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Votre avis sur Confessions d'un homme dangereux ?
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Le scénario est basé sur la vie réelle et prétendue de Chuck Barris. Il laisse largement la place à l'expression de ses sentiments et de son mal-être. George Clooney a très bien maîtrisé la réalisation de ce film. Malheureusement, Sam Rockwell endosse mal par un manque de sérieux le rôle de tueur pour la CIA.
Clooney avait vraiment choisi la difficulté avec son premier film et s'en est sorti haut-la-main. Mais je suis navré de voir tant de critiques qui sont négatives parce que leurs auteurs n'ont pas compris.
Il s'agit de l'adaptation d'une prétendue autobiographie et non pas d'une histoire vraie, d'où l'impression laissée à certains d'une hésitation entre comédie et film noir. spoiler: Clooney n'hésite pas du tout mais entretient finement le doute. Il faut penser à "A beautiful mind" ("un homme d'exception") pour comprendre "Confessions of a dangerous mind". Cependant Clooney nous laisse des pistes révélant sa propre opinion, par exemple le fait même que c'est lui qui incarne le pseudo-recruteur de la CIA. C'est à rapprocher de la scène dans Chinatown où c'est Roman Polanski himself qui donne un coup de couteau dans le nez du détective privé (Jack Nicholson), pour lui ôter son flair. Et d'autres révélations énormes vers la fin (fils illégitime d'un tueur en série !).
En tous cas je sais gré à Clooney de m'avoir fait découvrir qui était l'inventeur de quelques émissions de télé totalement débiles. J'étais sûr que ça ne pouvait provenir que d'un cerveau malade ! ^^
Donc, il a su parfaitement maîtriser un film très complexe, et retraçant différentes époques en plus. Il a certes bénéficié d'un scénario du célèbre Charlie Kaufman mais savoir l'adapter n'était pas à la portée du premier venu et prouve son talent.
Il s'agit de l'adaptation d'une prétendue autobiographie et non pas d'une histoire vraie, d'où l'impression laissée à certains d'une hésitation entre comédie et film noir. spoiler: Clooney n'hésite pas du tout mais entretient finement le doute. Il faut penser à "A beautiful mind" ("un homme d'exception") pour comprendre "Confessions of a dangerous mind". Cependant Clooney nous laisse des pistes révélant sa propre opinion, par exemple le fait même que c'est lui qui incarne le pseudo-recruteur de la CIA. C'est à rapprocher de la scène dans Chinatown où c'est Roman Polanski himself qui donne un coup de couteau dans le nez du détective privé (Jack Nicholson), pour lui ôter son flair. Et d'autres révélations énormes vers la fin (fils illégitime d'un tueur en série !).
En tous cas je sais gré à Clooney de m'avoir fait découvrir qui était l'inventeur de quelques émissions de télé totalement débiles. J'étais sûr que ça ne pouvait provenir que d'un cerveau malade ! ^^
Donc, il a su parfaitement maîtriser un film très complexe, et retraçant différentes époques en plus. Il a certes bénéficié d'un scénario du célèbre Charlie Kaufman mais savoir l'adapter n'était pas à la portée du premier venu et prouve son talent.
Shephard69
George Clooney assure parfaitement la réalisation de ce polar intense et décalé. Les personnages sont bien dessinés, les acteurs apparaissent en grande forme avec, personnellement, une mention spéciale à Drew Barrymore et Julia Roberts sans évidemment oublier Sam Rockwell que je découvrais à cette occasion. Très abouti.
Clooney pour son premier film adapte sur grand écran l'autobiographie de Barris. Ca été un bide à sa sortie, c'est compréhensible.... Le réalisateur a opté pour un scénario dans une fourchette de temps très court où le récit est narré dans des flash back. Mauvais choix ! On adhère à aucun moment et ces deux heures de film semblent être une éternité. Vous pouvez pas savoir à quel point je me suis ennuyé... Durant les premières 1h30 de film, j'espérai tant qu'il y ait un déclic qui nous permettrait d'entrer dans le film, mais il n'est jamais apparu. Ce film souffre de longueurs interminables. Côté acteur, on a le droit à un beau gratin mais ça ne suffit pas... Sam Rockwell est un acteur que je n'apprécie pas dans sa façon de jouer. Il refait ses mêmes mimiques agaçantes ici. Cela ne m'a pas aidé à adhérer au film. Je tiens quand même à noter la prestation de Julia Roberts, une belle prestation qui évite une catastrophe... Ainsi, ce film est long, ennuyeux, et prenant à quasi aucun moment... A éviter.
pierrre s.
