Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
À travers cette expérimentation originale, où la fiction pénètre le réel, Thomas Paulot propose un documentaire passionnant sur l’engagement, les petites villes et la politique locale.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
L’innocence presque comique de Papot révèle tout un maillage politique hérité des syndicats mais aussi lié à l’expérience plus récente des Gilets jaunes.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Municipale figure un drôle d’objet hybride, fascinant mélange d’expérimentation sociologique et de documentaire. Ce cinéma du réel dynamite les formes en insérant un comédien à l’équation du récit, à la manière d’Alain Cavalier dans Pater.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film documente la France, en un mot. Des petits notables et des grands abandonnés, de la peur et de la colère.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Ce qui pourrait n'être qu’un argument de fiction devient plus réel de minute en minute et redonne un peu de pimpant au politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Ovni cinématographique mettant en scène la vraie-fausse candidature d’un comédien à la mairie de Revin, dans les Ardennes, le film de Thomas Paulot dérange et, finalement, séduit par sa capacité à dépasser le dégoût du politique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Entre documentaire et fiction, toujours à bonne distance de ceux qu’il filme, Thomas Paulot raconte brillamment cette France abîmée par le chômage et son rapport forcément complexe au bulletin de vote et l’espoir qu’il puisse changer quoi que ce soit.
Télérama
par Samuel Douhaire
L’irruption d’un Parisien candidat aux municipales dans une petite ville des Ardennes. Savoureux.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un peu long mais formidablement (im) pertinent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Si cette utopie s’est rapidement heurtée à la réalité, l’expérience n’en demeure pas moins fascinante. Sur le plan cinématographique dans sa façon d’introduire de la fiction dans le réel, comme sur le plan politique puisqu’elle pose la question de la légitimité même de l’élection.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Comme Pater (2011) l’avait fait avant lui, il joue sur la porosité qui existe entre une mise en scène de cinéma et un projet politique, mais là où Alain Cavalier se promenait sur le fil d’une passation des pouvoirs, Thomas Paulot nous conduit tout droit dans une impasse. À deux mois et demi du premier tour de la présidentielle, Municipale nous met face à l’abîme qui existe entre la population et ses représentant·es politiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Louise Dumas
Municipale est ainsi un happening cinématographique assez captivant, en dépit de certaines longueurs liées à un montage qui manque parfois de dynamisme.
Première
par Thierry Chèze
Souffrant de baisses de rythme, Municipale raconte cependant avec acuité ces coins de France gangrénés par le chômage où le mouvement des Gilets Jaunes a trouvé sa source.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
À travers cette expérimentation originale, où la fiction pénètre le réel, Thomas Paulot propose un documentaire passionnant sur l’engagement, les petites villes et la politique locale.
Cahiers du Cinéma
L’innocence presque comique de Papot révèle tout un maillage politique hérité des syndicats mais aussi lié à l’expérience plus récente des Gilets jaunes.
L'Humanité
Municipale figure un drôle d’objet hybride, fascinant mélange d’expérimentation sociologique et de documentaire. Ce cinéma du réel dynamite les formes en insérant un comédien à l’équation du récit, à la manière d’Alain Cavalier dans Pater.
Le Monde
Le film documente la France, en un mot. Des petits notables et des grands abandonnés, de la peur et de la colère.
Les Fiches du Cinéma
Ce qui pourrait n'être qu’un argument de fiction devient plus réel de minute en minute et redonne un peu de pimpant au politique.
Libération
Ovni cinématographique mettant en scène la vraie-fausse candidature d’un comédien à la mairie de Revin, dans les Ardennes, le film de Thomas Paulot dérange et, finalement, séduit par sa capacité à dépasser le dégoût du politique.
Ouest France
Entre documentaire et fiction, toujours à bonne distance de ceux qu’il filme, Thomas Paulot raconte brillamment cette France abîmée par le chômage et son rapport forcément complexe au bulletin de vote et l’espoir qu’il puisse changer quoi que ce soit.
Télérama
L’irruption d’un Parisien candidat aux municipales dans une petite ville des Ardennes. Savoureux.
L'Obs
Un peu long mais formidablement (im) pertinent.
La Croix
Si cette utopie s’est rapidement heurtée à la réalité, l’expérience n’en demeure pas moins fascinante. Sur le plan cinématographique dans sa façon d’introduire de la fiction dans le réel, comme sur le plan politique puisqu’elle pose la question de la légitimité même de l’élection.
Les Inrockuptibles
Comme Pater (2011) l’avait fait avant lui, il joue sur la porosité qui existe entre une mise en scène de cinéma et un projet politique, mais là où Alain Cavalier se promenait sur le fil d’une passation des pouvoirs, Thomas Paulot nous conduit tout droit dans une impasse. À deux mois et demi du premier tour de la présidentielle, Municipale nous met face à l’abîme qui existe entre la population et ses représentant·es politiques.
Positif
Municipale est ainsi un happening cinématographique assez captivant, en dépit de certaines longueurs liées à un montage qui manque parfois de dynamisme.
Première
Souffrant de baisses de rythme, Municipale raconte cependant avec acuité ces coins de France gangrénés par le chômage où le mouvement des Gilets Jaunes a trouvé sa source.