Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Dommage (...) que le film tende vers une leçon, non pas de drague, mais de rapports de classe dont on peut se demander si elle est si simple et si juste aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Parisien
par N.C.
(...)on attendait plus de ce film. Tournée sans grands moyens et, donc, rapidement, cette « Confession » est superficielle et artificielle.
Télérama
par Cécile Mury
(...) quelques belles scènes cruelles entre deux comédiens convaincants (...) . Mais au final, trop de caricatures usées (...) , trop de mollets monotones et de rodomontades épate-bourgeois (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Catherine Deydier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
L'histoire du cinéma ne retiendra sans doute pas ce précis de flirt macho car, d'une part, il est cinématographiquement plat, et d'autre part il s'avère imprécis.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Gilbert Louis
Après une bonne heure, le film semble curieusement se rappeler qu'il est dédié à Jean Eustache, et que la comédie grasse n'était pas son objectif (sociologique) de départ : il retombe sur ses pieds non sans cynisme, frappant d'ambiguïté tout ce qui précède. Un sursaut bien tardif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
le scénario se dissimule sous les oripeaux du réalisme social. Mais le camouflage est plein de trous et laisse voir les deux piliers du discours ici développé (car à aucun moment, dans ce film verbeux et statique, il ne s'agit vraiment de cinéma) : le sexisme et l'homophobie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
un film foncièrement exécrable, au point que la simple perspective de le voir justifie de fuir à toutes jambes. Sexiste, homophobe, vulgaire, asthénique, laid, creux (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par N.C.
La mise en scène, très premier degré, est d'une fadeur sans nom et dénuée du moindre sens de l'humour. Les acteurs, en totale liberté, font ce qu'ils peuvent pour sauver l'entreprise du naufrage, c'est-à-dire pas grand chose (...)
Positif
par Pierre Eisenreich
Située dans un Paris désincarné, dénuée d'un enjeu comique ou social, l'intrigue se limite à une succession de petits faits d'armes. (...) Au fond, Confession d'un dragueur correspond à un langage commercial déjà dépassé comme un vieux spot publicitaire démodé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Virginie Apiou
Le scénario linéaire est essentiellement composé d'une suite de monologues. La réalisation statique multiplie les mêmes plans fixes, sans rythme ni créativité visuelle. Côté comédie, malgré des thèmes intéressants (...) , le ton n'est ni grinçant ni méchant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Dommage (...) que le film tende vers une leçon, non pas de drague, mais de rapports de classe dont on peut se demander si elle est si simple et si juste aujourd'hui.
Le Parisien
(...)on attendait plus de ce film. Tournée sans grands moyens et, donc, rapidement, cette « Confession » est superficielle et artificielle.
Télérama
(...) quelques belles scènes cruelles entre deux comédiens convaincants (...) . Mais au final, trop de caricatures usées (...) , trop de mollets monotones et de rodomontades épate-bourgeois (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
L'histoire du cinéma ne retiendra sans doute pas ce précis de flirt macho car, d'une part, il est cinématographiquement plat, et d'autre part il s'avère imprécis.
L'Obs
Après une bonne heure, le film semble curieusement se rappeler qu'il est dédié à Jean Eustache, et que la comédie grasse n'était pas son objectif (sociologique) de départ : il retombe sur ses pieds non sans cynisme, frappant d'ambiguïté tout ce qui précède. Un sursaut bien tardif.
Le Monde
le scénario se dissimule sous les oripeaux du réalisme social. Mais le camouflage est plein de trous et laisse voir les deux piliers du discours ici développé (car à aucun moment, dans ce film verbeux et statique, il ne s'agit vraiment de cinéma) : le sexisme et l'homophobie.
Libération
un film foncièrement exécrable, au point que la simple perspective de le voir justifie de fuir à toutes jambes. Sexiste, homophobe, vulgaire, asthénique, laid, creux (...)
MCinéma.com
La mise en scène, très premier degré, est d'une fadeur sans nom et dénuée du moindre sens de l'humour. Les acteurs, en totale liberté, font ce qu'ils peuvent pour sauver l'entreprise du naufrage, c'est-à-dire pas grand chose (...)
Positif
Située dans un Paris désincarné, dénuée d'un enjeu comique ou social, l'intrigue se limite à une succession de petits faits d'armes. (...) Au fond, Confession d'un dragueur correspond à un langage commercial déjà dépassé comme un vieux spot publicitaire démodé.
Première
Le scénario linéaire est essentiellement composé d'une suite de monologues. La réalisation statique multiplie les mêmes plans fixes, sans rythme ni créativité visuelle. Côté comédie, malgré des thèmes intéressants (...) , le ton n'est ni grinçant ni méchant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com