AlloCiné
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Votre avis sur Prey ?
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Cinquième déclinaison de predator. Ici une petite comanche contre le gros alien, le cocktail est improbable. Et pourtant ça marche! Le film privilégie une belle photographie ce qui accentue le contraste entre be-auté et cru-auté. Le maquillage à la Mimi Siku pourrait faire fureur dans nos collèges cet automne. C'est pour moi le meilleur de la série.
J'ai bloqué sur l'ours, on aurait dit des effets spéciaux d'un péplum de 1981 !!!! Les images de synthèses concernant les animaux sont bof, ça gâche un peu tout (mais les animaux de synthèse ça ne fonctionne jamais de toute façon). Je me moque royalement que ce soit une femme qui ai le 1er rôle, pour moi ça passe. Arrêtez de crier au wokisme tout le temps les gens, c'est encore plus lourd que le wokisme lui-même. Un des problèmes et que c'est juste de la belle photographie, documentaire pendant 45 à 50 minutes et ça ennui rapidement, ça tourne toujours autour d'un personnage, du coup ça manque de dynamisme, autant à l'image que dans l'histoire et on sait déjà comment ça va se terminer. Il est clair que le film n'est pas oppressant et c'est bien dommage, mais celui de 1987 qui forcément est le meilleur et le 2 m'avaient oppressé quand j'étais ado, ils ne le sont plus autant qu'à leurs sorties...il ont pris un coup ....pourtant il fonctionnent mieux car beaucoup de personnages, une mise en scène prise de tête avec beaucoup de décors...les 10 premières minutes du 2 représentent tout le dynamisme de Prey qui dure 1h45.
Vraiment excellent ? une immersion "pleine nature" intense, sauvage et vivifiante, quelle idée géniale de confronter le plus grand des chasseurs aux plus valeureux guerriers du continent américain. Acteurs, scenario, effet speciaux, plans, combats, rythme ! Le meilleur de la série à mon goût ! Mitacuye Oyasin !
Beaux paysages, Beau film, belle intensité, agréable surprise sur cette réalisation qui reste dans l'esprit de la saga tout en respectant les codes. Bravo
Une héroïne charismatique, une vraie bonne histoire, des paysages à couper le souffle, le peuple indien magnifiquement filmé, une réussite avec en prime un clin d'œil au second volet juste à la fin. Très sympa.
Le meilleur film Predator depuis le premier, ce qui ne veut pas dire grand chose car jusqu'à présent, aucun film n'a fait honneur à la créature de son titre, y compris le premier.
7 films avec ce majestueux chasseur de l'espace et malheureusement aucun n'est vraiment bon. L'original est essentiellement un film de commando dans la jungle post-Vietnam post-Rambo 2 qui n'est sauvé que par le charisme de Schwarzenegger et de l'indien (déjà!). L'affrontement y est percutant mais la beaufitude des personnages et l'intrigue militaire désolante le rendent sans grand intérêt après plusieurs visionnages. (La première fois fut évidemment une claque.) Ici, c'est le même vide en matière d'intrigue et de personnages. L'héroïne est sympathique mais à part prouver sa valeur, rien ne la guide. C'est une question d'égo avant tout, même quand elle sauve quelqu'un. Pas ce que j'attends d'un héros qui se doit d'être plus altruiste. Sa mère est de bons conseils mais rare à l'écran. Son frère hésite entre machisme traditionnel et soutien de sa petite soeur. J'aurais aimé un frère plus rebelle, un vrai duo. Quant aux autres personnages, rien. Le vide absolu. Le reste de la tribu. Les visages pâles. Zéro. Les personnages des deux AVP étaient bien meilleurs (mais l'intrigue et l'exécution y étaient ratées!) Les apparitions du Predator sont excellentes quoiqu'un peu trop de hors champ quand il attaque, mais surtout, encore cette overdose de camouflage optique, certes logique narrativement et pour la chasse mais qui ne permet pas de mettre en valeur la créature, une fois de plus.
En résulte un film qui ne raconte rien, une fois de plus. Aucune mythologie. Il n'est même pas question de sauver sa tribu ou le village blanc d'à côté qui aurait mené à une réconciliation des deux peuples par exemple. Mais non. Rien. Une simple traque entre un prédateur et sa proie et inversement. AVP avait eu le mérite de tenter quelque chose. Ici, l'héroïne est acceptée comme chasseresse par sa tribu. Voilà. Tout ça pour ça. Le film est prometteur pour ses nouvelles aventures chez Disney et je rêverais le voir affronter les Pirates des Caraïbes (pas loin de ce film dans la chronologie) ou des héros Marvel. (Moon Knight ? Blade ?) Tout est possible avec cette magnifique créature alors arrêtez de le mêler à des personnages si fades pour juste une traque et puis s'en va. Ayez plus d'ambition. Un film a besoin de bons personnages, pas seulement d'une bonne créature!
