'Obs
On ne doute pas de l’amour sincère de l’actrice et ex-Deschiens pour les éclopés du droit chemin qui s’inventent des vies plus belles. Encore aurait-il fallu l’écrire et le mettre en scène, cet amour, ainsi que son personnage de poor lonesome hippie, avec plus d’allant et d’inspiration que dans ce plat poème, digne d’un téléfilm France 3 Ardennes.
Libération
Le film souffre terriblement d’être ainsi ballotté entre deux eaux, ni véritablement fiction utopique et chaleureuse sur la constitution d’une communauté ou d’une famille alternative, ni comédie potentiellement féroce sur un désir très égoïste d’échapper à la solitude au détriment de tous ceux qu’elle accepte puis critique.