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    Prey
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    58 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2022
    Le film met du temps à se mettre en place, la première partie du film est longue et guère intéressante, on y voit le quotidien machiste d'une petite tribu indienne. La deuxième partie du film par contre, quand la présence du Predator est devoilée devient beaucoup plus speed, nerveuse et violente. Le film étant sur Disney + on aurait pu craindre un gommage de la violence mais finalement non. Découpage à l'arme blanche, effusion de sang, tout est là même si le film aurait surement gagné à monté d'un cran de plus dans la violence pour vraiment totalement assumer son étiquette Predator.
    Alienore25 Nl
    Alienore25 Nl

    3 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2022
    encore et encore des films sur les memes sujets...predator le seul l unique est celui avec schwarzenegger...apres faut que ça rapporte alors on fait le deux et on fait alien predator et on en refait...ca se laisse regarder quand y a rien d autres...rien d exceptionnel...bref ca m a soulé.
    Arnaud DEMAINE
    Arnaud DEMAINE

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2022
    Je ne suis pas un fan inconditionnel de la série Predator, toutefois j'ai passé un bon moment!
    Belles images, scénario plutôt sympa.
    Suprem
    Suprem

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2022
    Le niveau est clairement relevé contrairement aux derniers predators sortient ses dernières années... On retrouve un peu l'ambiance des tout premiers des années 90 !
    Samuel Leroy
    Samuel Leroy

    10 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 août 2022
    Encore une saga qui tourne au ridicule. Des images de synthèse low cost partout, un prédator qui se réjouit de tuer un lapin... Il faut boycotter le cinéma quand on nous présente des merdes pareilles.
    Wu-Wei
    Wu-Wei

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2022
    Décidément le premier reste le meilleur.
    Pas de tension, trop de numérique (franchement l'ours...), zéro innovation, des personnages trop propres pour être crédibles (au sens littéral avec des vêtements tout droit sortis d'un magasin de déguisement), et j'en passe
    PB69
    PB69

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 août 2022
    Depuis le Predator 1er du nom, la franchise n'a cessé de perdre en qualité, bien que le 2eme du nom n'était pas si mauvais. Les étrons qui ont suivi par des pseudo-fans de la licence ont toujours été plus lamentables les uns que les autres.
    Mais bon, parlons de Prey. On est sur un film qui a pris le temps d'être mature scénaristiquement laissant place au développement à la conceptualisation du film. Sur le plan de la photographie, le film est magnifique et rappelle énormément The Revenant pour ses paysages, lumières naturelles, ...
    Dans ce film, on a un parallèle tout au long entre la jeune Comanche (magnifiquement interprètée) et le Predator. Les personnages se croisent, évoluent, progressent dans leurs cheminements et font face à leurs blessures. Certes le Predator n'est pas humanisé (et c'est très bien), mais progresse dans son rôle de chasseur : à la recherche de la proie ultime.
    Le seul bémol du film est son absence de sortie en salle. Il aurait été juste parfait.
    Stef S
    Stef S

    8 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2022
    L un des meilleurs predator, scénario original, très bon concept,ça change de l avant dernier (une daube) .
    tonyhw
    tonyhw

    42 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 août 2022
    Un véritable catalogue de clichés woke. J'aurais bien aimé avoir peur de temps en temps, mais j'étais trop occupé à rigoler.

