Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
CNews
par La rédaction
Avec son allure d’héroïne chabrolienne qui semble dissimuler des zones d’ombre, Isabelle Huppert impressionne et offre un jeu tout en nuances, entre vérité et manipulation.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La Rédaction
Isabelle Huppert incarne bien la détermination de cette femme prise dans les engrenages d'un pouvoir qui la dépasse.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Perturbant, dérangeant, édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
On n’attendait pas Jean-Paul Salomé au chevet d’un récent scandale d’Etat, ce grand corps malade, qu’il ausculte avec un doigté de clinicien. Sa mise en scène frontale, rapide, autoritaire, rappelle le meilleur cinéma engagé (on pense à « Erin Brockovich, seule contre tous »).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
En se tenant toujours à ses côtés et au plus près des faits jamais élucidés, Jean-Paul Salomé en fait néanmoins une sorte d’Erin Brockovich à la française et grâce à une mise en scène parfaitement orchestrée signe un film politique particulièrement réussi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Salomé n’invente rien. Mais il met en scène avec beaucoup de finesse le combat d’une femme pour retrouver sa dignité et son honneur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Si l’objet du suspense se déplace au fil de l’intrigue, « La Syndicaliste » reste captivant, et le couple Isabelle Huppert/Grégory Gadebois est une vraie trouvaille de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un solide thriller politico-économique incarné par une Isabelle Huppert des grands jours.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film qui secoue, incarné par une Isabelle Huppert en forme olympique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un trouble que nourrit très bien Isabelle Huppert dans ce film lanceur d'alerte efficace.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Ce polar passionnant, étude de mœurs au cordeau des arcanes du pouvoir et du Cac 40, a ce qu’il faut de pamphlet anti-élites, jamais pataud.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Olivier Rajchman
Parce qu'il ne s'appuie que sur un témoignage, ce brûlot passionnant et révoltant soulève d'autres questions que celles posées dans le film. C'est aussi son mérite.
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec ses lunettes stylées, ses tenues tirées à quatre épingles et sa blondeur d’une orgueilleuse féminité, la grande Huppert mêle sécheresse et humanité, acier trempé et chair blessée, sourire carnassier et regard désemparé, parfois dans un même plan.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
La Syndicaliste s’annonce comme le thriller de l’année. En tout cas, c’est un film qui décoiffe et ne réconciliera pas le citoyen lambda pouvant douter de la sincérité des hommes de pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Classique dans sa forme, parfois suréclairé sur le visage de la star, le film cède à quelques passages obligés et charge un peu la barque par instants. Mais il n’en est pas moins une réussite. Sa mécanique implacable et son interprétation impeccable sont les deux forces de ce récit qui nous captive autant qu’il nous révolte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart
Bien que formellement sans éclat, "La Syndicaliste" fait mouche. En colère sans être tonitruant, dénonciateur mais subtil, à la fois haletant et tragique, voilà le film d’un cinéaste qui jusqu’à maintenant ne nous avait pas habitué à de telles réussites.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un film qui se veut trop édifiant pour être vraiment pris au sérieux, du fait d'une écriture bancale qui préfère coller à la réalité plutôt que d'aller vers une narration cohérente. On en retient néanmoins l'importance de son sujet et la performance d'Isabelle Huppert, totalement au service du personnage de Maureen Kearney.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Peu à peu, le film s’attache moins à dénoncer un complot qu’à accompagner une victime s’efforçant de prouver à la justice (et à des hommes surtout) qu’elle n’a pas inventé son agression. Pas forcément le film qu’on attendait, mais incroyable chapitre quand même. Kafkaïen et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un réquisitoire édifiant porté par Isabelle Huppert, troublante entre force et fragilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Jo.
