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    Le Parfum vert
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    207 critiques spectateurs

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    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2023
    Beaucoup de charme pour ce film un tantinet rétro, avec de bons acteurs et une intrigue qui part au quart de tour et nous emporte dans un tourbillon de scènes plaisantes et d'action. Hélas, la fin, qui augure d'une suite, est bâclée et très frustrante...
    Benjamin A
    Benjamin A

    37 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mai 2023
    Et c'est nul !

    Bon en bref :

    spoiler: _ Je viens de me faire enlever, et je suis témoin d'un meurtre, je ne vais pas aller à la police. _ Oh un mec bizarre vient pendant ma séance de dédicace, je vais tout laisser tomber pour le suivre alors qu'il n'a rien demandé. _ J'oublie que le mec qui m'a enlevé est allemand. _ Une insulte à la bande dessinée. _ Bonjour, je cherche un auteur de BD belge. Oui ça ne peut être que Machereau, il n'y a qu'un auteur de bd belge de toute façon. _ La police qui débarque en 10 secondes montre en main après un appel. A Marseille on attend 4 ou 5 heures... _ On rappelle 10 000 fois "comédie française" des fois qu'on l'aurait oublié. _ Kimberlain qui jure sans arrêt. _ Une insulte pour la bd : "Vous êtes dans un magasin de bd ici, vous ne trouverez que des mères voulant acheter un pyjama snoopy à leur enfant". Ok... _ Mauvais jeu d'acteur (surtout de la fille, là. Pas Kinberlain, même si quand même un peu, mais l'autre fille là. Je ne sais pas son nom, mais son pseudo devrait être "surjeu"). _ Euh... C'est quoi le délire avec les juifs, dans le film ? Kimberlain qui croise un mec pour la 1e fois et lui demande "Oh mais tu es un juif ashkénaze paranoïaque !" Après que la 3e phrase du film soit encore un propos un peu comme ça :-/ _ On peut aussi parler de l'affiche ou c'est tabou ? Ca sonnait comme une bonne idée de faire un truc rétro mais celui qui a dessiné Kimberlain ne lui a pas donné l'air le plus intelligent du monde. _ Des indices à base de "un enfant à trouver une photo compromettante dans une poubelle et HOP ! On tombe dessus par hasard". _ "C'est un dessin qui s'appelle "Grundelvurft !" silence de 10 secondes. "Ohlala mais que signifie "Grundelvurft ?!" "Odeur verte" ah ok, j'aurai aimé que ça soit un Picasso et qu'il demande ce que signifie Picasso... _ X va se faire assassiner. Les agents de sécurité qui y vont en trottinant tranquille, laissant les 2 héros à 3 mètres devant eux, ne les dépassant que pour se prendre une balle.


    Bon j'en passe et ça continue encore et encore, bon c'est nul.
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 janvier 2023
    Que s'est-il donc passé durant ces trois années pour que Nicolas Pariser glisse du brillant "Alice et le maire" au décevant "Parfum vert" ? Vert est la couleur du glauque, des effluves inquiétantes d'un film mal abouti qui se perd dans sa propre intrigue. Sandrine Kiberlain fait ce qu'elle peut pour apporter un peu de légèreté à ce récit aussi lourd que le jeu de Vincent Lacoste. On ressort de la salle plus circonspect qu'en y entrant. C'est mauvais signe.
    selenie
    selenie

    6 184 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2022
    Le film débute avec un mélange de styles séduisant, avec un rythme pas forcément soutenu mais en mode "croisière" très agréable pour une aventure qui lorgne du côté de "La Mort aux Trousses" (1959) de Hitchcock en y ajoutant une bonne dose de Tintin et Rouletabille.
    Site : Selenie
    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 121 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 décembre 2022
    Quand on va piocher à gauche et à droite pour faire une espèce de bilan des avis concernant ce film, on trouve des références à Hitchcock, à Tintin, à la série des petits meurtres d'Agatha Christie sur France 2, à Gaston Leroux, etc. Bof ! Même si c'est surtout vers Hitchcock que lorgne le réalisateur, dans toutes ces comparaisons, c'est peut-être celle avec Tintin qui est la plus justifiée, même si les BD de Hergé sont quand même largement supérieures. Certes, on ne peut pas dire que l'on s'ennuie à la vision de "Le parfum vert" : ne serait-ce que parce que la recherche de toutes les invraisemblances arrive à maintenir de l'intérêt ! Un exemple assez savoureux : spoiler: la batterie du portable du personnage jouée par Sandrine Kiberlain est déchargée et elle doit envoyer un texto à sa mère. Qu'importe : on lui passe un portable sur lequel le numéro de la mère n'est pas enregistré et, 5 secondes plus tard, le texto est parti.
    Chapeau l'artiste ! Et que dire du jeu des interprètes ? Sandrine Kimberlain, rarement médiocre, n'est pas bonne. Vincent Lacoste, rarement bon, est, ici, très mauvais. Du réalisateur Nicolas Pariser, je n'avais pas du tout aimé "Le grand jeu", j'avais bien aimé "Alice et le maire" et je n'aime pas "Le parfum vert" !!
    kota
    kota

