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totoro35
105 abonnés
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0,5
Publiée le 29 juillet 2012
Adaptées sur pratiquement tous les supports connus (comics, films, série télé, dessin animé...), les aventures du héros mythique créé par Robert E. Howard ont droit à un nouveau film après le chef-d'oeuvre de John Millius et sa suite décevante signée Richard Fleischer. Reprenant superficiellement les éléments chers à Howard pour n'en retenir que les défauts des premières nouvelles, à commencer par un sexisme d'un autre âge (alors que Millius déjouait ces pièges en filmant des femmes fortes supérieures à leurs homologues masculins, les personnages féminins sont ici, au pire, des salopes cruelles et perfides, au mieux de simples donzelles en détresse), ce "Conan" next gen est un désastre total, dénué de souffle et de dramaturgie, simple actioner bas du front mal écrit et mal filmé par un Nispel foirant toutes ses séquences d'action et incapable d'apporter une identité visuelle à son film, lui qui avait pourtant fait preuve d'un vrai talent graphique avec sa relecture de "Massacre à la tronçonneuse" et son sympathique "Pathfinder". Pour ce qui est du casting, même topo, les seconds rôles tombant chaque fois dans le ridicule quand Jason Momoa fait preuve d'un non-jeu assez incroyable, bien loin du charisme dont il avait su faire preuve dans "Game of thrones". Plutôt que de vous infliger cette purge qui n'a pour elle que de très beaux décors, je vous conseille plutôt de vous jeter sur les superbes rééditions des écrits de Robert E. Howard ou de vous replonger dans le classique de Millius, merveille de fureur et de lyrisme, au romantisme désespérément beau.
Par Crom, on est pas passé loin du massacre. Cette relecture moderne du mythe de Conan est un pur blockbuster bourrin qui s'assume mais qui ne parvient jamais à divertir le spectateur malgré quelques bonnes idées (l'accouchement, la catapulte...). La faute n'incombe pas aux acteurs qui, sans être exceptionnels, livrent une prestation honnête, mais plutôt à une réalisation sans âme et à une intrigue qui pue le réchauffé. Un seul remède pour oublier cette débâcle cinématographique: se replonger au plus vite dans le seul Conan qui aurait du voir le jour sur grand écran: celui mis en scène par John Milius.
Le genre di film où faut réellement débrancher son cerveau... C'est bourrin, archi bourrin... ça fait très longtemps que j'ai pas vu un film avec aussi peu de dialogue, en fait ce conan c'est une succession de scènes d'actions, des dialogues caricaturales que le film assume complètement mais le problème c'est que certains acteurs surjouent tellement(les méchants) que des fois c'est drôle à la manière d'un "machete" seulement là je pense que c'est vraiment le but... De plus c'est pas tout le temps bien filmé et à la longue t'as mal au crâne... Au final c'est pas une purge non plus mais pour moi ce "conan" est une déception mais on s'ennuit pas non plus. 2,5/5
Passé quelques effets réussis, le film endors par la platitude de son scénario qui n'a d'égal que celle de sa mise en scène. Clairement le film tourne à vide, et meme les moments les plus rythmés ne fonctionne pas, la faute à des personnages caricaturaux et aucunement charismatiques, en tete Conan, qui ne fait jamais oublié sa précédente apparence aka Arnold Schwartzenegger. Ennuyeux parceque très mauvais.
Marcus Nispel est mal aimé des critiques. Bien que son remake de Massacre a la Tronçonneuse à surpris son monde à l'époque, son Pathfinder - Le Sang du Guerrier à été totalement ignoré, et son remake de Vendredi 13 snobé. Personnellement je n'aime pas du tout le classique de 1982, alors le voir s'attaqué à son remake me fessait pas peur, mais j'aime pas trop son Pathfinder malgré des plans magnifiques, bien que les bandes annonces m'annoncé à quelque chose de sympa et divertissement, mais je tiens avoué que depuis que les critiques sont tombé j'ai faillit pas allez le voir...