Avec ce thriller peu banal, sur un homme qui ne l'est pas moins, Clooney réussit ses débuts. Tout n'est pas parfait mais les acteurs sont bons et hormis quelques longueurs l'histoire est intéressante.
Je me suis ennuyée. Je l'ai même regardé en 3 fois. J'ai du mal avec Sam Rockwell ce qui n'arrangeait rien (je le trouve pourtant bon acteur, mais y a un je-ne-sais-quoi qui m'agace chez lui). Bref, un film longuet, un peu confus, pas prenant.
Un premier film de l'acteur/réalisateur/producteur Georges Clooney maitrisé, mélange de comédie et de thriller portée par un agréable casting (Sam Rockwell est aussi impeccable que dans "Moon") et deux caméo très sympathique (Brad Pitt et Matt Damon, restant 3secondes à l'écran). On a droit à de nombreux styles d'images pour diverses époques ou lieux qui peuvent paraître un peu excessif à l'écran par moment. Le scénario est original et tiré de faits réels mais rien n'est véridique... Ce film reste une légère déception, je m'attendais à mieux et surtout à un rôle plus consistant pour Maggie Gyllenhaal (A l'adresse des modérateurs d'AlloCiné : modifier ça sur la fiche du film, elle est marqué dans les rôles principaux alors qu'on la voit seulement 5 minutes). Globalement, "Confessions d'un homme dangereux" est un film correct qui ne m'a pas passionné.
Disons que je n ai pas accroché, je comprends que l on puisse aimer mais je trouve que Clooney n arrive pas a ce décider si il veut faire un thriller ou une comédie et le tout finit par devenir confus et ennuyeux. Les acteurs sont en tout cas irréprochables et la mise scène reste intéressante mais malgré une histoire de base attirante le tout est décevant.
Super film de Georges Clooney avec un époustouflant Sam Rockwell. La réalisation est très surprenante, l'univers est assez loufoque avec un humour très décalé, non, j'ai vraiment adoré. C'est fou qu'il ait fait un bide pareil à sa sortie ...
Bel effort mais avec des longueurs et des langueurs. L'originalité de la mise en scène pour retranscrire la folie devient rapidement brouillonne et épuisante. Ce film excentrique souffre d'un manque contenance et de crédibilité.
Premier film du premier de la classe
L’histoire de Chuck Barris qui prétend dans son livre avoir mené une carrière de tueur professionnel pour le compte de la CIA et parallèlement une carrière d’animateur de télé-réalité à succès de 1976 à 1980. Précurseur du genre Jeu TV.
Sam Rockwell (Barris) nous joue le clown, le visionnaire, le monstre et enfin le paranoïaque avec une facilité époustouflante, il est captivant.
Drew Barrymore est pétillante. Cette fille a vraiment du chien et du talent.
Clooney a diablement bien réalisé son premier film. Presque trop. Tout est nickel : la réalisation, l’image, les époques, les acteurs. Les copains d’Ocean font même une apparition clin d’oeil.
Ce mec est un surdoué : Beau, intelligent, charismatique et humaniste. Qui organise la répartitions des talents ? Et s’il avait vendu son âme au diable ?
Un premier film sans faute.
L’histoire de Chuck Barris qui prétend dans son livre avoir mené une carrière de tueur professionnel pour le compte de la CIA et parallèlement une carrière d’animateur de télé-réalité à succès de 1976 à 1980. Précurseur du genre Jeu TV.
Sam Rockwell (Barris) nous joue le clown, le visionnaire, le monstre et enfin le paranoïaque avec une facilité époustouflante, il est captivant.
Drew Barrymore est pétillante. Cette fille a vraiment du chien et du talent.
Clooney a diablement bien réalisé son premier film. Presque trop. Tout est nickel : la réalisation, l’image, les époques, les acteurs. Les copains d’Ocean font même une apparition clin d’oeil.
Ce mec est un surdoué : Beau, intelligent, charismatique et humaniste. Qui organise la répartitions des talents ? Et s’il avait vendu son âme au diable ?
Un premier film sans faute.