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 décembre 2022
    Quelques critiques bien clémentes dans la Presse, une affiche stylisée "façon 50's" ... on s'attend à une comédie décalée sur fond d'enquête policière avec un zeste d'ambiance rétro...
    1H30 qui en paraissent 3,
    un duo d'acteurs qui s'assemble avec peu de vraisemblance (Sandrine K. qui abandonne pour 2h une séance de dédicace et n'y revient jamais), puis qui se prend de sympathie pour un acteur perdu entre un meurtre et un kidnapping, lui aussi peu cohérent, des rebondissements qui n'en sont pas, des dialogues qui font très rarement le job, un humour très basique (et convenu), des références multiples et très appuyées à Hergé ou Hitchcock qui semblent n'exister que pour renforcer un scénario et un rythme aussi plat l'un que l'autre ...
    sans parler de scènes sans aucun intérêt pour l'intrigue ( le futur "couple" qui se retrouve dans un logement lambda et commence une conversation de salon avec un verre de vin, sans fond, sans objet ...scène qui donne l'impression qu'il fallait ajouter 8 minutes de "bobine" ...).
    Scénario, jeu d'acteur, traits d'humour, traitement de l'image, références à répétition.... donnent l'impression d'un mauvais puzzle qui n'aboutit jamais à un moment de distraction valable.
    Entre série B et vieux policier à la mode téléfilm ...on hésite, mais ce qui est sûr c'est que sur petit écran nous aurions zappé au bout de 30 minutes mais à 30 € les 2 billets, on a tenu jusqu'à la fin, avec le secret espoir que la chute donne un sens ou provoque une surprise... même pas.
    catherine L.
    catherine L.

    1 abonné 30 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 décembre 2022
    Gardez votre argent !!! Nul... un navet dans toute sa splendeur !!! Dommage, l'intrigue était intéressante, le décor de la Comédie française bien planté, avec de bons acteurs. Le début commence bien et vous vous "installez" pour passer un bon moment. Au bout d'une demi-heure, vous déchantez, vous "luttez" pour rester dans votre fauteuil ... en attendant un rebondissement et surtout un brin de cohérence dans l'histoire, En fait, le pire est à venir : une histoire d'amour pathétique, des pseudos messages politiques, aucun fil conducteur, vous ne pouvez même pas vous raccrocher à du second degré... Enfin, rien, LE NEANT TOTAL !
    pauletvirginie
    pauletvirginie

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 décembre 2022
    ni fait ni à faire ; inintéressant ; des scènes longues, où à la fin, il ne se passe rien ; aucun humour dans les dialogues
    Caroline M
    Caroline M

    29 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2023
    53eme minute, le film n’a tjs pas démarré.
    Lacoste joue bien, Kimberlain embrasse la caricature ashkénaze au point que ça sonne faux et que ça n’apporte surtout rien au film.
    Est-ce un choix du senario ou une initiative de l’actrice ? Toujours est-il que c’est le pb de ce long métrage : rien ne repose sur rien.
    On voit la trame, ça aurait pu et puis ça retombe comme un soufflet.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 décembre 2022
    C'est faire trop d'honneur à ce film que de le comparer à Tintin ou à Hitchcock. Pariser qui nous avait bluffé avec Alice et le maire, par la magie d'un couple d'acteurs particulièrement pertinent - Demoustier et Lucchini - et d'un scénario abouti, se perd ici en bavardages, en citations, et en une succession de cadavres et autres banalités scénaristiques, du méchant antisémite à l'accent teuton à la conclusion laborieuse dans un théâtre étranger. On a l'impression d'avoir déjà vu tout ça ailleurs...et en mieux.
    Si le jeu de Vincent Lacoste s'améliore de film en film, Sandrine Kiberlain dont on adore d'habitude le ton primesautier semble s'ennuyer ici à nous raconter des histoires interminables et passablement hors sujet.
    On peut tout de même aller voir ce film pour les quelques notes d'humour censées détendre l'atmosphère.
    Ninou Encelle
    Ninou Encelle

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 décembre 2022
    À mon sens, aucun intérêt. L’intrigue policière et sans que ni tête les scènes très longues malgré deux acteurs qui tombent amoureux malgré des âges très différents.
    Je me suis ennuyé
    Cinememories
    Cinememories

    479 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2022
    Le fond politique de Nicolas Pariser (Le Grand jeu, Alice et le maire) pouvait lui accorder un cran d’avance sur la trame d’espionnage qu’il a choisi. Ce dernier se prête à présent au jeu de la comédie truculente, qu’il cherche désespérément à faire cohabiter, au détour de situations extravagantes, tout droit sorties d’une bande dessinée ou bien à la portée d’un duo comique fort séduisant sur le papier. Cette singularité jouait pourtant en sa faveur et présageait une escapade insolite. Malheureusement, le cinéaste semble uniquement s’autoriser le pastichage du polar et de l’espionnage, quelque part entre Hitchcock et Hergé, deux mondes à part qui servent davantage la citation que le récit en lui-même.