Alors j'ai tous simplement adoré Conan 3D ! Pas un chef d'oeuvre mais un des meilleurs blockbuster que j'ai vu cette année. Si Pathfinder soufré d'un manque de épique indéniable, force de constaté que Nispel est allez à fond et ma surpris, magnifique combats, violence très poussé (décapitation, éventration, crane explosé, torture et on en passe....) et surtout un rythme parfait, de la première à la dernière seconde au suit l'aventure de Conan dans sa quête de vengeance. J'ai beaucoup aimé Jason Momoa, charismatique et attachant, tous comme Rachel Nichols qui est attachante également, jolie et qu'elle est bien plus convainquant que dans G.I Joe !
La musique de Bates est jolie, techniquement c'est excellent, j'ai adoré les décors naturels ou en synthèse vraiment magnifique. La 3D est sympa, pas énormement de profondeur mais elle ne affaiblie pas la photographie donc c'est agréable. Les seuls reproches que j'ai envers ce film ce sont les dialogues, trop simpliste. Et les enjeux, qui sont trop linéaire et banal. Le film est très très épique et violent, et sa ma fait très plaisirs, Conan ferait passé Léonidas pour un enfant de 6 ans. J'espère que le film marchera bien et qu'une suite sera mise en chantier, cars le film le mérite vraiment. Pour 90 millions de dollars (pas énorme en ce moment, quand on voit que des gros studios claques 250 millions de dollars dans du Harry Potter....) Nispel montre clairement ou l'argent est passé, à tels points que son film parait avoir coûté plus chère que Prince of Persia par exemple. Marcus Nispel livre un blockbuster efficace avec des effets spéciaux excellents (les guerriers de sables, la créature aquatique sont magnifique). Vivement un Conan 2 !
Plutôt quelconque ce "Conan"....en fin de compte, le personnage aurait pu porter n'importe quel nom, on n'aurait pas vraiment vu la différence. En même temps, il était difficile de soutenir la comparaison avec la version de Milius et Schwarzenegger. Il y manque le souffle épique des films cultes, une musique digne de ce nom. On se retrouve juste devant un film banal de vengeance bâti comme un jeu video: on bat les sous-fifres un par un jusqu'au boss final. A retenir par contre une scéne magnifique avec des hommes de sable, seule réelle bonne idée du film!!!!!! à voir et à oublier aussi vite pour revenir trés vite à l'original!!!!!!!!!
Waouww! Un chef d’œuvre de nullité. C'est dingue, il n'y a rien à sauver dans ce truc. Il n'y a pas de scénario, les dialogues sont affligeants, les personnages caricaturaux et sans substance, les décors sont dignes de la série Hercule (celui qui rigole quand on ... blague du même niveau que le film), tout comme les costumes. L'histoire n'en parlons pas, juste pitoyable! C'est un condensé de tous les pires clichés possibles. J'en rigolerais si ça ne me rendait pas triste pour le premier film Conan le barbare qui voit son nom sali par cet immondice. A croire qu'aucun membre de l'équipe de réalisation ne l'avait vu. Heureusement que je ne suis pas allé au cinéma pour admirer ce navet, j'aurais sacrément eu mal aux fesses...
Près de trente ans après la première adaptation par John Milius de Conan le Cimmérien, revoici notre anti-héros légendaire dans une nouvelle aventure cinématographique bien différente de ce qui a été alors proposé pour nos mirettes. Réalisé par le bourrin Marcus Nispel, lequel son remake Pathfinder était plutôt réussi, ce nouveau long-métrage fait table rase des précédentes aventures du barbare pour se concentrer sur ses véritables origines, celles écrites par Robert E. Howard. Hélas, cela ne suffit pas à faire de ce nouveau Conan un bon film. Désormais, c'est l'Hawaïen Jason Momoa ("Stargate Atlantis", "Game of Thrones") qui endosse les muscles du barbare avec plus ou moins d'aisance, son personnage ayant l'air d'être plus réaliste mais moins charismatique. À ses côtés, les cabotins Stephen Lang et Rose McGowan, la sexy Rachel Nichols et notre Saïd Taghmaoui tout bonnement inutile. Nispel narre donc un long prologue aux origines sanglantes du héros et donne le ton : ça sera sanglant, épileptique et sans intelligence. Et c'est parti pour près de 2h de bastons répétitives contre des sbires, d'affrontements tantôt verbaux tantôt à la pointe de la lame. Conan 2011 est donc une pure série B comme on en fait plus, avec son scénario d'épisode TV agrémenté de quelques effets spéciaux, d'un joli casting et d'éblouissantes matte-paintings. C'est tout. Car oui, ce nouveau film possède hélas un scénario très manichéen, avec sa princesse enlevée, son chevalier servant, ses combats et son happy-end prévisible. Les quelques personnages secondaires sont constamment éclipsés, au même titre que l'univers féérique, ici basé uniquement sur une sorcière, des hommes de sable et une pieuvre géante dont on ne verra que les tentacules. Mouais, pas terrible pour un revival de près de 100 millions de dollars. Mais outre son scénario basique phagocyté par l'action, ces fameuses scènes d'action saignantes sont hélas hachées au montage et surtout extrêmement mal cadrées, devenant très rapidement indigestes. Ainsi, Conan reste un pop-corn movie convenable mais très dispensable, loin derrière les derniers films d'heroic fantasy sortis ces dix dernières années et très loin du chef-d'œuvre de John Milius.