7 films avec ce majestueux chasseur de l'espace et malheureusement aucun n'est vraiment bon. L'original est essentiellement un film de commando dans la jungle post-Vietnam post-Rambo 2 qui n'est sauvé que par le charisme de Schwarzenegger et de l'indien (déjà!). L'affrontement y est percutant mais la beaufitude des personnages et l'intrigue militaire désolante le rendent sans grand intérêt après plusieurs visionnages. (La première fois fut évidemment une claque.) Ici, c'est le même vide en matière d'intrigue et de personnages. L'héroïne est sympathique mais à part prouver sa valeur, rien ne la guide. C'est une question d'égo avant tout, même quand elle sauve quelqu'un. Pas ce que j'attends d'un héros qui se doit d'être plus altruiste. Sa mère est de bons conseils mais rare à l'écran. Son frère hésite entre machisme traditionnel et soutien de sa petite soeur. J'aurais aimé un frère plus rebelle, un vrai duo. Quant aux autres personnages, rien. Le vide absolu. Le reste de la tribu. Les visages pâles. Zéro. Les personnages des deux AVP étaient bien meilleurs (mais l'intrigue et l'exécution y étaient ratées!) Les apparitions du Predator sont excellentes quoiqu'un peu trop de hors champ quand il attaque, mais surtout, encore cette overdose de camouflage optique, certes logique narrativement et pour la chasse mais qui ne permet pas de mettre en valeur la créature, une fois de plus.
En résulte un film qui ne raconte rien, une fois de plus. Aucune mythologie. Il n'est même pas question de sauver sa tribu ou le village blanc d'à côté qui aurait mené à une réconciliation des deux peuples par exemple. Mais non. Rien. Une simple traque entre un prédateur et sa proie et inversement. AVP avait eu le mérite de tenter quelque chose. Ici, l'héroïne est acceptée comme chasseresse par sa tribu. Voilà. Tout ça pour ça. Le film est prometteur pour ses nouvelles aventures chez Disney et je rêverais le voir affronter les Pirates des Caraïbes (pas loin de ce film dans la chronologie) ou des héros Marvel. (Moon Knight ? Blade ?) Tout est possible avec cette magnifique créature alors arrêtez de le mêler à des personnages si fades pour juste une traque et puis s'en va. Ayez plus d'ambition. Un film a besoin de bons personnages, pas seulement d'une bonne créature!
J'ai passé un bon moment devant ce prequel de Predator. Certes, les films de 1987 et 2010 restent meilleurs, mais ce nouveau film est supérieur à tous les autres opus de la série. L'idée de placer l'action à la fin du 18e siècle, dans une Amérique naissante, est intéressante et rafraichissante. Le film m'a donné envie de rejouter à Turok sur Nintendo 64.
Un cross over entre Frère des ours, Mulan et Predator. Au final, j'ai bien aimé : réalisation soignée et musique classe au service d'une histoire bien racontée.
Après le passage catastrophique de Shane Black, Prey remonte légèrement le niveau avec de bonnes idées notamment ce bond en arrière dans l'âge et cette civilisation terre à terre avec la nature, le coté échelle alimentaire est aussi le bienvenue, l'actrice dans son petit costume incarne bien son rôle de Comanche mais voilà, au bout d'un quart d'heure je n'y crois plus, sa monté en puissance est juste abusée et de la voir punir le Yautja de cette façon l'est tout autant. Je rajouterais le manque de réalisme pour certains animaux tout en soulignant la beauté des paysages. Film à regarder une fois ou deux sans prise de tête mais qui est et restera selon moi à des années lumière des deux premiers opus. Faute à moi d'être un puriste ou trop exigent ? Peut être bien, ou pas.
2.5/10 Dans la corbeille.
2.5/10 Dans la corbeille.
Quatre ans après le honteux et pitoyable The Predator, le terrible chasseur extraterrestre revient, mais fois dans une Amérique encore peuplé de ses premiers autochtones. Et c'est une très bonne suite.
