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Yautja
1 abonné
2 critiques
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3,5
Publiée le 11 août 2022
Salut à toutes et tous, Prey reste dans l'ensemble un film correct, une bonne histoire avec cette Comanche qui veux prouver ses aptitudes en montrant qu'elle n'est pas faite uniquement pour cueillir des racines. De beaux plans, de belles chorégraphies, un Yautja un peu maladroit mais qui est tout comme Naru, en phase d’initiation, de mon coté c'est pardonné. Les petits clin d’œil au anciens Predator sont les bienvenus. Heureux de constater que ce 5eme opus remonte le niveau de cette saga après le fiasco du 4eme de 2018. Je souhaite voir un 6eme qui serait un peu comme le 3 mais en mieux exploité ou les créateurs développeraient sur la l’espèce Yautja, leurs origines, leur évolution et leurs motivations. Les points négatifs, quelques incohérences et des CGI pas vraiment au top (exemple l'ours et j'en passe) Conclusion, un bon petit survival mais peu mieux faire. Ma note pour Prey est de 3.5
Ultra déçu : a) la demoiselle n'a aucun charisme, elle fait la même teuté (de demeurée genre Frondon dans le Seigneur des Anneaux) pendant tout le flim b) aucune intensité dramatique c) musique insipide d) on ne comprend pas les Canadiens français e) en fait, il ne se passe rien Heureusement qu'il y a le Lechien, 5 étoiles pour le Lechien !
bonne surprise !!! . Tout est originale: du design du predator, a la chasse, a la temporalité du recit, au combat entre les indiens et le predator. !!! Pas de copie !!! Un chouia long au debut de presentation des indiens, mais apres... Mention super bien le combat Prey/ours !!!
Et si la belle surprise de cet été (à mes yeux d'amateur) ne venait pas de nos salles obscures mais plutôt d'un modeste territoire amérindien en pleine nature ?! Ne boudons pas notre plaisir, ce "petit" film d'aventure réussit pratiquement tout ce qu'il entreprend et nous donne enfin une belle performance de notre prédateur extraterrestre tant maltraité. Il était temps tout de même. Plus archaïque, plus "sauvage", plus percutant et sans être le film de l'année, ce Prey (notez le changement du titre de la licence, ce n'est pas anodin) a de sacrés atouts dans sa manche : une belle photographie (les séquences durant la nuit m'ont agréablement surpris), joli casting (mention spéciale pour l'héroïne, pour son frangin...et au toutou incroyable !), une réalisation maîtrisée avec de belles scènes bien marquantes, des idées de montage bien sympa, une belle musique (très discrète mais ce n'est pas négatif au contraire), une histoire "simple" qui prend son temps d'installer une ambiance et qui tient la route (sans être extraordinaire... mais parfois une idée simple bien mise en scène vaut mieux qu'un truc mal foutu que personne ne comprend, non?!)... et surtout avec la lourde tâche de remettre sur le devant de la scène une licence sans cesse malmenée et en perdition. Le film a réussi à me captiver durant tout le long du périple et j'ai même retrouvé des sensations du premier Predator (mais si, vous savez, le fait de chercher la bestiole dans les décors...) et certaines séquences sont juste excellentes. Alors oui, étant fan de jeux vidéo, j'y ai retrouvé certains éléments et certaines capacités qui façonnent notre héroïne...héritées d'autres licences vidéoludiques (Lara Croft, Aloy, Kratos... voir Assassin's creed 3 ) mais est-ce péjoratif ? Du moment que c'est fait intelligement, perso, non, bien au contraire ! Sans prétention, ce "petit" film d'action ne démérite pas face à certains gros blockbusters bien décevants...et il aurait juste mérité une sortie dans nos salles cet été, histoire de profiter de certains plans magnifiques et de faire son petit effet. Même sur ma télé, Prey m'a bien diverti et surtout conquis... Un "come-back" bien venu qui fait un bien fou ! Bon film à tous.
Enfin un Predator digne de ce nom, sans arriver à la hauteur du 1er opus, PREY à le mérite d'être original en choisissant une période de la civilisation plus ancienne au milieu des indiens. Si le début peut sembler un peu long à se mettre en place, on prend tout de même plaisir à découvrir l'histoire des personnages le tout dans des décors parfois vraiment somptueux, les scènes d'action sont efficaces et on s'amuse à voir le Predator usé de ces armes. Une belle surprise que je n'attendais plus.
Le plus aboutie et le plus en adéquation avec l'époque donc réaliste il me semble .., le scénario est bien ficelé la force de survivre au quotidien est l'esprit entier du guerrier Comanche... seul les capacités physiques véritable de ces hommes vivant totalement dans la nature est surévalué mais ça crée une dynamique adéquat au danger qu'est le predator .... Excellent film avec beaucoup plus de sensibilité que ses prédécesseurs !
Prey, nous voilà avec une vrai partie de chasse, car oui très loint des deux derniers film absolument horrible celui ci est absolument géniale sa va de l'environnement et la photographie de cette forêt du Canada absolument magnifique l'atmosphère angoissant et brutal que propage l'apparition de se Predator et comme je le dis qui est vraiment violent. Aussi le personnage principal qui a un vrai but et qui vraiment badass. Voilà enfin un film au niveau des précédents !