Aprés un trés bon Pathfinder et un excellent remake de Vendredi 13, Marcus Nispel nous livre un Conan imparfait. En fait, il n'y a rien de trés original dans ce film. Les scénes d'action sont réussies et les interprétations sont convenables (Jason Momoa entre bien dans le personnage et Rose McGowan est parfaite en Marique). Pour le reste, c'est du déjà vu. Le scénario est basique, Rachel Nichols nous joue la femme en détresse que le héros doit sauver et le combat final n'est pas à la hauteur. Sans oublier la 3-D qui ne sert absolument à rien, encore une fois. Bref Conan reste tout de même un bon film du samedi soir mais qui ne devrait pas rester dans les annales.
Sans nul doute, le récent Conan le barbare marque probablement le retour le plus prépondérant de ce que l’on peut à juste titre détester le plus dans le cinéma d’aujourd’hui. A commencer par une intrigue sans queue ni tête, une succession ridicule de plans « travaillés », mais surtout un acteur principal possédant le charisme d’une moule mal digérée ! Inutile de s’étaler sur le film fantastique le plus ridicule de ces dernières années.
Je crois que le pire avec ce Conan version 2011, c'est que la bande annonce annonçait un truc plutôt sympa qui aurait pu se laisser regarder avec un certain plaisir. Autant dire que le résultat est... catastrophique. Alors j'ai pas vu la version originale avec Schwarzy donc je vais pas faire de comparaisons, mais je sais que celui-ci m'a suffit. Alors, l'histoire c'est juste une énorme blague, honnêtement j'ai jamais autant ris devant une scène d'ouverture, et devant un combat final qui ferait pâlir le mauvais goût. C'est niais, prévisible et complètement cliché sur tous les points. Le jeu d'acteur, bah il est minable, ils ont du se dire "Prenons un monsieur avec des gros muscles, on lui donne une épée qui peut casser toutes les autres et on lui fait dire des répliques trop dark ça sera cool !". Enfin voilà. Côté mise en scène c'est moche, les effets spéciaux aussi, la princesse aussi (ah pardon c'était peut-être de trop ça). Enfin bref, y'a rien de plus à dire.
La plus grosse arnaque de 2011. Alternant les fautes de goût et les incohérences à foison, la nouvelle version de Conan va de Charybde en Scylla, compilant les clichés les plus surfaits de l'héroïc fantasy en réduisant les femmes à l'état de sac à foutre et faisant de Conan un demeuré aux gros muscles. Le film est gore, y a du nichon, mais le tout a été pensé pour des métalleux de 12 ans qui jouent à Donjons et Dragons. Indigne de porter le nom de la franchise...
