Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Entre les séquences de combat, les joutes verbales entre les personnages et quelques notes d’humour, on ne s’ennuie pas une seconde dans ces « Trois mousquetaires » incroyablement modernes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Le personnage de Milady est au centre de ce deuxième film. Eva Green lui apporte charme vénéneux et profondeur.
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CNews
par La rédaction
Un divertissement qui reste de très bonne facture, parfait pour les fêtes de fin d’année.
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Closer
par J.B.
Spectaculaire, mais aussi drôle et émouvant, ce drame historique mêle avec brio intime et aventure, romantisme et comédie.
Elle
par Françoise Delbecq
Une formidable épopée de cape et d’épée.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La continuité entre les deux films fonctionne d’un seul homme et Martin Bourboulon renouvelle, à l’image, le romanesque d’un texte impérissable.
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GQ
par Jérémy Patrelle
Divertissement solide et entrainant avec une mini pointe de suspense mais sans contre-pieds inattendus.
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La Voix du Nord
par Christophe Caron
La suite des aventures de d’Artagnan et de ses compagnons de route se révèle à la hauteur. Elle revêt même une dimension véritablement tragique, fait monter en puissance le trouble personnage de Milady (ensorcelante Eva Green), confirme son statut de grand spectacle épique…
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Milady vaut bien D’Artagnan. Parce qu’on ne change pas une formule qui marche, on retrouve une dramaturgie qui met l’accent sur les rebondissements aussi bien historiques que sentimentaux, une mise en scène élégante et sombre qui ne laisse pas de temps mort, les scènes d’assaut sur les remparts en mettent plein les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Comme pour le premier volet, les auteurs du « Prénom » font tourner le moteur du projet, tandis qu'à la réalisation Martin Bourboulon assure un travail propre et sans surprises. Un bon divertissement du samedi soir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Marius Chapuis
Visuellement réussi, le second film du diptyque réalisé par Martin Bourboulon, avec Eva Green, Vincent Cassel, Louis Garrel, Pio Marmaï et Romain Duris, marque par ses duels hyperchorégraphiés et son refus de faire un récit manichéen, quitte à se perdre dans des intrigues touffues.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
À quoi ça tient, la réussite d’une adaptation littéraire ? Martin Bourboulon a la bonne recette : après le premier volet emballant de ses « Trois Mousquetaires », il récidive avec le second, « Milady », encore plus haletant et romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Philippe Lemoine
Du grand spectacle à la française.
Première
par Gael Golhen
Quinze minutes de grand spectacle qui filent à la vitesse de la lumière, et rivent les spectateurs au siège. Et puis, enfin, après un épisode centré sur D’Artagnan, ce deuxième épisode multiplie les points de vue, les péripéties et offre (enfin !) un rôle à leur mesure à Duris et Marmaï. Le mot fin s’inscrit sur l’écran, on en redemande. A suivre donc ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Sensationnelle dans le rôle de Milady, Eva Green manie l'épée avec grâce et use de ses charmes avec une précision chirurgicale.
Voici
par La Rédaction
Un peu moins surprenant que le précédent, mais toujours aussi efficace visuellement, riche en rebondissements et autres trahisons.
L'Humanité
par Maurice Ulrich
Vincent Cassel (Athos) lui donne la réplique à bonne hauteur. François Civil (d’Artagnan) manque à notre goût d’intériorité. On regrette que Romain Duris et Pio Marmaï (Aramis et Porthos) n’aient qu’une part anecdotique. Louis Garrel (Louis XIII) est finement cocasse. Au total, c’est quand même un bon produit de consommation pour les fêtes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par N. S.