    Accessoirement, les Comanches ne vivaient ni dans les forêts ni dans les montagnes, mais dans les plaines semi-arides du Texas et de l'Oklahoma actuels, où ils chassaient le bison. Je dis ça, je dis rien...
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 août 2022
    La ligne éditoriale néo-féministe et Lgbt initiée par Netflix, est maintenant embrassée par d'autres plateformes, notamment Disney, Hulu, et Amazon. Le but de cette ligne n'est plus seulement de faire la promotion de l'image de la femme. Car celle-ci s'était déjà beaucoup améliorée sur les écrans depuis vingt ans. Rapide rappel: la 1ère célèbre badass féminin n'est pas Katniss dans "Hunger Games" (déjà 2012!), voire même Lisbeth Salander dans "Millenium", sorti en 2009, mais Ripley dans "Alien" (1979 !!!). Quant à la télé, Buffy y casse du mec et du vampire depuis 1997 !!! Donc, les néo-féministes défoncent, en fait ,des portes déjà ouvertes depuis belle lurette. Pour ce qui est du versant Lgbt de cette ligne éditoriale, l'objectif n'est plus seulement de rendre visible et "acceptable" le ou la gay. Le but est désormais de faire disparaître, dans l'esprit du grand public, l'ancien modèle hétéro, et de tenter de le remplacer par le modèle homo et transgenre. Comment ? En faisant en sorte que toutes les valeurs associées à l'hétérosexualité, taxées de patriarchales, comme celle du " bon père" de famille, de l'homme fort et valeureux, de la femme dévouée, du couple hétéro uni, etc... soient minutieusement déconstruites, et dénigrées. "Prey" s'inscrit droit dans cette ligne éditoriale. L'héroïne est présentée par le réalisateur, Dan Trachtenberg, comme rejetée par son clan, juste parce qu'elle est une femme, et qu'elle veut être reconnue comme chasseur. Ce rejet est à la fois présenté comme injuste, car elle est plus compétente que ses rivaux masculins, il est aussi présenté comme la cause du carnage. Ce traitement est biaisé pour deux raisons. Un, l'héroïne est en réalité rejetée par son clan surtout par ce que ses techniques de chasse sortent de l'ordinaire, et intriguent, plus que parce qu'elle est une femme. Deux, ce n'est pas leur machisme qui empêche les compagnons de Naru de percevoir le bien-fondé de ses observations, mais leur attachement aveugle à leurs us et coutumes de chasse. Le film, tout en ne manquant pas d'intérêt, est fort décevant. Primo, il est basé sur un traitement biaisé, avec une bonne dose de déjà-vu, prélevé dans "Predator". Deuxio, il pêche par son manque d'explication sur les méthodes finales qui permettront à Naru de gagner. Tercio; Amber Midthunder n'impressionne pas franchement par son talent. C'était d'ailleurs un peu le cas de Marie Elizabeth Winstead, dans "10 Cloverfield Lane", Mais il faut avouer que cet autre film de Dan Trachtenberg, était bien plus original et mieux construit que "Prey".
    Néo_film
    Néo_film

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2022
    Le problème avec ce genre de film c’est qu’on a forcément en tête le premier predator avec Schwarzy, on est obligé de comparer et de constater que celui-ci est moins bien réalisé, les acteurs sont quelconque. La sauce ne prend pas, malgré le potentiel d’un monstre comme le predator.
    Yetcha
    Yetcha

    880 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2022
    Aaaaaaaaaaaah. Fan de Predator, j'attendais forcément avec impatience cette préquelle avec une héroïne. tout est cohérent, avec même une "réponse" à une interrogation au film Predator 2. Il est un peu dommage qu'on voit le predator si tôt, on sent que le réalisateur ne voulait pas cela avec des ajouts en CGI un peu crades qui sentent bon la pression du studio. Si cet aspect est dommage, cela ne gâche pas totalement le film qui reste dans le top 3, voire le top 2 des films de la franchise iconique initiée par McTiernan et Arnold.
    Franck G
    Franck G

    17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 août 2022
    Je n'ai pas dû voir le même film, arrêtez de le comparer au 1er ni au 2 ni au 3 d'ailleurs
    Une gamine de 50kg, nulle comme tout en chasse qui affronte un predator en 4 minutes chrono, sans compter l'actrice et son charisme digne d'une moule sur son rocher. Incohérences et erreurs complètement bidon spoiler: (un predator qui porte à bout de bras un ours, le frère de l'héroïne qui porte sur son épaule un puma mort adulte, un predator qui deviens une machine à tuer tout ce qui bouge sans même se camoufler, etc etc).

    Quant aux comanches.... Ici ils sont représentés comme une belle petite tribu toute mignonne proche de la nature... Intéressez vous a l'histoire, les comanches faisaient partis des tribus indiennes les plus violentes des usa à cette époque !! Et la ils sont représentés tout mignon, les cheveux bien lissés, bien maquillés, aucune cicatrice (pour des guerriers chasseurs bizarre non !?) ce film ne montre absolument rien des tribus comanches, ah si il le montre mais à la sauce Disney, c'est tout mignon, faut arrêtez les conneries !
    Le predator dans ce film devient une machine à tuer sans aucun but, aucune tactique, il ne se camoufle même plus pendant les affrontements (dans le 1er je rappelle que c'est une vraie traque, avec une certaines technique, il les tuent 1 par 1 etc bref une vraie chasse dans un vrai film). En plus que celui ci soit moins évolué que dans le 1er puisque ici le film se passe en 1718 aucun soucis, par contre pourquoi lui faire cette face ridicule ?


