Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
Une réussite.
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Sous la forme d’un long dialogue ininterrompu, Jeanne Aslan et Paul Saintillan composent un conte poétique, imprégné d’éphémère et de mélancolie, et qui fera certainement partie de ces films qu’on ne se lasse pas de revoir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Juliette Berliat
Récompensé au Festival international du Film de San Sebastián, Fifi est le premier long-métrage réalisé par Jeanne Aslan et Paul Saintillan. Joliment interprété, il a de nombreuses raisons de plaire.
GQ
par Adam Sanchez
À mi-chemin entre le film social et le conte estival, "Fifi" est en grande partie porté par ses deux excellents interprètes principaux qui en font une très jolie comédie doucereuse et nuancée.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Sophie Joubert
Cinéma Dans leur première réalisation commune, Jeanne Aslan et Paul Saintillan suivent l’émancipation d’une adolescente d’un quartier populaire de Nancy, interprétée par la lumineuse Céleste Brunnquell, qui tente de fuir une famille dysfonctionnelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Juliette Berliat
Céleste Brunnquell semble coller à la peau de son personnage, elle confirme son potentiel, après avoir été nommée au César 2020 du Meilleur Espoir Féminin pour son rôle dans Les Éblouis.
Le Parisien
par La Rédaction
Ce film délicat et sensible est irradié par la présence de Céleste Brunnquell, révélée par « Les Éblouis » et la série « En thérapie » et le charme singulier de Quentin Dolmaire (vu dans « Trois souvenirs de ma jeunesse » d’Arnaud Desplechin).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Beau film, tour à tour grave comme un songe et rieur comme une comptine, que Fifi, qui déploie dans le temps délié de l’été une relation privilégiée entre deux âmes statuaires et esseulées, échouées entre la table de ping-pong et la clope en terrasse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Fifi, film décloisonné sur le cloisonnement, trouve sa juste respiration au contact d’une tonalité solaire et un brin naïve qui rappelle le conte et la BD. Enfin, Céleste Brunnquell, hallucinante actrice de l’anti-maîtrise, génialement humble, donne à tout ce qu’elle touche souplesse et nuances.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Histoire de deux solitaires qui s’apprivoisent et portrait doux d’une adolescente, le film de Jeanne Aslan et Paul Saintillan trouve sa voix singulière en évitant les scènes et passages attendus.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une parenthèse enchantée remarquablement incarnée.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un été, une ado squatte une villa, mais le fils de la famille débarque. Un premier film délicat et rohmérien, avec Céleste Brunnquell, éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un instantané d'initiation estivale plein de charme.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Entre comédie et chronique sociale, cette belle histoire d’une rencontre inattendue, pleine de charme et aux dialogues ciselés, doit aussi beaucoup à ses deux jeunes interprètes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
L’initiation amoureuse et sexuelle constitue une fausse piste, si ce n’est un interdit : Fifi et Stéphane sont destinés à rester seuls ou côte à côte, comme le souligne la Fantaisie pour piano à quatre mains de Schubert qui les accompagne.
L'Obs
par Sophie Grassin
Il se passe une foule de choses et presque rien dans ce film plein de charme, mais ce presque rien est montré avec délicatesse, sans précipitation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce petit film délicat met en scène la rencontre d’une adolescente d’un milieu modeste et d’un jeune homme plus aisé. Une jolie respiration, pour les spectateurs aussi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Céleste Brunquell illumine cette chronique estivale rafraîchissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl.
Première réalisation commune de Jeanne Aslan et Paul Saintillan, qui s’inspire en partie des souvenirs d’enfance de la réalisatrice, Fifi cisèle l’échappée belle de leur petite squatteuse de façon à montrer son éveil, aussi obstiné que délicat, au silence, aux livres et aux films trouvés à sa nouvelle adresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Entre humour inattendu et gravité émotionnelle, ce portrait d’une ado qui voudrait mener sa vie comme une adulte surprend ainsi autant qu’il attendrit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une chronique qui se laisse malheureusement un peu trop dériver.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
BIBA
Une réussite.
