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Un visiteur
4,5
Publiée le 9 décembre 2013
Adapté de ces deux essais "Sociologie du dragueur" et "la vie d'un vaurien", confession d'un dragueur est une très valable entrée en matière pour comprendre la pensée d'Alain Soral. Diabolisé par les féministes et les hyppocrites -il n'y a que la vérité qui fache-, M. Soral ne nous épargne rien. De la "misère du désir" de ses protagonistes aux sordides solutions pour y pallier, c'est avec un regard désabusés qu'il nous décrit nos tribulations à nous pauvres mâles en manque d'affection se heurtant au désirs des femmes tellement loin de ce qu'elles prétendent vouloir. Comment un petit bourgeois propret va apprendre que la réalité quant aux femmes est aussi poisseuse que la culotte d'une prostituée des grands périphériques au petit matin. Un film aussi salutaire pour ceux qui rêvent encore à la femme parfaite que pour ceux tombés au fond du gouffre pour l'amour d'une donzelle. Une prise de conscience salutaire donc, dans un monde toujours plus féminisé. Les techniques d'approche sont toutefois un poil dépassés mais la plus importante restant présente à savoir "elles ne sont pas magique et bien souvent ne valent pas la peine que l'on prend à vouloir monter dedans". L'auteur étant comme tout bon penseur censuré, vous pouvez toujours vous procurer la galette de ce film sur le site Kontre Kulture.
Un film moyen , mais avec une pensée de fond intéressante (le problème des classes sociales,des femmes floué dans un mouvement féministe qui ne veut rien dire ) On voit malgré tout que Alain Soral n'est pas un réalisateur (Beaucoup de plan douteux, le déroulement du film parfois très lent ) qu'il justifiera plus tard par des problèmes de budget rendant le tournage du film pénible (voir le bonus sur le DVD) Après ce film, on comprend certaines choses, mais le message aurait pu être plus clair si il n'y'avait pas autant de lenteur dans le déroulement du film. Bref , le film normal pas définition.
Seul et unique long métrage d'Alain Soral je me lance dans ce film sans trop savoir a quoi vraiment m'attendre, au final ce ne sera qu'une banal comédie parlant de sexe ou l'on met en avant un gars peu sur de lui qui va devenir un bon dragueur, on suit de bout en bout des techniques de dragues, de mauvais il deviendra bon et c'est tout, peu de profondeur et une fin assez vide .
En passant le film dénonce la gente féminine et les classes sociales . On y voit les hommes rejetés par les femmes moches car elles sont aigri, et on nous parles du pauvres éboueur qui n'arrivera pas a "choper" la bourgeoise du coin .
Oui Confession d'un dragueur est une comédie un peu misogyne, qui s'amuse a rabaisser les femmes, on les places comme de simple objets, des attractions pour dragueurs et finalement aucune profondeur de l’être humain dans tout ça . Malgré tout le film dénonce beaucoup de chose réel malgré une vision trop personnel et trop impliqué du réalisateur .
On retrouve une réalisation banal sans saveur avec peu de moyen et on ressent que ça sort juste des années 90, il y a aussi des acteurs juste correct avec Saïd Taghmaoui qui est a l'aise devant la caméra au contraire de Thomas Dutronc . Deux personnages assez vide et peu développés .
Ah et une chose très importante le film ne propose qu'une seul musique en dehors des passages en boites de nuit . Au début ça passe bien puis c'est vite très lourd au bout d'un moment, on se tape donc "J'aime regarder les filles" de Patrick Coutin pendant 1h20 .
Mais pour un premier long métrage ce n'est pas si mauvais que ça, pas mal de gags sont sympa et font bien rire, on passe un bon moment devant ces techniques de dragues . Un peu trop misogyne mais quelques passages qui dénonce la réalité, de l'humour sympathique mais une réalisation pas excellente, une comédie sympa et agréable mais sans plus au final .
Je cherchais un film à voir pour ce soir, je ne savais pas trop quoi voir, j'avais du repassage à faire, il me fallait un truc léger. J'ai opté pour le film d'Alain Soral. Bon pour être honnête c'est bien mieux que le jour et le nuit de Bernard Henri Levy (pour comparer avec son grand ami). Sauf que bon, c'est quand même pas terrible.
J'aime bien le concept, un film sur un mec qui apprend à draguer. Le film aurait pu s'en tenir à ça au lieu (et c'est louable) de vouloir parler d'autre chose en plus, lutte des classes, etc. Parce que c'est très maladroit et pas abouti pour un sous. Du coup ça alourdi le tout, même si ce n'est présent qu'en filigrane. Mais il faut bien dire que le film est sympa parce que le concept est sympa. Niveau réalisation ou jeu d'acteur c'est juste le néant total.
Tout sonne faux, les dialogues, les situations et ce n'est jamais sublimé par la mise en scène qui est complètement mollassonne et inintéressante. Je crois avoir vu une vidéo où Soral s'en prenaient aux critiques cinéma (tout en faisant croire qu'il s'y connaissait) et se justifiait en disant : "en vrai c'est filmé comme ça parce que le groupe électrogène est là et qu'on a la flemme de le déplacer". Et bien dans ton film ça se voit, crois moi.
