Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier film offre un suspense haletant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ouest France
par La Rédaction
On retrouve dans ce film suédois toute la tension des Misérables. Efficace.
Positif
par Pierre Eisenreich
La tension est permanente malgré la virilité surjouée des deux protagonistes. Ce manque de modulation au profit d’une testostérone excessive ne rend pas pour autant ce film de genre négligeable, maniant avec justesse et sens du spectacle, couleurs et contrastes des éclairages.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Écrasé par l’influence des "Misérables" et d’"Assaut", "Shorta" peine à trouver sa personnalité
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Sophie Grassin
Western urbain à la John Carpenter, « Shorta » (police en arabe), premier film danois, révèle deux réalisateurs capables de confronter les policiers à leurs préjugés, d’imposer une esthétique graphique, de maintenir une tension extrême.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré des longueurs, le récit dans la lignée des Misérables (2019), de Ladj Ly, convainc par sa noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
“Shorta” choisit de privilégier l’action au constat sociologique. Visant l’efficacité, le film ne renonce pourtant pas à toute subtilité, grâce à des personnages finement dessinés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Efficace, un peu long et parfois confus tant sur le discours que la géographie des lieux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Shorta impressionne par leur capacité à faire de ce labyrinthe de bêton un personnage à part entière dont les dédales forment l'écrin rugueux de cette tension étouffante tenue jusqu'à son ultime plan. Hollywood ne devrait pas tarder à faire les yeux doux à ce duo.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un thriller social jouant, sans grand souci de cohérence, sur tous les tableaux moraux et dramaturgiques possibles.
Libération
par Marius Chapuis
Mais à force de trop jouer à "Assaut" dans les grands ensembles, "Shorta" en oublie de regarder ce quartier qui se dissout dans une image surexposée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Nicolas Didier
D’une actu brûlante, le film tire donc une partie de cache-cache obscène, qui emprunte les codes de The Walking Dead. Difficile de faire moins engagé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce premier film offre un suspense haletant.
Ouest France
On retrouve dans ce film suédois toute la tension des Misérables. Efficace.
Positif
La tension est permanente malgré la virilité surjouée des deux protagonistes. Ce manque de modulation au profit d’une testostérone excessive ne rend pas pour autant ce film de genre négligeable, maniant avec justesse et sens du spectacle, couleurs et contrastes des éclairages.
CinemaTeaser
Écrasé par l’influence des "Misérables" et d’"Assaut", "Shorta" peine à trouver sa personnalité
L'Obs
Western urbain à la John Carpenter, « Shorta » (police en arabe), premier film danois, révèle deux réalisateurs capables de confronter les policiers à leurs préjugés, d’imposer une esthétique graphique, de maintenir une tension extrême.
Le Journal du Dimanche
Malgré des longueurs, le récit dans la lignée des Misérables (2019), de Ladj Ly, convainc par sa noirceur.
Les Fiches du Cinéma
“Shorta” choisit de privilégier l’action au constat sociologique. Visant l’efficacité, le film ne renonce pourtant pas à toute subtilité, grâce à des personnages finement dessinés.
Paris Match
Efficace, un peu long et parfois confus tant sur le discours que la géographie des lieux.
Première
Shorta impressionne par leur capacité à faire de ce labyrinthe de bêton un personnage à part entière dont les dédales forment l'écrin rugueux de cette tension étouffante tenue jusqu'à son ultime plan. Hollywood ne devrait pas tarder à faire les yeux doux à ce duo.
Le Monde
Un thriller social jouant, sans grand souci de cohérence, sur tous les tableaux moraux et dramaturgiques possibles.
Libération
Mais à force de trop jouer à "Assaut" dans les grands ensembles, "Shorta" en oublie de regarder ce quartier qui se dissout dans une image surexposée.
Télérama
D’une actu brûlante, le film tire donc une partie de cache-cache obscène, qui emprunte les codes de The Walking Dead. Difficile de faire moins engagé.