Plus convaincants : les combats, filmés en plans-séquences et caméra portée, et la sous-intrigue vaudevillesque entre Aramis et Porthos qui voit Romain Duris et Pio Marmaï voler la vedette à un François Civil (d’Artagnan) bien falot dans le drame. Un deuxième volet mieux balancé qui en annonce un troisième.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Plus enlevé et réussi que D’Artagnan, le second volet de l’adaptation des Trois Mousquetaires par Martin Bourboulon fait la part belle à l’espionne de Richelieu et laisse la porte ouverte à une suite.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Moins scolaire que le précédent film, mais aussi plus confus, Les Trois Mousquetaires : Milady remplit ses objectifs de blockbuster à la française. Il invite aussi tous les travers de ces divertissements d’ampleur, sacrifiant la dimension tragique des récits de Dumas au profit d’une partition plus nerveuse, plus politique, mais une bienvenue relecture de la principale antagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Un divertissement visuellement efficace, et porté par l’interprétation remarquable d’Eva Green, bien que la trame narrative pâtisse d’une surabondance d’actions.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
À quelques petits loupés de ce genre près, Milady se pose même un peu au-dessus de D’Artagnan, tant cette suite résout, d’une part, certaines grossièretés formelles du premier volet, et surtout fait corps avec la complexité politique et conspirationniste du roman de façon plus franche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Cédric Delelée
Tout irait donc pour le mieux si le rythme trépidant du récit n'était pas affaibli par des duels trop brouillons et une écriture défaillante [...].
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film sûrement plus sombre, plus introspectif que le précédent, qui laisse parfois quelques ressorts narratifs de côté, mais toujours mené à un train d’enfer par la mise en scène échevelée de Martin Bourboulon.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Julien Rousset
Trop de péripéties ! Une mécanique du "retournement de situation" s’installe, au risque de ne plus surprendre... Ce deuxième épisode vaut surtout pour le portrait d’une héroïne magnétique qui n’a peur de rien. Une star avant l’heure, au regard paradoxal, triste et conquérant.
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Ce second volet très rythmé enchaîne les péripéties avec ampleur. Mais les ellipses et des moments-clés trop vite expédiés laissent un goût amer : les mousquetaires auraient mérité plus de scènes ensemble.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette superproduction, dont l'ambition est à saluer, aurait gagné un supplément d'âme, signature des grands films.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Ce second volet très rythmé enchaîne les péripéties. Mais les moments clés ne sont pas assez développés et laissent un goût amer.
Télérama
par Samuel Douhaire
Difficile de comprendre pourquoi les scénaristes, Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, ont rajouté des péripéties à un roman-fleuve qui n’en manquait pourtant pas. (...) Mais pour le reste, le boulot est bien fait, et plutôt mieux que dans D’Artagnan.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le second opus a perdu un peu du souffle du premier épisode, Les Trois mousquetaires : Milady demeure un spectacle haut en couleur où les femmes sont à l’honneur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Si le film se distingue par une prise de liberté plus conséquente dans l’adaptation du roman afin d’humaniser, mais aussi de complexifier le personnage de Milady de Winter (Eva Green), c’est au prix d’un évidement des autres figures (exemplairement Porthos, alité pendant une bonne partie du récit).
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’ensorcelante Eva Green est la principale attraction de ce deuxième volet de l’adaptation signée Martin Bourboulon, dont l’écriture par Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière s’affaiblit par rapport au premier épisode, qui était bien plus enlevé et bien plus drôle, avec davantage d’action, de cape et d’épée.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Si la mise en scène en plan-séquence des scènes de combat reste un parti pris handicapant pour ce film de cape et d’épée qui peine à émerveiller par ses chorégraphies (inexistantes), c’est surtout l’écriture des personnages qui enfonce l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) l’écriture par Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière s’affaiblit par rapport au premier épisode, qui était bien plus enlevé et bien plus drôle, avec davantage d’action, de cape et d’épée.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec ce deuxième volet des aventures de d’Artagnan, Martin Bourboulon livre un blockbuster en costumes qui n’enthousiasme pas. Intrigue confuse, nombreuses péripéties mais pas de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. Fa.
Comme une araignée tissant sa toile, Milady attire ses proies, les désarme, autant par sa force que par son charme (l’épée et le corsage), tandis qu’un lourd secret remonte du passé. Mais tout cela est bien lisse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
Entre les séquences de combat, les joutes verbales entre les personnages et quelques notes d’humour, on ne s’ennuie pas une seconde dans ces « Trois mousquetaires » incroyablement modernes.