C’est alors que le film bascule, passe des mains de Jean-Paul Salomé à celles de son actrice, Isabelle Huppert, génie indépassé lorsqu’il s’agit de porter l’ambiguïté à incandescence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un drame en demi-teinte, qui se refuse au film-dossier comme au suspense pour mieux sonder son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Cette attention d’orfèvre portée à la reconstitution de l’affaire est la qualité de La Syndicaliste, qui lui donne cet allant de film d’enquête, disposant sous nos yeux sa matière riche et emberlificotée qu’il nous faut dénouer pour tenter de percer la vérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Julien Rousset
Jean-Paul Salomé décrit une femme à la fois fragile et fonceuse, qu’il élève au rang d’icône : blondeur impeccable, visage pâle mis en lumière avec éclat. Hélas, dans son empathie avec le personnage principal, "La syndicaliste", n’échappe pas aux travers du « film dossier ». Trop didactique, trop démonstratif.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré certains aspects de l’enquête judiciaire et des seconds rôles qui ne sont pas assez développés, on retiendra la saisissante composition d’Isabelle Huppert, parfaite dans ce rôle d’une frêle mais vaillante Erin Brockovich à la française face au Goliath du nucléaire.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Salomé, agile dans le tourniquet guilleret des looks successifs, marque le pas quand il filme l’enquête et le crime lui-même, mais le scénario parvient à inscrire la barbarie et la réponse policière qui lui est faite dans un système plus vaste de misogynie sévissant du haut en bas de la hiérarchie.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Pourtant, quelque chose ne fonctionne pas dans ce film assez caricatural où chaque plan est surligné, où le contexte politico-social n’est qu’un prétexte à une intrigue policière resserrée sur l’ambiguïté du personnage principal. À conseiller seulement aux fans d’Isabelle Huppert.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Faute d'une mise en scène nerveuse, on a l'impression de tourner en rond, de jouer la longueur – deux heures – dans ce faux thriller qui bascule dans le portrait d'une femme insaisissable, imprévisible, voire excentrique avec son look kitsch, ses tenus colorées et sa collection de lunettes et de boucles d'oreilles spectaculaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Laura Tuillier
[...] le film de Salomé fait dans la lourdeur et le scolaire, n’arrivant pas à faire tenir ensemble projet didactique et envie de thriller, et se trouvant presque encombré par une actrice qui, même en sous-régime, demande plus et plus fort.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Aucun des interprètes, droits comme la justice, n’osent faire ce pas de côté qui verrait leur personnage offrir autre chose qu’un cliché. De la trop superbe maison au bord de l’eau aux intérieurs froids et bien rangés, rien ne respire vraiment dans ce monde aseptisé.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
Avec son allure d’héroïne chabrolienne qui semble dissimuler des zones d’ombre, Isabelle Huppert impressionne et offre un jeu tout en nuances, entre vérité et manipulation.
Femme Actuelle
Isabelle Huppert incarne bien la détermination de cette femme prise dans les engrenages d'un pouvoir qui la dépasse.
Franceinfo Culture
Perturbant, dérangeant, édifiant.
L'Obs
On n’attendait pas Jean-Paul Salomé au chevet d’un récent scandale d’Etat, ce grand corps malade, qu’il ausculte avec un doigté de clinicien. Sa mise en scène frontale, rapide, autoritaire, rappelle le meilleur cinéma engagé (on pense à « Erin Brockovich, seule contre tous »).
La Croix
En se tenant toujours à ses côtés et au plus près des faits jamais élucidés, Jean-Paul Salomé en fait néanmoins une sorte d’Erin Brockovich à la française et grâce à une mise en scène parfaitement orchestrée signe un film politique particulièrement réussi.
Le Figaro
Salomé n’invente rien. Mais il met en scène avec beaucoup de finesse le combat d’une femme pour retrouver sa dignité et son honneur.
Le Parisien
Si l’objet du suspense se déplace au fil de l’intrigue, « La Syndicaliste » reste captivant, et le couple Isabelle Huppert/Grégory Gadebois est une vraie trouvaille de cinéma.
Les Echos
Un solide thriller politico-économique incarné par une Isabelle Huppert des grands jours.
Marianne
Un film qui secoue, incarné par une Isabelle Huppert en forme olympique.
Ouest France
Un trouble que nourrit très bien Isabelle Huppert dans ce film lanceur d'alerte efficace.
Paris Match
Ce polar passionnant, étude de mœurs au cordeau des arcanes du pouvoir et du Cac 40, a ce qu’il faut de pamphlet anti-élites, jamais pataud.
Télé Loisirs
Parce qu'il ne s'appuie que sur un témoignage, ce brûlot passionnant et révoltant soulève d'autres questions que celles posées dans le film. C'est aussi son mérite.
Télérama
Avec ses lunettes stylées, ses tenues tirées à quatre épingles et sa blondeur d’une orgueilleuse féminité, la grande Huppert mêle sécheresse et humanité, acier trempé et chair blessée, sourire carnassier et regard désemparé, parfois dans un même plan.
aVoir-aLire.com
La Syndicaliste s’annonce comme le thriller de l’année. En tout cas, c’est un film qui décoiffe et ne réconciliera pas le citoyen lambda pouvant douter de la sincérité des hommes de pouvoir.