Après les quelques bouses situées entre Predator 2 et Prey, j'avoue peut-être un peu surnoter le film. Mais quel bonheur, quel plaisir de retrouver cette ambiance. J'avais peur qu'en mettant une fille comme héroïne, un côté wok serait trop prononcé. Mais non, elle a toute sa place, son cheminement est limpide. Ce film est très bien filmé, le Predator présent, ni trop, ni pas assez. Tout est bien dosé dans ce film d'1h40 où on ne s'ennuie pas un instant. Ce n'est pas un préquel, mais juste un épisode se déroulant vers 1700. Mais quel épisode, merci Disney. A voir absolument pour retrouver un Predator de qualité
J'ai apprécié la beauté des images, les costumes, la lumière, les plans larges et rapprochés. En revanche, c'est censé être un préquel et je regrette que le scénario ne révèle rien de plus sur les origines du Prédator. L'histoire est assez basique. Ce qui m'a vraiment gêné aussi, c'est la modernité du langage et sa sophistication qui nuit a son authenticité. Dommage.
Enfin un film Predator qui est un film purement Predator, respect des codes et de la mythologie sans trop en faire pour faire, réalisation efficace, images superbes. Un bel hommage sous jacent aux amérindiens. Le seul défaut est qu’il soit sorti directement en streaming. Je le rêverais avec plaisir sur un grand écran !
Une bouse comme j'en ai rarement vu, absolument aucune crédibilité ! Et le passage bien forcé d'un comanche qui claque un retourne faire la cuisine ... C'est bon ça suffit le féminisme on a compris homme et femme sont égaux pas besoin d'en rajouter une couche, même alien vs predator est plus sympa a regarder que ce nanar
Après le catastrophique The Predator de Shane Black, je n'attendais absolument rien de Prey et je n'ai pas été déçu malgré quelques défauts sur lesquels je vais revenir dans cette critique.
L'histoire nous propose de suivre les pérégrinations de la déterminée Naru qui cherche à devenir une chasseuse alors que cette activité est réservée aux hommes de la tribu. Le film de Dan Trachtenberg impose une mise en scène sobre, sans esbrouffe ; peut-être est-elle dû à un budget limité à cause d'une sortie en VOD plutôt qu'au cinéma mais le résultat est intéressant et apporte une certaine authenticité au récit. On y retrouve donc l'esprit du film culte John Mc Tiernan avec ce sentiment d'oppression d'une nature vampirisée par le Predator, les scènes d'action bien gores s'enchaînent sans temps mort et les comédiens ont le bon goût de ne pas faire dans le pathos. On passe un très bon moment même si Prey n'atteint jamais le brio du Predator de 1987 ou la fougue du second épisode de 1990.
Maintenant il nous faut passer aux faiblesses de ce film et du coup je me dois de passer en mode spoil.spoiler: Rédigeons une petite liste de certaines incohérences : Pourquoi Naru ne se fait pas bouffer par le lion lorsqu'elle chute de l'arbre, comment les colons connaissent l'existence du Predator alors qu'il utilise un camouflage d'invisibilité, pourquoi ils attachent son Naru et sa frère à un arbre à côté d'un piège à ours qui peut servir pour couper leurs liens ou encore pourquoi Naru parvient à enchaîner le Predator aussi facilement à la fin alors qu'il vient de tuer la moitié de la faune locale et des humains présents dans le secteur sans sourciller (sans parler de la facilité avec laquelle Naru parvient à utiliser une technologie extra-terrestre) ?
Ensuite nous devons parler de l'aspect Woke de Prey qui tente de réhabiliter les natifs d'Amérique mais qui sombre dans la caricature des colons qui sont réduits ici à des abrutis barbares obsédés par la destruction. Cette thématique est traitée de manière tellement grossière qu'elle nuit à la crédibilité historique du récit.
Enfin il nous faut revenir sur le féministe sous-jacent du film qui n'est pas gênant en soi mais qui est exploité de manière beaucoup trop opportuniste pour parvenir au résultat convenu. Ainsi Naru est bien trop forte par rapport à ses camarades, elle se sort des situations trop facilement et surtout elle gagne avec trop d'ostentation son combat final, décrédibilisant du coup toute la crédibilité qu'un cheminement plus compliqué lui aurait apporté.
En conclusion si Prey s'avère être un bel hommage au film culte de 1987, efficacement réalisé et proposant son lot de gore assumé à même de régaler les fans de films de genre, Dan Trachtenberg use aussi de grosses ficelles scénaristiques et son film souffre aussi d'incohérences ou de caricatures qui l'empêchent de n'être qu'un bon film Predator alors qu'il aurait pu être le Predator ultime. Dommage.
Retour dans la nature, pour le predator. Aulieu d'une suite, c'est plutôt un prequel datant du 18 ème siècle, où des indiens, des Comanches, sont les proies du monstre, l'une d'entre eux, part à la chasse. De paysages magnifiques, une belle réalisation. Distrayant, avec de bonnes scènes de combat. Cette étrange vision d'éléments du future ou de haute technologie dans un passé où il n'y en avait pas vraiment. Beaucoup de références au premier opus, viennent nous sourrire, de temps en temps. Morceaux de bravoure. Un très bon PREDATOR, certainement le troisième, après les deux premiers.