Culturopoing.com
Sous la forme d’un long dialogue ininterrompu, Jeanne Aslan et Paul Saintillan composent un conte poétique, imprégné d’éphémère et de mélancolie, et qui fera certainement partie de ces films qu’on ne se lasse pas de revoir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Récompensé au Festival international du Film de San Sebastián, Fifi est le premier long-métrage réalisé par Jeanne Aslan et Paul Saintillan. Joliment interprété, il a de nombreuses raisons de plaire.
GQ
À mi-chemin entre le film social et le conte estival, "Fifi" est en grande partie porté par ses deux excellents interprètes principaux qui en font une très jolie comédie doucereuse et nuancée.
L'Humanité
Cinéma Dans leur première réalisation commune, Jeanne Aslan et Paul Saintillan suivent l’émancipation d’une adolescente d’un quartier populaire de Nancy, interprétée par la lumineuse Céleste Brunnquell, qui tente de fuir une famille dysfonctionnelle.
Le Dauphiné Libéré
Céleste Brunnquell semble coller à la peau de son personnage, elle confirme son potentiel, après avoir été nommée au César 2020 du Meilleur Espoir Féminin pour son rôle dans Les Éblouis.
Le Parisien
Ce film délicat et sensible est irradié par la présence de Céleste Brunnquell, révélée par « Les Éblouis » et la série « En thérapie » et le charme singulier de Quentin Dolmaire (vu dans « Trois souvenirs de ma jeunesse » d’Arnaud Desplechin).
Les Fiches du Cinéma
Beau film, tour à tour grave comme un songe et rieur comme une comptine, que Fifi, qui déploie dans le temps délié de l’été une relation privilégiée entre deux âmes statuaires et esseulées, échouées entre la table de ping-pong et la clope en terrasse.
Les Inrockuptibles
Fifi, film décloisonné sur le cloisonnement, trouve sa juste respiration au contact d’une tonalité solaire et un brin naïve qui rappelle le conte et la BD. Enfin, Céleste Brunnquell, hallucinante actrice de l’anti-maîtrise, génialement humble, donne à tout ce qu’elle touche souplesse et nuances.
Libération
Histoire de deux solitaires qui s’apprivoisent et portrait doux d’une adolescente, le film de Jeanne Aslan et Paul Saintillan trouve sa voix singulière en évitant les scènes et passages attendus.
Ouest France
Une parenthèse enchantée remarquablement incarnée.
Télérama
Un été, une ado squatte une villa, mais le fils de la famille débarque. Un premier film délicat et rohmérien, avec Céleste Brunnquell, éblouissante.
Voici
Un instantané d'initiation estivale plein de charme.
aVoir-aLire.com
Entre comédie et chronique sociale, cette belle histoire d’une rencontre inattendue, pleine de charme et aux dialogues ciselés, doit aussi beaucoup à ses deux jeunes interprètes.
Cahiers du Cinéma
L’initiation amoureuse et sexuelle constitue une fausse piste, si ce n’est un interdit : Fifi et Stéphane sont destinés à rester seuls ou côte à côte, comme le souligne la Fantaisie pour piano à quatre mains de Schubert qui les accompagne.
L'Obs
Il se passe une foule de choses et presque rien dans ce film plein de charme, mais ce presque rien est montré avec délicatesse, sans précipitation.
La Croix
Ce petit film délicat met en scène la rencontre d’une adolescente d’un milieu modeste et d’un jeune homme plus aisé. Une jolie respiration, pour les spectateurs aussi.
Le Figaro
Céleste Brunquell illumine cette chronique estivale rafraîchissante.
Le Monde
Première réalisation commune de Jeanne Aslan et Paul Saintillan, qui s’inspire en partie des souvenirs d’enfance de la réalisatrice, Fifi cisèle l’échappée belle de leur petite squatteuse de façon à montrer son éveil, aussi obstiné que délicat, au silence, aux livres et aux films trouvés à sa nouvelle adresse.
Première
Entre humour inattendu et gravité émotionnelle, ce portrait d’une ado qui voudrait mener sa vie comme une adulte surprend ainsi autant qu’il attendrit.
Le Journal du Dimanche
Une chronique qui se laisse malheureusement un peu trop dériver.