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Votre avis sur La Demoiselle et le Dragon ?
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Un bon film d aventure pour petits et grands....quand 1 princesse croit pouvoir sauver son royaume en épousant 1 beau prince charmant...pas si charmant que ça....pour pouvoir survivre le royaume du prince doit sacrifier 3 princesses.....mais c'était sans compter Elodie, qui se révélera être 1 véritable guerrière et rétablira la vérité....
Un film qui se regarde. Bon il faut faire abstraction de très nombreux défauts évidents, a commencer par le côté woke omniprésent aujourd'hui.
Mais bon, ici, ce n'est même pas caché. Il n'y a que les personnages féminins forts qui font le film. Les hommes sont juste des lâches, des ordures ou des pauvre types inutiles destinés à mourir au moment propice pour la storyline.
Bien sur on va d’invraisemblance en invraisemblance dans les scènes, ça fait un peu mal. Genre dès le début le roi qui prend une dizaines d'homme et que des armes corps à corps pour aller combattre un dragon... Ils ont tout compris à la vie ceux là.
Et bon, c'est à peu près ça tout le film. Pas grand chose ne fait sens en réalité. Mention spéciale aux limaces lumineuses guérisseuses. Pas même la fin spoiler: ou le personnage féminin principal super forte et indépendante pardonne la dragonne qui vient de tuer son daron et a tué des dizaines d'innocentes. Mais bon, vu que c'est un dragon femelle c'est acceptable alors sauvons là à l'aide des limace magique, faisons en une alliée, et allons massacrer toute une ville avec de nombreux homme toxiques.
Les effets spéciaux eux sont... ok tier on va dire. On est loin d'un truc époustouflant mais c'est pas non plus un nanard.
Bref, je critique beaucoup mais je met quand même 3 étoiles car je suis très bon public. Et que si on fait abstraction du côté woke qui a tendance à dégouter dans le cinéma américain d'aujourd'hui, j'ai bien aimé le concept de la princesse jeté en sacrifice. Ça change un peu. Mais il y aurait eu tellement mieux à faire, je pense.
Mais bon, ici, ce n'est même pas caché. Il n'y a que les personnages féminins forts qui font le film. Les hommes sont juste des lâches, des ordures ou des pauvre types inutiles destinés à mourir au moment propice pour la storyline.
Bien sur on va d’invraisemblance en invraisemblance dans les scènes, ça fait un peu mal. Genre dès le début le roi qui prend une dizaines d'homme et que des armes corps à corps pour aller combattre un dragon... Ils ont tout compris à la vie ceux là.
Et bon, c'est à peu près ça tout le film. Pas grand chose ne fait sens en réalité. Mention spéciale aux limaces lumineuses guérisseuses. Pas même la fin spoiler: ou le personnage féminin principal super forte et indépendante pardonne la dragonne qui vient de tuer son daron et a tué des dizaines d'innocentes. Mais bon, vu que c'est un dragon femelle c'est acceptable alors sauvons là à l'aide des limace magique, faisons en une alliée, et allons massacrer toute une ville avec de nombreux homme toxiques.
Les effets spéciaux eux sont... ok tier on va dire. On est loin d'un truc époustouflant mais c'est pas non plus un nanard.
Bref, je critique beaucoup mais je met quand même 3 étoiles car je suis très bon public. Et que si on fait abstraction du côté woke qui a tendance à dégouter dans le cinéma américain d'aujourd'hui, j'ai bien aimé le concept de la princesse jeté en sacrifice. Ça change un peu. Mais il y aurait eu tellement mieux à faire, je pense.
Ti Nou
Le récit se déroulant essentiellement dans une caverne, les environnements sont un peu limités pour que "La demoiselle et le dragon" fournisse le grand spectacle attendu. Cependant, Fresnadillo est un bon faiseur et propose quelques belles séquences ; et son dragon est très classe.
Damsel est un film assez étonnant et possède de nombreux points forts. L'histoire déjà avec une jeune femme devant épouser un prince dans une contrée lointaine. Enfermée dans une grotte, elle sera mis en sacrifice pour un dragon.
Comment pourra t-elle s'en sortir ? Le dragon sera t-il si malfaisant ?
Si on passe les moments complètement improbables et parfois ridicules, on est pris par l'histoire et la mise en scène très impressionnante avec un dragon qui fera penser à Smaug du Hobbit.
Bref : un film avec une demoiselle et un dragon mais pas que.
Comment pourra t-elle s'en sortir ? Le dragon sera t-il si malfaisant ?
Si on passe les moments complètement improbables et parfois ridicules, on est pris par l'histoire et la mise en scène très impressionnante avec un dragon qui fera penser à Smaug du Hobbit.
Bref : un film avec une demoiselle et un dragon mais pas que.
Nicothrash
Un sympathique divertissement qui s’il est écrit avec les pieds bénéficie d’une très belle réalisation. Ça débute en gentil conte de fée avant de prendre des grands airs d’héroïc fantasy, c’est bien foutu, c’est haletant et Millie Bobby Brown qui a bien grandi se dépense sans compter. On retiendra plutôt les effets spéciaux que le scénario et nul doute que le métrage ne fera pas date mais le moment est sympathique et on s’en contentera.
J’ai beaucoup aimé le film, la fin n’est pas mauvaise plutôt bonne même. Le décor est sublime, le dragon bien et l’histoire aussi.
A regarder !
A regarder !