    Point positif du film: ses belles images de paysages

    Bref une belle daube à la sauce Disney, hyper féministe à mort (si si on fait bien passer les hommes pour des cons dans ce film, qui ne comprennent rien, qui prennent la femme pour une abrutie alors qu'en fait elle a raison pour tout. Pourtant Ridley Scott a réussi à faire une héroïne féminine extraordinaire dans Alien sans nous suggérer toute les 3 minutes que les femmes sont fortes et les hommes des débiles profonds). Ce cinéma actuel a la sauce woke Disney commence à sérieusement me gonfler.
    Je n'arrive toujours pas à comprendre comment autant de personnes ont adorés ce Prey (surtout les fans du 1er).
    Agnes P.
    Agnes P.

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2022
    nous attendions avec impatience la diffusion de film au vu de la bande annonce ! mais quelle grande deception de bons acteurs mais pourtant un film beaucoup trop long
    ne perdez pas votre tps
    Zoumir
    Zoumir

    67 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2022
    Le bonheur est dans le Prey ?
    Jeu de mots facile et réponse immédiate :
    OUI ! Le bonheur est dans le Prey.
    Oui car j'ai fait la rencontre du Predator le 26 Octobre 1993, soir mémorable de mes 12 ans, où se levait la restriction appliquée au pied de la lettre par mes parents. Je n'avais pas dormi de la nuit. Dans mon imaginaire, il y a deux créatures : le Xénomorphe de la saga Alien et le Yautja des Predator. L'un comme l'autre représentent à mes yeux la quintescence de la machine à tuer à tel point qu'il est difficile, peu importe leurs opposants, de voir dans les affrontements auxquels on assiste, une quelconque égalité.
    Les dés sont pipés ! C'est de la triche.

    Ainsi, depuis cet affrontement mémorable contre Schwarzie sous le regard antimilitariste de John McTiernan, l'extraterrestre impitoyable garde une saveur toute particulière pour moi. Si chacune de ses nouvelles aventures cinématographiques me faisait toujours frétiller, elle m'apportait aussi tristesse et déception. Il y eu Predator 2 certes, mais il y a bien longtemps que mes espoirs n'étaient plus que des cendres éparpillées par Nimrod Antal et Shane Black (au casting du premier) après les tristes crossovers Alien VS. Predator
    Pourtant, Dan Trachtenberg, sous l'égide de Disney réussit ici à redonner ses lettres de noblesses à ce bon chasseur venu d'ailleurs même si on sent plâner l'ombre des grandes oreilles à travers ce besoin de "représenter" ceux qui le sont moins (surtout lors du générique final à la sauce Vaiana).

    Retour sur terre donc, à une période antérieure à la guerre du Vietnam puisqu'on est projeté ici en 1719, dans les grandes plaines d'amérique du nord, sur les traces de Naru (Amber Midthunder), jeune comanche désireuse de s'affranchir de son destin de femme au tipi pour devenir une guerrière reconnue par les siens, à l'image de son frère Taabe (charismatique Dakota Beavers).
    Ce prequel aux quatre précédents films nous replonge en pleine nature et installe doucement l'inévitable rencontre entre cette jeune fille et ce monstre furtif à la technologie avancée.
    Bien entendu, le combat est inégal, nous le savons, mais Patrick Aison et Dan Trachtenberg l'ont bien compris. Tout comme Naru qui s'inquiète assez rapidement des traces laissées par son futur opposant, le scénariste et le réalisateur prennent le temps de le présenter aux novices en insistant sur le déséquilibre de l'affrontement futur jusqu'à une scène magistrale dans les herbes hautes d'une plaine en vue aérienne. Il reste d'ailleurs au terme de ce visionnage quelques moments assez marquants et des combats plutôt bien chorégraphiés où nos amis comanches se démènent entre membres volants et morceaux de bravoures.

    Au-delà du film, du scénario, des acteurs plutôt convaincants, le Yautja à abattre reste le point central du film et c'est avec plaisir qu'il est ici réhabilité tout en voyant son armement et son masque réadaptés à l'époque et à ses opposants. Des changements bienvenus qui accompagnent ce retour dans l'esprit survival.
    Quelques clins d'oeil viennent même très subtilement agrémenter le tout sans jamais tomber dans le pastiche et la lourdeur.

    "Si ça saigne, on peut le tuer !"
    Raphael Adolini.

    C'est donc un grand oui. Même s'il ne possède en rien la force et bien entendu l'originalité du premier, Prey constitue enfin un film digne du chef d'oeuvre de 1987. Sarah Schachner n'est pas Alan Silvestri mais elle compose une bande originale qui accompagne pleinement cette nouvelle traque. Naru n'est pas Dutch, surtout dans le dernier acte bestial et primaire qu'offrait McTiernan à Arnold Schwarzenegger mais elle donne à la saga une héroïne consistante à des lieux d'un Boyd Holbrook ou d'un Adrian Brody.
    Une bien belle surprise donc. Un film clair, net et preycis.
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