    On ouvre sur une pièce, une fiction à proprement parler, où les mots percutent aussi sauvagement qu’un poison, dont un comédien fera les frais, en conjurant la chance de son ami Martin (Vincent Lacoste). Puis entre un kidnapping et une rencontre inattendue chez un libraire, le jeune homme, qu’on aura vite fait d’emprisonner dans un corps épuisé, va faire la rencontre de Claire (Sandrine Kiberlain), une dessinatrice en pleine crise familiale. Et alors que l’on hurle au complot sous tous les toits, ces deux solitaires devront ainsi conjuguer leur force et leur lucidité, afin de résoudre une affaire qui les dépasse. On ne boudera pas notre plaisir quand il s’agira de se laisser balader par leur complicité, très aléatoire, où l’on croirait lire dans des cases, avec une action, souvent commentée puis démontrée. Malgré tout, c’est là où les ennuis commencent.

    Sans savoir sur quel pied danser, la tension efface le timbre comique et à son tour, l’humour écrase la vigueur dramatique. Ce processus de désamorçage permanent nous fait décrocher, installant un faux-rythme au passage, tout en traînant une flopée d’incohérences, en étant conscient ou non de sa fibre avant tout littéraire. L’image ne sert donc plus à traduire l’émotion, mais bien des actions et c’est ce que Pariser oublie de mettre en scène au passage, préférant s’attarder sur le look de son héros un peu gauche et de son héroïne plutôt perspicace. La dynamique des interprètes ajoute également un décalage dans ce voyage aux quatre coins de l’Europe. Leur éducation sentimentale ne constitue qu’une sous-couche supplémentaire à un scénario trop bancale pour qu’on y trouve un soupçon de plaisir ou de pertinence. Quant au vilain de l’histoire, Hartz (Rüdiger Vogler), on regrette amèrement du peu de temps qu’on lui consacre, en dehors de la lunette de tir des héros burlesques.

    À force de trop en vouloir, le film en dit trop sur ce qu’il désire être et passe à côté d’une comédie, dans un premier temps ludique, avant de la mixer dans un exercice de style épuisant. En somme, « Le Parfum Vert » ne libère pas plus de saveurs que d’odeurs et inquiète sur sa direction, comme en témoigne de longs monologues qui ne savent pas comment inclure l’antisémitisme ou la représentation d’une jeunesse pressée, dans le même mouvement de l’intrigue. Sans surprises, les personnages courent et défilent, sans éclat et sans recul.
    HASTENEP
    HASTENEP

    11 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2022
    Un bon scénario, de très bons comédiens, des décors et images très sympas mais un manque de rythme assez cruel.
    Martine Payan
    Martine Payan

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 décembre 2022
    Je n'ai jamais vu un film aussi nul et débile. Mais que fait Sandrine Kiberlain là dedans...Déplorable..3 personnes ont quitté la salle au bout de 10 mn...
    JB D
    JB D

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 janvier 2023
    Nicolas Pariser se réclame d’une cinéphilie en voie de disparition. Mais est-ce bien suffisant d’ouvrir son film sur le chignon de la Madeleine de « Vertigo » et d’enrouler trois escaliers comme chez De Palma?

    « Le parfum vert » avait l’ambition, très excitante, de retrouver le sens de l’aventure. Chose qui ne ferait pas de mal au cinéma français : arpenter des rues, des manoirs, des trains à la manière de « Lady vanishes » et aux prises avec les spectres des frontières d’une Europe fantoche - échos d’un sombre empire pas si lointain. On parle beaucoup de judéité dans cette quête du Parfum Vert, mystère qui commence à la Comédie Française et se finit dans une Hongrie maquillée comme une république imaginaire digne du « Sceptre d’Ottokar ». Il n’est pas sans dire que l’influence première du film est une ligne claire à la Hergé, rebondissant par ellipses d’une Europe à l’autre. Même le manoir bruxellois y fait figure!

    On comprend l’ambition de dire quelque chose d’historique dans le présent, sur les formes résurgentes - et malheureusement bien actuelles - d’un antisémitisme et d’une paranoïa ambiante. Les personnages discourent beaucoup sur le concept européen (on va même jusqu’à se fusiller au Parlement), sur la peur des convois qui reviennent hanter un simple voyage de nuit en train-couchette. Mais ce mélange de comédie enlevée et de burlesque d’action, de commentaire politique et de jeu de masques se révèle d’une totale ineptie : par ses acteurs en roue libre tout d’abord - Kiberlain et son habituel style d’huluberlu rive gauche en pantalon de flanelles - , ses obsessions cinématographiques mal digérées, son tempo comique laborieux, son jeu sans distance sur les lieux communs du genre, quelque part entre un Rouletabille ensommeillé et des mouvements de fuite boiteux. Quelle poussive mécanique !

    La mise en scène peine à synchroniser l’énergie voulue par l’écriture, où tout semble filer entre les doigts. Le mouvement perpétuel se fige alors dans une anachronie fabriquée de toutes pièces, sans jamais trouver le charme des artifices. Les citations deviennent des effets de post-it et la fuite en avant, d’une case à l’autre, s’empêtre dans le trait grossier - comme une volonté acharnée de « faire BD ».
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