Derniers Avis : Avec amour et acharnement - Page 8

Un film dont on sort aussi exsangue que les acteurs, qui incarnent magnifiquement l'amour et la passion, avec pour Juliette Binoche le dérèglement des sens tragique et malheureux. Un tour de force !

Bon... le sujet est intéressant. la femme heureuse en couple dont la vie va basculer avec le retour d'un ex amour...sauf que les plans inutiles s'étirent,
accompagnés d'une musique lancinante à
mourir... juste sauvé par un Vincent lindon et une
Juliette Binoche habités ! Je donne un petit 10..
sur 20 bien sûr ! Dommage, Claire Denis a loupé
son but : nous émouvoir
Franchement je suis bon public et j'aime
les films intimistes mais là ça traine en
longueur... le sujet est mal traité

Dommage, très bons acteurs, scénario nul, film loupé
S’enlise dans une histoire de trahison pénible qui frise le grotreste

Véritable daube ! Incompréhensible que Juliette Binoche et Vincent Lindon est accepté de jouer dans ce film, avec un tel scénario où les répliques manquent cruellement, sans parler de la musique déprimante qui alourdie le déroulé du film. Il ne s'y passe pas grand chose, tout au moins, l'histoire est à tirer par les cheveux. On a quitté la salle au bout d'1h !

déçue par ce film pourtant prometteur, les acteurs que j admire sincèrement ne semblent pas habités par leurs rôles respectifs. Les dialogues sonnent faux, les récits parallèles (prison, fils isolé) n apportent ni épaisseur ni mystere à l intrigue.
La manière de filmer de près les visages m a agacée, je suis déçue we pas avoir aimé ce film sur l amour complexe. tant pis!

Quel annuité ! Lent et parfaitement inintéressant, on a hâte que cela se termine. Mal dirigé et mal interprété, scénario plus que bancal. Un trio amoureux qui n'a aucun intérêt. Fuyez !!

3 étoile pour le jeu des acteurs. juliette toujours magnifique et Vincent dans l'excellence. Par contre filmer en gros gros plan même si c'est plus intime nous met le doigt sur tous les défauts dus à l'âge. Et ça se voit ! Et puis le sujet ne nous interesse pas vraiment. Des je t'aime, mais je te trompe, des préocupations d'une certaine classe de gens qui m'insuporte. A voir à la rigueur pour eux.

J'y allais car j'aime beaucoup et Juliette Binoche et Vincent Lindon.
Et je me suis ennuyée. Très déçue par un jeu d'acteurs certainement voulu mais grossier, aucune finesse, y compris les seconds rôles. Une image certainement voulue aussi, grise, gros plans, dans cet appartement en grande partie. On s'ennuie. Envie plusieurs fois de sortir avant la fin.

« Qui peut croire à ce couple ? La belle Juliette et le si peu séduisant Vincent avec son éternel look de clochard. Trop de scènes de sexe dont on se passe volontiers. Trop de gros plans : quel est l’intérêt de filmer la nuque de Vincent Lindon ? Je note que le personnage de Juliette Binoche a un Mac. Or quand son iPhone est abîmé, elle perd toutes ses données. N’importe qui fait des sauvegardes sur son ordi ou le Cloud …sauf l’héroïne du film : encore une invraisemblance. Un quasi huis-clos ennuyeux avec des personnages secondaires, vraiment là pour meubler mais sans valeur ajoutée. Un film à éviter. »

Quelle déception! Ça traîne en longueur, le scénario est complètement plat, avec des scènes parfois risibles. les dialogues ridicules, les « acteurs » qui incarnent la grand-mère et Marcus sont très mauvais, même Juliette Binoche est à côté de la plaque. Il n’y a que Vincent Lindon qui apporte quelque chose, malheureusement ce n’est pas assez pour sauver le film. A fuir …

Radical comme souvent les films de Denis. Le scénario d'Angot n'arrange rien : âpreté et rudesse des sentiments. Avec une histoire parallèle, celle du fils de Jean (Vincent Lindon) et un discours social sur le racisme dont on se demande ce qu'il vient faire là dedans. Heureusement la réalisation est belle, surtout dans les passages silencieux comme la sublime scène d'ouverture, qui mérite à elle seule le déplacement. Et grâce aux deux acteurs principaux qui portent le film. Binoche et Lindon sont magnifiques. Denis aime filmer les acteurs et Lindon a rarement été aussi bien filmé. Denis fait une œuvre et c'est une belle pièce.

Vincent Lindon et Juliette Binoche réussissent à être captivant et c’est un exploit tant l’histoire, les personnages, les relations sur lesquels ils s’appuient sont incohérents, irrationnels, artificiels. Ce qui cesse d’être surprenant dès lors que l’on sait que tout ceci est basé sur un roman de Christine Angot.

Le casting n'est pas à la hauteur et encore plus les seconds rôles
C'est mou et chiant
C'est mal filmé
Et long et très long

Quel mauvais film!!! Que de concepts qui n'apportent rien! Marcus? La grand -mère ? Le travail de Sarah? Le milieu du rugby?
Que dire de la musique? On se dit qu'il va enfin se passer quelque chose car elle monte en intensité. Mais non, rien....
Les dialogues sont nuls. Juliette Binoche que j'aime beaucoup est mauvaise. Soupir🙄

Les dialogues sont d’ un creux déconcertant, le film serait tout au plus psychologique s’ il décidait de donner un peu de profondeur et de direction aux personnages, tout comme aux acteurs d’ ailleurs qui ne sont pas au meilleur de leur potentiel.
Mal monté, musique encombrante qui vient souligner et surligner des scènes pseudo-intenses. À force de suggérer (le passé, la raison pour laquelle « Jean » est allée en prison, la mère du fils, etc) la réalisatrice et les scénaristes ne font survoler des lieux communs. Le personnage de l’ intrigant « François » est encore moins développé que les autres, sans doute pour créer encore plus de mystère et de tension …nous trouvons une caricature du pervers narcissique. La sous-intrigue du fills ne semble pas nécessaire, sur fond de morale anti-rariste bien belle mais inefficace pour l’ intrigue. Les sujets sont maladroitement rattachés les uns aux autres, comme le montage. Les ralentis font mine de donner de l’ intensité, en fait on a l’a sensation qu’ ils ne font meubler. En bref, ça ne fonctionne pas, on survole tout, la seule profondeur se trouve dans l’ ennui devant cet acharnement à produire de la banalité et du rien. Du « souffle », oui, de l’ air. Du phatique.
Qui finance encore ce genre de scénario, sérieusement ? Et comment fait-on pour gagner des prix avec un film aussi mauvais, quand les réalisateurs géniaux - mais sans doute mons renommés - voire moins pistonnés - se bousculent à la porte ?