20 Minutes
Le personnage de Milady est au centre de ce deuxième film. Eva Green lui apporte charme vénéneux et profondeur.
CNews
Un divertissement qui reste de très bonne facture, parfait pour les fêtes de fin d’année.
Closer
Spectaculaire, mais aussi drôle et émouvant, ce drame historique mêle avec brio intime et aventure, romantisme et comédie.
Elle
Une formidable épopée de cape et d’épée.
Franceinfo Culture
La continuité entre les deux films fonctionne d’un seul homme et Martin Bourboulon renouvelle, à l’image, le romanesque d’un texte impérissable.
GQ
Divertissement solide et entrainant avec une mini pointe de suspense mais sans contre-pieds inattendus.
La Voix du Nord
La suite des aventures de d’Artagnan et de ses compagnons de route se révèle à la hauteur. Elle revêt même une dimension véritablement tragique, fait monter en puissance le trouble personnage de Milady (ensorcelante Eva Green), confirme son statut de grand spectacle épique…
Le Journal du Dimanche
Milady vaut bien D’Artagnan. Parce qu’on ne change pas une formule qui marche, on retrouve une dramaturgie qui met l’accent sur les rebondissements aussi bien historiques que sentimentaux, une mise en scène élégante et sombre qui ne laisse pas de temps mort, les scènes d’assaut sur les remparts en mettent plein les yeux.
Les Echos
Comme pour le premier volet, les auteurs du « Prénom » font tourner le moteur du projet, tandis qu'à la réalisation Martin Bourboulon assure un travail propre et sans surprises. Un bon divertissement du samedi soir.
Libération
Visuellement réussi, le second film du diptyque réalisé par Martin Bourboulon, avec Eva Green, Vincent Cassel, Louis Garrel, Pio Marmaï et Romain Duris, marque par ses duels hyperchorégraphiés et son refus de faire un récit manichéen, quitte à se perdre dans des intrigues touffues.
Marianne
À quoi ça tient, la réussite d’une adaptation littéraire ? Martin Bourboulon a la bonne recette : après le premier volet emballant de ses « Trois Mousquetaires », il récidive avec le second, « Milady », encore plus haletant et romanesque.
Ouest France
Du grand spectacle à la française.
Première
Quinze minutes de grand spectacle qui filent à la vitesse de la lumière, et rivent les spectateurs au siège. Et puis, enfin, après un épisode centré sur D’Artagnan, ce deuxième épisode multiplie les points de vue, les péripéties et offre (enfin !) un rôle à leur mesure à Duris et Marmaï. Le mot fin s’inscrit sur l’écran, on en redemande. A suivre donc ?
Public
Sensationnelle dans le rôle de Milady, Eva Green manie l'épée avec grâce et use de ses charmes avec une précision chirurgicale.
Voici
Un peu moins surprenant que le précédent, mais toujours aussi efficace visuellement, riche en rebondissements et autres trahisons.
L'Humanité
Vincent Cassel (Athos) lui donne la réplique à bonne hauteur. François Civil (d’Artagnan) manque à notre goût d’intériorité. On regrette que Romain Duris et Pio Marmaï (Aramis et Porthos) n’aient qu’une part anecdotique. Louis Garrel (Louis XIII) est finement cocasse. Au total, c’est quand même un bon produit de consommation pour les fêtes.
L'Obs
Plus convaincants : les combats, filmés en plans-séquences et caméra portée, et la sous-intrigue vaudevillesque entre Aramis et Porthos qui voit Romain Duris et Pio Marmaï voler la vedette à un François Civil (d’Artagnan) bien falot dans le drame. Un deuxième volet mieux balancé qui en annonce un troisième.
La Croix
Plus enlevé et réussi que D’Artagnan, le second volet de l’adaptation des Trois Mousquetaires par Martin Bourboulon fait la part belle à l’espionne de Richelieu et laisse la porte ouverte à une suite.