Ce film est une très bonne surprise. Il confirme que Georges Clooney est aussi à l'aise à la réalisation que dans ses rôles d'acteur. Pour un premier long métrage, il signe un film d'une grande justesse et d'une grande intelligence, au style propre (image, façon de filmer, dialogues).Celui-ci retrace la vie de Chuck Barris, sorte "d'avant-gardiste" un peu looser qui se retrouve à mener la surprenante double vie de tueur et de producteur d'émission TV, à cette époque où la TV est en plein essor. Malgré un rythme lent parfois destabilisant, le sujet est bien traité, avec détachement et dérision, mais aussi avec un peu de sérieux qui saura nous crisper en temps venu. Les dialogues sont très travaillés et quelques phrases sonnent vraiment justes dans les esprits. Le tout porte à réflexion quant à l'évolution de ce que l'on nous propose aujourd'hui à l'antenne. Les émissions de Barris, leurs moralités et leurs buts nous rappellant furieusement nos programmes de Tv-Réalité ! Dommage que la fin passe si vite, et que finalement nous n'ayons pas le temps d'exploiter trop la psychose qui s'installe chez notre héros. Le casting 5 étoiles donne que plus de saveur à l'oeuvre, et Sam Rockwell se démarque encore plus de par sa prestation sans fausse note. A noter aussi une BO impeccable, et vous obtenez un petit bijou qui se démarque allègrement de tout les films assez fades et sans âmes que peut nous pondre l'industrie cinématographique.
Wow, je ne me suis rendu compte que c'était un film réalisé par George Clooney qu'au moment du générique. Et quelle réussite pour un premier passage derrière la caméra. Plus que la partie axée sur la montée en puissance d'un nouvel univers télévisuel américain, c'est réellement cette ambiance extrêmement réussie de film noir qui m'a scotché. Le tout étant sublimé par la performance excellente de l'ensemble des acteurs. Un vrai petit bijou
Grand copain des frères Coen et de Steven Soderbergh avec qui il ouvrit une boîte de production, George Clooney se retrouva derrière une caméra, comme prévu, pour Confessions d’un Homme Dangereux, faux biopic de Chuck Barris.
Une histoire de mythomanie se devait d’être proche de son personnage principal et jusque là, le script de Charlie Kaufman et la mise en scène de George Clooney assurent, tant ils sont proches de Barris joué par un excellent Sam Rockwell. Le vrai problème, c’est que le film ne se concentre que sur lui et occulte les personnages secondaires, pourtant bien interprétés (on parlera surtout de Julia Roberts et Robert John Burke), ce qui provoque très vite un petit ennui chez le spectateur qui voit un homme se mentir à lui-même plus qu’autre chose. Les partis pris de mise en scène de Clooney sont très fortuits, avec ces surexpositions de la lumière pour coller à l’époque. Ca se regarde donc pas mal filmer, mais sans véritable déplaisir pour le spectateur, tant Rockwell abat un travail formidable.
On ne peut donc qu’être déçu, donc, du manque de personnage, du manque cruel d’intérêt du personnage et de la lenteur du script, qui perd souvent son spectateur dans la temporalité de son récit pourtant pas si déstructuré.
Une histoire de mythomanie se devait d’être proche de son personnage principal et jusque là, le script de Charlie Kaufman et la mise en scène de George Clooney assurent, tant ils sont proches de Barris joué par un excellent Sam Rockwell. Le vrai problème, c’est que le film ne se concentre que sur lui et occulte les personnages secondaires, pourtant bien interprétés (on parlera surtout de Julia Roberts et Robert John Burke), ce qui provoque très vite un petit ennui chez le spectateur qui voit un homme se mentir à lui-même plus qu’autre chose. Les partis pris de mise en scène de Clooney sont très fortuits, avec ces surexpositions de la lumière pour coller à l’époque. Ca se regarde donc pas mal filmer, mais sans véritable déplaisir pour le spectateur, tant Rockwell abat un travail formidable.
On ne peut donc qu’être déçu, donc, du manque de personnage, du manque cruel d’intérêt du personnage et de la lenteur du script, qui perd souvent son spectateur dans la temporalité de son récit pourtant pas si déstructuré.
Un film d’espionnage, traité de façon pseudo comique ponctué de quelques touches de suspens, pour un résultant peu emballant au final.
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