La force du film c'est déjà son originalité : placer l'action dans un contexte de début de colonisation est très intéressante, car c'est encore du jamais vu dans un film du genre. Mais surtout, le Predator ; monstre étranger avec un arsenal nouveau qui tue tout sur son passage ; apparait dès lors comme un allégorie
du colonisation. J'aime beaucoup Naru, elle est très attachante et ses motivations ; bien que classiques ; sont très compréhensible au vu de sa place dans sa tribu. Amber Mithunder nous livre un prestation féroce et très investie. Dès lors, le film va nous préparer à la rencontre entre deux chasseurs, totalement différents. Il va y avoir un véritable slowburn, une longue préparation et des rencontres indirectes entre les deux personnages, jusqu'à un final intense et acharné (malgré quelques facilités). L'évolution et le parcours de Naru évolue de manière logique et cohérente.
Il y sur le film, une réflexion sur la chaîne alimentaire (illustré par le serpent) qui est très pertinente et qui montre que ce Predator bouleverse l'ordre naturel des choses. Comme dans le premier volet, le rapport proie/prédateur qui s'inverse fonctionne toujours aussi bien. Le design du Predator est très réussi et il parvient à être original. Il est également toujours aussi menaçant et parfaitement iconisé.
La photographie ; grise/verte ; est très réussie, elle donne un ton palpable et réel, et les décors naturels sont magnifiques. Dan Trachtenberg sait très bien filmé l'action grâce à des plans séquences et des panoramiques astucieux. La chorégraphie des scènes d'actions et le montage sont parfaits et améliorent les scènes d'actions. Le travail sur le son n'est pas à négliger, il permet une immersion encore plus forte.
Enfin, le film est assez gore, viscérale et beaucoup des kills du Predator sont désormais iconiques. On ressent très bien la puissance du Predator. Après, le film aurait sûrement gagné à être plus violent, il aurait sûrement fallu poussé le délire jusqu'au bout... Enfin, les animaux en CGI sont assez immondes, les textures du visages ne sont visiblement pas finis.
Une très bonne réussite, qui aurait dû sortir en salle.
La force du film c'est déjà son originalité : placer l'action dans un contexte de début de colonisation est très intéressante, car c'est encore du jamais vu dans un film du genre. Mais surtout, le Predator ; monstre étranger avec un arsenal nouveau qui tue tout sur son passage ; apparait dès lors comme un allégorie
du colonisation. J'aime beaucoup Naru, elle est très attachante et ses motivations ; bien que classiques ; sont très compréhensible au vu de sa place dans sa tribu. Amber Mithunder nous livre un prestation féroce et très investie. Dès lors, le film va nous préparer à la rencontre entre deux chasseurs, totalement différents. Il va y avoir un véritable slowburn, une longue préparation et des rencontres indirectes entre les deux personnages, jusqu'à un final intense et acharné (malgré quelques facilités). L'évolution et le parcours de Naru évolue de manière logique et cohérente.
Il y sur le film, une réflexion sur la chaîne alimentaire (illustré par le serpent) qui est très pertinente et qui montre que ce Predator bouleverse l'ordre naturel des choses. Comme dans le premier volet, le rapport proie/prédateur qui s'inverse fonctionne toujours aussi bien. Le design du Predator est très réussi et il parvient à être original. Il est également toujours aussi menaçant et parfaitement iconisé.
La photographie ; grise/verte ; est très réussie, elle donne un ton palpable et réel, et les décors naturels sont magnifiques. Dan Trachtenberg sait très bien filmé l'action grâce à des plans séquences et des panoramiques astucieux. La chorégraphie des scènes d'actions et le montage sont parfaits et améliorent les scènes d'actions. Le travail sur le son n'est pas à négliger, il permet une immersion encore plus forte.
Enfin, le film est assez gore, viscérale et beaucoup des kills du Predator sont désormais iconiques. On ressent très bien la puissance du Predator. Après, le film aurait sûrement gagné à être plus violent, il aurait sûrement fallu poussé le délire jusqu'au bout... Enfin, les animaux en CGI sont assez immondes, les textures du visages ne sont visiblement pas finis.
Une très bonne réussite, qui aurait dû sortir en salle.
Enfin, un film predator, qui vaut le coup. Décors magnifiques, interprétation très sympa. L'idée d'un predator chez les Indiens est bonne.
Tout d'abord merci Disney pour ruiner toutes les liscences qui me sont cher.