Fils d'un chirurgien émérite (également boucher/charcutier et forgeron capable de réaliser une césarienne avec n'importe quel ustensile coupant) le jeune Conan est un garçon de son temps, très espiègle (un peu taquin quand même) et montrant très tôt des dispositions pour les expériences scientifiques (voir son essai remarquable "de la nullité de l'existence d'un corps sans tête"). Traumatisé par la mort tragique de son père lors d'une beuverie de métal fondu ayant mal tourné (même les plus grands ont leur faiblesse!) Conan abandonne sa prometteuse carrière de médecin "pré-légiste" (la même chose qu'un médecin légiste mais sur des sujets vivants) au profit d'une vocation découverte sur le tard de secouriste humanitaire (grâce à son mentor Rasta baba cool), fonction lui permettant de venir en aide aux plus démunis tout en s'investissant "DANS" la cause féminine (la libération de la femme sexuellement reconnaissante étant une de ses priorité fondamentale, à condition tout de même que celles ci aient le profil top modèle ukrainien) Hélas, la fibre médicale ne l'ayant jamais quitté, Conan doit renoncer à ces aspirations bénévoles, sentant en lui le désir impérieux de faire partager au reste du monde sa nouvelle méthode d'opération à coeur ouvert sans anesthésie (à noter une légère querelle à régler au passage mais est ce vraiment nécessaire de relater ces faits pour ternir la légende?) Blague à part, ce nanard est tellement grossier, tellement ridicule qu'il en deviendrait presque marrant s'il ne souffrait pas autant de la comparaison d'avec son illustre modèle. En gros, Si le Conan de John Milius est incontestablement un film pour les mecs, celui de Nispel est sans l'ombre d'un doute pour les minettes!!
Crée en 1932 par Robert E. Howard, pionnier en matière d’Héroïc Fantasy (à son actif, on trouve aussi Salomon kane et Red Sonja), Conan fait ses premières apparitions dans le magazine pulp*, « Weird Tales ». Les péripéties du barbare ont déjà été adaptées au cinéma en 1982 par John Milius avec Arnold Schwarzenegger dans le rôle-titre, mais Marcus Nispel nie en avoir réalisé un remake. Selon lui, sa version est plus proche des récits originels. Mais finalement, que « Conan » soit une interprétation originale ou une pâle copie, peu importe. L’intérêt de « Conan » n’est pas là. Mais plutôt dans ce plaisir coupable (ou pas) qu’on a, à assister aux aventures d’un barbare primaire à travers les terres hostiles d’une époque reculée. Bref, peu importe pourquoi Conan cogne, pourvu qu’il cogne… Passée une première scène ridicule, on est plutôt bien servi. Dès le début du film, ça tranche, ça coupe, ça décapite, ça brûle… Un vrai carnage. Au milieu des guerriers sanguinaires et des sorcières maléfiques, trône Conan, encore jeune mais plus vraiment innocent. Leo Howard dont il vous faudra retenir le nom, campe ce gamin casse-cou au regard insolent et téméraire. A 13 ans, le jeune acteur a un potentiel monstre. Ceinture noire de karaté, il a sa propre émission Disney (le « Leo Little’s Big Show ») et déjà quelques films à son actif. Une véritable graine de star. Dans la peau du barbare cimmérien devenu adulte, Jason Momoa. Après avoir joué les beaux gosses de service dans « Alerte à Hawaï », puis pris du galon avec Ronon Dex dans « Stargate Atlantis », l’acteur a récemment incarné ...
Venez lire la suite sur Chroniques d'une cinéphile: http://chroniquescinephile.blogspot.com/2011/08/conan-en-avant-premiere.html
Par où commencer ? Il existe tellement de défauts dans ce film qui n’aurait jamais du sortir sur grand écran. Remake de l’ancienne adaptation du célèbre personnage fantastique que représente Conan, « Conan » est une blague internationale qui pousse au fou rire devant tant de ridicule.
La scène d’introduction vous démontre en quelques secondes le fait que vous auriez mieux fait d’aller voir la comédie dramatique de la salle d’à côté pour passer votre soirée. Minable sur tous les points, il est difficile de concevoir l’idée qu’une personne quelconque puisse apprécier la vision d’un tel déchet. Personnages caricaturés au maximum, le casting mené par l’impressionnant Jason Momoa qui aurait mieux fait de rester dans « Games of Thrones » pour l’occasion, donne la profondeur d’un caniveau de banlieue à ce long-métrage trop long en vue de son contenu digne d’un Happy Meal.
Sachant son scénario plus fragile qu’une poupée de porcelaine, le réalisateur dont j’ai grâce à Dieu oublié le nom, a davantage planché sur le côté violence, sexe et gore. Rarement violence n’aura été aussi gratuite. Tombé dans un excès exécrable poussant à l’exaspération, M.X ne semble vouloir donner satisfaction qu’aux jeunes adolescents pré pubères cherchant simplement des images « sales » et cinématographiquement désolantes pour combler leurs lacunes en la matière.