Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Véritable manifeste pop, CQ est un collage habile, souvent drôle, où les univers se bousculent (...) et se répondent, colmatés par le seul entrain de notre laborantin hype. Avec ce tour de passe-passe aussi vain que grisant, Roman Coppola retarde son entrée chez les cinéastes adultes ; après tout, rien ne presse, il n'est jamais trop tard pour se prendre au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est aussi un hymne d'amour sensible et plein d'humour à la France qui l'a vu naître.
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Maladroite et charmante, inégale et sincère, une ode au cinéma des années 60 traversée de moments magiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Si Coppola a réussi à monter un casting international, il lui arrive aussi de négliger certains de ses acteurs. Depardieu est grotesque en réalisateur capricieux. Elodie Bouchez est vraiment sous-exploitée dans un rôle limité et très cliché de petite amie éconduite. Mais le premier film de Coppola Jr est globalement réussi. Un bon début pour se faire un prénom.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout aussi fasciné par la mode rétro que sa soeur Sofia, Roman approche de façon plus laborieuse l'univers fantastique des années soixante. En effet, il se cantonne essentiellement au pastiche appuyé et entremêle trois films : le récit classique des émois d'un aspirant réalisateur ; l'ouvre intimiste qu'il tourne chez lui en noir et blanc, style nouvelle vague ; le très kitsch film de science-fiction qu'il réalise en studio. On ne sort guère du fétichisme appliqué.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Philippe Azoury
Le tout est d'une légèreté appréciable, parfaitement sans conséquence aucune.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
En résulte une comédie inconstante, plus qu'inconsistante, qui multiplie les clins d'oeil amusants, mais un peu vains.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thieery Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un mélange des genres bourré d'humour et de souvenirs personnels qui pèche parfois par manque de rythme mais jamais d'élégance.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Plaisir élégiaque, certes, mais amour du cinéma un peu anesthésié, voire "muséifié", auquel il manque l'énergie et le pétillement d'une passion plus contemporaine. La nostalgie est bien ce qui fait à la fois le charme et les limites de l'exercice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
L'histoire... un réalisateur qui se cherche et travaille sur des séries B - a assez peu d'importance, mais l'ambiance de ces années est vaillamment reconstituée. Ce qui donne un réel cachet au film, qui aura toutefois bien du mal à s'inscrire dans les mémoires.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
par Philippe Piazzo
Fausse piste, hélas. Ne reste qu'un va-et-vient - vague et vain - entre réalité et fantasme, création et compromission. Fils de Francis Ford et frère de Sofia, Roman Coppola a au moins le mérite d'avoir choisi un style à part. Dommage qu'il ne l'ait pas vraiment trouvé.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Roman Coppola résout la difficulté, non pas comme son père en la dépassant, mais en s'y soustrayant(...).
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
CQ est un film hommage, en l'occurrence au cinéma de genre des années 1960. Ce jeu de miroir alourdit totalement le récit et la mise en scène de Roman Coppola, au point de les rendre vains, tant la figure omniprésente du père impose une révérence peu compatible avec un travail de créateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
La participation de Gérard Depardieu est anecdotique et celle d'Elodie Bouchez peu convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Arnaud Bordas
(...) on se désintéresse très vite du film et on prend pitié pour des gens comme John Philip Law qui sont venus faire les pantins dans ce faux film d'auteur, faux hommage nostalgique à un cinéma révolu, mais vraie pantalonnade "cheap" et toc.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Obejctif-Cinema.com
par Matthieu Chéreau
Essai non transformé donc. Trop brouillon, bavard et en même temps creux – par conséquent vain – comme quoi trouver une fin ne résout pas tout.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Chronic'art.com
Véritable manifeste pop, CQ est un collage habile, souvent drôle, où les univers se bousculent (...) et se répondent, colmatés par le seul entrain de notre laborantin hype. Avec ce tour de passe-passe aussi vain que grisant, Roman Coppola retarde son entrée chez les cinéastes adultes ; après tout, rien ne presse, il n'est jamais trop tard pour se prendre au sérieux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
C'est aussi un hymne d'amour sensible et plein d'humour à la France qui l'a vu naître.
Les Inrockuptibles
Maladroite et charmante, inégale et sincère, une ode au cinéma des années 60 traversée de moments magiques.
MCinéma.com
Si Coppola a réussi à monter un casting international, il lui arrive aussi de négliger certains de ses acteurs. Depardieu est grotesque en réalisateur capricieux. Elodie Bouchez est vraiment sous-exploitée dans un rôle limité et très cliché de petite amie éconduite. Mais le premier film de Coppola Jr est globalement réussi. Un bon début pour se faire un prénom.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Tout aussi fasciné par la mode rétro que sa soeur Sofia, Roman approche de façon plus laborieuse l'univers fantastique des années soixante. En effet, il se cantonne essentiellement au pastiche appuyé et entremêle trois films : le récit classique des émois d'un aspirant réalisateur ; l'ouvre intimiste qu'il tourne chez lui en noir et blanc, style nouvelle vague ; le très kitsch film de science-fiction qu'il réalise en studio. On ne sort guère du fétichisme appliqué.
Libération
Le tout est d'une légèreté appréciable, parfaitement sans conséquence aucune.
Première
En résulte une comédie inconstante, plus qu'inconsistante, qui multiplie les clins d'oeil amusants, mais un peu vains.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un mélange des genres bourré d'humour et de souvenirs personnels qui pèche parfois par manque de rythme mais jamais d'élégance.
Télérama
Plaisir élégiaque, certes, mais amour du cinéma un peu anesthésié, voire "muséifié", auquel il manque l'énergie et le pétillement d'une passion plus contemporaine. La nostalgie est bien ce qui fait à la fois le charme et les limites de l'exercice.
Zurban
L'histoire... un réalisateur qui se cherche et travaille sur des séries B - a assez peu d'importance, mais l'ambiance de ces années est vaillamment reconstituée. Ce qui donne un réel cachet au film, qui aura toutefois bien du mal à s'inscrire dans les mémoires.
Aden
Fausse piste, hélas. Ne reste qu'un va-et-vient - vague et vain - entre réalité et fantasme, création et compromission. Fils de Francis Ford et frère de Sofia, Roman Coppola a au moins le mérite d'avoir choisi un style à part. Dommage qu'il ne l'ait pas vraiment trouvé.
Cahiers du Cinéma
Roman Coppola résout la difficulté, non pas comme son père en la dépassant, mais en s'y soustrayant(...).
Le Monde
CQ est un film hommage, en l'occurrence au cinéma de genre des années 1960. Ce jeu de miroir alourdit totalement le récit et la mise en scène de Roman Coppola, au point de les rendre vains, tant la figure omniprésente du père impose une révérence peu compatible avec un travail de créateur.
Le Parisien
La participation de Gérard Depardieu est anecdotique et celle d'Elodie Bouchez peu convaincante.
Mad Movies
(...) on se désintéresse très vite du film et on prend pitié pour des gens comme John Philip Law qui sont venus faire les pantins dans ce faux film d'auteur, faux hommage nostalgique à un cinéma révolu, mais vraie pantalonnade "cheap" et toc.
Obejctif-Cinema.com
Essai non transformé donc. Trop brouillon, bavard et en même temps creux – par conséquent vain – comme quoi trouver une fin ne résout pas tout.