Bande à part
Classique dans sa forme, parfois suréclairé sur le visage de la star, le film cède à quelques passages obligés et charge un peu la barque par instants. Mais il n’en est pas moins une réussite. Sa mécanique implacable et son interprétation impeccable sont les deux forces de ce récit qui nous captive autant qu’il nous révolte.
Culturopoing.com
Bien que formellement sans éclat, "La Syndicaliste" fait mouche. En colère sans être tonitruant, dénonciateur mais subtil, à la fois haletant et tragique, voilà le film d’un cinéaste qui jusqu’à maintenant ne nous avait pas habitué à de telles réussites.
Ecran Large
Un film qui se veut trop édifiant pour être vraiment pris au sérieux, du fait d'une écriture bancale qui préfère coller à la réalité plutôt que d'aller vers une narration cohérente. On en retient néanmoins l'importance de son sujet et la performance d'Isabelle Huppert, totalement au service du personnage de Maureen Kearney.
La Voix du Nord
Peu à peu, le film s’attache moins à dénoncer un complot qu’à accompagner une victime s’efforçant de prouver à la justice (et à des hommes surtout) qu’elle n’a pas inventé son agression. Pas forcément le film qu’on attendait, mais incroyable chapitre quand même. Kafkaïen et glaçant.
Le Journal du Dimanche
Un réquisitoire édifiant porté par Isabelle Huppert, troublante entre force et fragilité.
Le Monde
C’est alors que le film bascule, passe des mains de Jean-Paul Salomé à celles de son actrice, Isabelle Huppert, génie indépassé lorsqu’il s’agit de porter l’ambiguïté à incandescence.
Les Fiches du Cinéma
Un drame en demi-teinte, qui se refuse au film-dossier comme au suspense pour mieux sonder son personnage.
Les Inrockuptibles
Cette attention d’orfèvre portée à la reconstitution de l’affaire est la qualité de La Syndicaliste, qui lui donne cet allant de film d’enquête, disposant sous nos yeux sa matière riche et emberlificotée qu’il nous faut dénouer pour tenter de percer la vérité.
Sud Ouest
Jean-Paul Salomé décrit une femme à la fois fragile et fonceuse, qu’il élève au rang d’icône : blondeur impeccable, visage pâle mis en lumière avec éclat. Hélas, dans son empathie avec le personnage principal, "La syndicaliste", n’échappe pas aux travers du « film dossier ». Trop didactique, trop démonstratif.
Télé 7 Jours
Malgré certains aspects de l’enquête judiciaire et des seconds rôles qui ne sont pas assez développés, on retiendra la saisissante composition d’Isabelle Huppert, parfaite dans ce rôle d’une frêle mais vaillante Erin Brockovich à la française face au Goliath du nucléaire.
Cahiers du Cinéma
Salomé, agile dans le tourniquet guilleret des looks successifs, marque le pas quand il filme l’enquête et le crime lui-même, mais le scénario parvient à inscrire la barbarie et la réponse policière qui lui est faite dans un système plus vaste de misogynie sévissant du haut en bas de la hiérarchie.
L'Humanité
Pourtant, quelque chose ne fonctionne pas dans ce film assez caricatural où chaque plan est surligné, où le contexte politico-social n’est qu’un prétexte à une intrigue policière resserrée sur l’ambiguïté du personnage principal. À conseiller seulement aux fans d’Isabelle Huppert.
Le Point
Faute d'une mise en scène nerveuse, on a l'impression de tourner en rond, de jouer la longueur – deux heures – dans ce faux thriller qui bascule dans le portrait d'une femme insaisissable, imprévisible, voire excentrique avec son look kitsch, ses tenus colorées et sa collection de lunettes et de boucles d'oreilles spectaculaires.
Libération
[...] le film de Salomé fait dans la lourdeur et le scolaire, n’arrivant pas à faire tenir ensemble projet didactique et envie de thriller, et se trouvant presque encombré par une actrice qui, même en sous-régime, demande plus et plus fort.
Première
Aucun des interprètes, droits comme la justice, n’osent faire ce pas de côté qui verrait leur personnage offrir autre chose qu’un cliché. De la trop superbe maison au bord de l’eau aux intérieurs froids et bien rangés, rien ne respire vraiment dans ce monde aseptisé.