Bon film qui se regarde très bien avec des scènes d’actions que je trouve impressionnante. Cependant, un petit point qu’on pourrait reproché au film serait quelques scènes où on ressent un petit peu le montage mais rien de bien méchant. Enfin, ce qui fait d’un film un bon film est son histoire et là je trouve l’histoire intéressante qui nous tient en haleine du début à la fin et le jeu d’acteur suit
Je suis tellement déçu que Millie Bobby Brown accepte ce genre de film. Vraiment, l'histoire en soi peut être belle, mais là, il n'y a rien quoi on ne ressent rien quand on le regarde, les effets spéciaux nous sortent du film. Le point le plus important, c'est que ce n'est pas parce qu'on est dans de la SF ou de la fantaisie qu'il n'y a pas de code à respecter. Un humain qui tombe dans des cristaux tranchants ne peut pas se rattraper comme ça. Film de fantaisie ou pas, si certains codes ne sont pas respectés (sauf l'introduction), le film n'a plus de sens ! Le seul bon point, c'est que j'ai aimé le design du dragon.
Belle première partie, mise en abîme prenante, beaux décors, beaux costumes... Je trouve dommage que la seconde partie traîne en longueur et que la fin soit bâclée, le film avait su potentiel.
Héroic fantasy + Survival + Conte de princesse = La Demoiselle et le dragon. En somme, un divertissement efficace au visuel soigné qui prend à contre pied les histoires de princesse. On passe un bon moment !
Et bien ça fait longtemps que je n'avais pas vu un film fantaisie aussi bon avec pourtant tant de simplicité. Les décors, les effets spéciaux sont réussis. Les dialogues sont bons, et ainsi que le casting bien choisi.
Vu sur ma pause déj' , j'avais des appréhensions, justifiées quand même, mais pas a ce point. Le scénario est on ne peut plus simple, prévisible, mais la photographie, les effets spéciaux , le casting relèvent le niveau général et ça se regarde, pour moi en tout cas, aisément
De la fantasy pour adulte, voilà une chose trop rare au cinéma. Malheureusement, je ne peux pas dire avoir été très emballé par "La demoiselle et le dragon". Trop de facilités dans ce film qui ne présente finalement que peu d'intérêt. Une écriture très pauvre que cela soit au niveau du scénario qu'à celui des personnages. Tout y est prévisible et plat. Du coup, je me suis pas mal ennuyé.
On ne peut pas compter sur le jeu des acteurs ni sur les effets spéciaux pour remonter le niveau.
Pas de bonne fantasy ici, juste les clichés habituels. Donc passez votre chemin.
On ne peut pas compter sur le jeu des acteurs ni sur les effets spéciaux pour remonter le niveau.
Pas de bonne fantasy ici, juste les clichés habituels. Donc passez votre chemin.
Sincèrement, j’ai uniquement voulu le regarder pour voir Millie Bobby Brown dans le premier rôle d’un film d’action/aventure. J’apprécie cette actrice, fraîche et en plein essor. Le film est un peu redondant, certain passages un peu long et pas forcément nécessaire. Mais j’ai aimé l’évolution du personnage d’Élodie.
Fêtons le cinéma
Damsel surprend par son jeu de contrastes entre ses allures initiales de récit merveilleux, mobilisant un prince charmant, des cavalcades en amoureux et un royaume à l’architecture baroque, et sa cruauté intrinsèque : il s’agit alors de raccorder notre héroïne à sa condition sociale et à la violence originelle du pouvoir exercé par les êtres humains, de la jeter au fond de la caverne où elle rampe sous les manipulations politiques et les exactions premières. Cette leçon de politique n’est pas sans rappeler l’exploration des souterrains entreprise par Médée dans la relecture proposée par la romancière allemande Christa Wolf : faire choir une prétendue reine, la destituer symboliquement et géographiquement, l’éprouver au contact du crime originel, de la violence à l’origine de la violence, pour mieux renverser les attentes du public. Elodie mute progressivement en héraut du féminisme, devient la porte-parole de toutes ces princesses qui ont laissé chacune une inscription sur les murs de la grotte lumineuse, réactualisation du discours d’entrée à l’Académie française de Marguerite Yourcenar qui affirmait alors se tenir là accompagnée d’une « troupe invisible de femmes ».
Juan Carlos Fresnadillo a même l’audace de complexifier la caractérisation du dragon : sa monstruosité se révèle être un désir aveugle de vengeance à l’égard de celles et ceux qui ont pris ses enfants ; il parvient à susciter, d’un même élan, épouvante et pathétique, donnant vie à une créature mémorable et magnifiquement mise en scène. Nous regretterons néanmoins que le réalisateur se complaise dans le chemin de croix de sa demoiselle puis incarne lourdement sa bravoure par divers procédés grossiers (ralentis, plans iconiques devant des flammes etc.), qui ternissent quelque peu la rugosité d’ensemble. Damsel n’en demeure pas moins de très bonne facture.
Juan Carlos Fresnadillo a même l’audace de complexifier la caractérisation du dragon : sa monstruosité se révèle être un désir aveugle de vengeance à l’égard de celles et ceux qui ont pris ses enfants ; il parvient à susciter, d’un même élan, épouvante et pathétique, donnant vie à une créature mémorable et magnifiquement mise en scène. Nous regretterons néanmoins que le réalisateur se complaise dans le chemin de croix de sa demoiselle puis incarne lourdement sa bravoure par divers procédés grossiers (ralentis, plans iconiques devant des flammes etc.), qui ternissent quelque peu la rugosité d’ensemble. Damsel n’en demeure pas moins de très bonne facture.
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