Les points positifs :
-De beaux dècor
Les points négatifs :
Une histoire fâde. (si il y en a une hormis le faible discours pseudo féministe récurrent.)
Un acting déplorable. ( l'actrice principale garde la même expression stoïque tout du long.
En passant par la première rencontre avec le Predator jusqu'à toutes les fois où elle échappe de la mort. )
Une CGI digne des années 80 les effets 3D sont infâmes, une honte.
Un Predator dôté de l'intelligence d'une truite.
Un Predator qui ne se cache pas, qui fonce dans le tas, qui se prend des coups beaucoup trop facilement ( aucuns reflexes) bref un Predator qui ne chasse pas n'est pas un Predator.
( Ah si! Il a chassé un serpent un loup et un ours, depuis quand le Predator s'intéresse a des proies si faibles? )
( En parlant de faibles il a executé un homme feignent d'être mort avec une jambe en moins )
Et je vous épargne la scène finale avec le chien du personnage principal qui n'a r à faire dans ce film ( peut-être juste reflèter de la considération sur ce personnage si pauvre. )
UN NAVET A FUIR les standards généraux sont à la baisse la presse gonfle des coquilles creuses.
Les points positifs :
-De beaux dècor
Les points négatifs :
Une histoire fâde. (si il y en a une hormis le faible discours pseudo féministe récurrent.)
Un acting déplorable. ( l'actrice principale garde la même expression stoïque tout du long.
En passant par la première rencontre avec le Predator jusqu'à toutes les fois où elle échappe de la mort. )
Une CGI digne des années 80 les effets 3D sont infâmes, une honte.
Un Predator dôté de l'intelligence d'une truite.
Un Predator qui ne se cache pas, qui fonce dans le tas, qui se prend des coups beaucoup trop facilement ( aucuns reflexes) bref un Predator qui ne chasse pas n'est pas un Predator.
( Ah si! Il a chassé un serpent un loup et un ours, depuis quand le Predator s'intéresse a des proies si faibles? )
( En parlant de faibles il a executé un homme feignent d'être mort avec une jambe en moins )
Et je vous épargne la scène finale avec le chien du personnage principal qui n'a r à faire dans ce film ( peut-être juste reflèter de la considération sur ce personnage si pauvre. )
UN NAVET A FUIR les standards généraux sont à la baisse la presse gonfle des coquilles creuses.
C'est un bon film d'action et d'extraterrestre. Mais je déteste ce genre (ça me fait peur et je n'accroche pas à l'histoire) donc je ne mets "que" quatre étoiles. La personnalité de Naru est intéressante, le dénouement franchement féministe. J'apprécie toujours suivre les aventures solitaires d'une femme dans la nature. Néanmoins, la présence de ce Predator est incongrue. Je n'ai pas compris ses motivations, à part tout détruire sur son passage...
The predator, à l'image de Terminator Genysys avait laissé une des meilleures franchises du cinéma (du moins le premier) à l'était d'abandon artistique. On pouvais craindre le pire avec cet opus avec Disney derrière (même sous la banniere Fox, désolé mais je ne m'y fait pas au nouveau nom)
Excellente surprise ce Pocahontas contre Predator ! De paysages magnifiques, des acteurs d'origines amérindiennes et pour une fois, les "indiens" sont les héros d'un film.
Ecellente mise en scène, un predator très méchant, sauvage à l'arsenal plus primitif que dans le premier puisqu'il se situe en 1719, soit quasi 300 ans avant la rencontre avec Arnold Schwarzenegger en 1987.
Ce film se laisse voir sans problème, il est court donc peu de temps mort.
On passe un excellent moment et ne dénote pas du premier opus original
Excellente surprise ce Pocahontas contre Predator ! De paysages magnifiques, des acteurs d'origines amérindiennes et pour une fois, les "indiens" sont les héros d'un film.
Ecellente mise en scène, un predator très méchant, sauvage à l'arsenal plus primitif que dans le premier puisqu'il se situe en 1719, soit quasi 300 ans avant la rencontre avec Arnold Schwarzenegger en 1987.
Ce film se laisse voir sans problème, il est court donc peu de temps mort.
On passe un excellent moment et ne dénote pas du premier opus original
Un predator s'ennuit et traverse quelques dizaines d'années-lumière pour faire un peu de chasse sur terre. J'imagine qu'il n'y a de crise de carburant sur sa planète... Bref, il débarque en plein sol amérindien et s'amuse avec la faune locale. Un petit week-end de chasse et de camping très classique au final.
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