Le Journal du Geek
Moins scolaire que le précédent film, mais aussi plus confus, Les Trois Mousquetaires : Milady remplit ses objectifs de blockbuster à la française. Il invite aussi tous les travers de ces divertissements d’ampleur, sacrifiant la dimension tragique des récits de Dumas au profit d’une partition plus nerveuse, plus politique, mais une bienvenue relecture de la principale antagoniste.
Les Fiches du Cinéma
Un divertissement visuellement efficace, et porté par l’interprétation remarquable d’Eva Green, bien que la trame narrative pâtisse d’une surabondance d’actions.
Les Inrockuptibles
À quelques petits loupés de ce genre près, Milady se pose même un peu au-dessus de D’Artagnan, tant cette suite résout, d’une part, certaines grossièretés formelles du premier volet, et surtout fait corps avec la complexité politique et conspirationniste du roman de façon plus franche.
Mad Movies
Tout irait donc pour le mieux si le rythme trépidant du récit n'était pas affaibli par des duels trop brouillons et une écriture défaillante [...].
Paris Match
Un film sûrement plus sombre, plus introspectif que le précédent, qui laisse parfois quelques ressorts narratifs de côté, mais toujours mené à un train d’enfer par la mise en scène échevelée de Martin Bourboulon.
Sud Ouest
Trop de péripéties ! Une mécanique du "retournement de situation" s’installe, au risque de ne plus surprendre... Ce deuxième épisode vaut surtout pour le portrait d’une héroïne magnétique qui n’a peur de rien. Une star avant l’heure, au regard paradoxal, triste et conquérant.
Télé 2 semaines
Ce second volet très rythmé enchaîne les péripéties avec ampleur. Mais les ellipses et des moments-clés trop vite expédiés laissent un goût amer : les mousquetaires auraient mérité plus de scènes ensemble.
Télé 7 Jours
Cette superproduction, dont l'ambition est à saluer, aurait gagné un supplément d'âme, signature des grands films.
Télé Loisirs
Ce second volet très rythmé enchaîne les péripéties. Mais les moments clés ne sont pas assez développés et laissent un goût amer.
Télérama
Difficile de comprendre pourquoi les scénaristes, Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, ont rajouté des péripéties à un roman-fleuve qui n’en manquait pourtant pas. (...) Mais pour le reste, le boulot est bien fait, et plutôt mieux que dans D’Artagnan.
aVoir-aLire.com
Si le second opus a perdu un peu du souffle du premier épisode, Les Trois mousquetaires : Milady demeure un spectacle haut en couleur où les femmes sont à l’honneur.
Cahiers du Cinéma
Si le film se distingue par une prise de liberté plus conséquente dans l’adaptation du roman afin d’humaniser, mais aussi de complexifier le personnage de Milady de Winter (Eva Green), c’est au prix d’un évidement des autres figures (exemplairement Porthos, alité pendant une bonne partie du récit).
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’ensorcelante Eva Green est la principale attraction de ce deuxième volet de l’adaptation signée Martin Bourboulon, dont l’écriture par Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière s’affaiblit par rapport au premier épisode, qui était bien plus enlevé et bien plus drôle, avec davantage d’action, de cape et d’épée.
Ecran Large
Si la mise en scène en plan-séquence des scènes de combat reste un parti pris handicapant pour ce film de cape et d’épée qui peine à émerveiller par ses chorégraphies (inexistantes), c’est surtout l’écriture des personnages qui enfonce l'ensemble.
Le Dauphiné Libéré
(...) l’écriture par Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière s’affaiblit par rapport au premier épisode, qui était bien plus enlevé et bien plus drôle, avec davantage d’action, de cape et d’épée.
Le Figaro
Avec ce deuxième volet des aventures de d’Artagnan, Martin Bourboulon livre un blockbuster en costumes qui n’enthousiasme pas. Intrigue confuse, nombreuses péripéties mais pas de souffle.
Le Monde
Comme une araignée tissant sa toile, Milady attire ses proies, les désarme, autant par sa force que par son charme (l’épée et le corsage), tandis qu’un lourd secret remonte du passé. Mais tout cela est bien lisse.