Et on ne peut même pas dire qu'il ait tenté de faire quelque chose au montage. Du coup j'ai l'impression d'avoir vu un sous Rohmer, pas désagréable, mais un sous Rohmer qui se veut plus corrosif, mais bien moins bon qu'un vrai Rohmer. Le film a un côté très Nouvelle Vague dans ses dialogues, sa façon de tourner avec trois fois rien en extérieur. Mais bon Soral n'est pas Godard ou Rohmer dans l'écriture des dialogues… Du coup ça passe quand même beaucoup moins bien.
Je dirai que la première heure n'est pas déplaisante, mais ça finit par tourner en rond et ce n'est pas la pseudo intrigue qui va relancer le truc.
C'est dommage parce que je pense qu'il y a de bonnes idées, mais ça n'aboutit juste pas. Et le fait que les personnages semblent tellement à côté de la plaque (le look de Fabio, est juste improbable) et que ça joue aussi mal n'aide en rien le film, au contraire.
Film qui vous fait passer un moment sympa et surtout qui reflète pas mal la société dans laquelle nous vivons. Il fera rêvé les inconditionnelle de la turlute et surement pleurer les membre de "ni pute ni soumise".
Pas génial dans la réalisation mais certainement pas en-dessous de 90% de la production française actuelle. On retrouve même un parfum de film de marginaux des années 80. Dutronc est très fade, Taghmaoui au contraire bon et vivant. Et surtout, il y a du fond et c'est plutôt drôle. On retrouve, régulièrement mot pour mot, le contenu du livre d'Alain Soral "Sociologie du Dragueur". Dans la grande famille du cinéma français collabo et politiquement correct, on comprend que cela ait fait tâche, d'où la mise au rencard immédiate de Soral qui ne se serait peut-être pas produite ailleurs.
Alain Soral est un type attachant par la démarche émancipatrice de sa pensée et par son côté aventurier qui ne craint pas de franchir les normes du politiquement correct, quitte à s'égarer parfois sur des chemins boueux. Il nous livre ici ses secrets de dragueur professionnel, illustrant ainsi sa "Sociologie du dragueur" qui ne manque pas de rendre n'importe quel mec jaloux par l'étendue de son tableau de chasse, même si au fond on devine l'entreprise vaine et pas forcément si enrichissante et constructrice qu'on pourrait l'imaginer de prime abord; il ressort lui-même de ces expériences très autobiographiques totalement insatisfait, voire aigri; il suffit de lire son essai.
Si on peut être séduit par son verbe, malheureusement pour le spectateur, Alain Soral n'est pas un réalisateur de films. Et double malheur, les acteurs de ce film ne sont pas des acteurs. Une succession de plans ne fait pas un film. Le montage et la réalisation ne mettent pas en valeur ce sujet en or que pourrait être le "Donjuanisme". Le scénario lui-même est assez indigent; peut-être Alain a-t-il voulu suivre trop aveuglement le fil de son livre ?
Toute comparaison abusive mise à part sur le sujet, il vaut mieux revoir le film des années '70 de Michel Deville, "Le mouton noir", pour voir la différence entre amateurisme et professionnalisme.
Alors voila le film du sociologue trublion Alain Soral . Si certaines de ses pensées méritent le détour , son "abecedaire de la betise ambiante " par exemple ne manque pas d' intêret , ici en revanche on touche le fond aussi bien visuellement que dans les idées .Par ailleurs , il est amusant de voir comment Soral et ses partisans uitlisent lachement la position politiquement incorrect de l' auteur pour ne pas admettre un échec artistique . Ceux qui critiquent le film sont forcément des biens pensants appartenant à la classe médiatique dominante et l' ont donc éreinté subjectivement pour casser Soral ... C 'est pratique comme excuse , ça permet de ne pas se remettre en cause . Allons allons Mr Soral , il faut arrêter avec cette victimisation de mauvaise foi . Vous n' avez pas été victime d' un lynchage concerté , votre film est tout simplement MAUVAIS !
Vraiment !!! La grande classe, petit film, petit budget, acteur peut connu de l'époque mais autant dire que la prestation de Said Taghmaoui (Fab) ex acteur de (La Haine) est vraiment génial avec ça et là des mini spitch hilarant , Domage que peut de personne connaisse ce film. A voir
Film assez grotesque sur la forme comme sur le fond. Comme quoi le cinéma n'est pas un art aisé car son réalisateur ne manque pourtant pas de talent conceptuel ni critique. Mais pourquoi un sujet si plat et terre à terre? Peut-être plus "vendeur" d'une certaine manière. L'interprétation de Dutronc est tragique. La réalisation pourtant vive et incisive n'arrive pas a relever un scénario affligeant. Quant à la bande-son qui se résume à une seule et unique piste, elle est franchement agaçante.