Note moyenne
2,1
14 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'Express
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Aden
C'est une machine programmée pour appliquer, méticuleusement, tous les effets censés faire frémir les foules depuis L'Arme fatale ou Le Silence des agneaux.
Chronic'art.com
Usée jusqu'à la corde, l'intrigue de ce "polar-thriller-psychanalytique" est à l'image de son acteur principal, un Michael Douglas fraîchement lifté qui tente en vain de maintenir les apparences.
Ciné Live
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Fluctuat.net
Ce type de cinéma est condamné, comme Sisyphe poussant son rocher, à se répéter sans fin (...) C'est pourquoi, au delà du vague plaisir proposé, aussi vite pris qu'oublié, il faut savoir lui dire non.
L'Obs
Les méchants sont des concentrés d'ordures, et le manque d'originalité se retrouve ainsi compensé par la conviction de l'entreprise.
Le Monde
Lourdement réalisé, avec un Michael Douglas qui atteint des sommets de cabotinage, le film de Gary Fleder se révèle aussi un plaidoyer antipathique en faveur de la légitime défense. "Je suis comme toi", affirme Michael Douglas à l'un des ravisseurs de sa fille, avant de l'enterrer vivant. Ce psychiatre a un besoin urgent de se faire soigner.
Le Parisien
Réalisateur du très mauvais Collectionneur avec Morgan Freeman, Gary Fleder fait mieux avec ce thriller à l'esthétisme quelque peu outrancier.
Les Inrockuptibles
(...) il ne faut pas compter sur la mise en scène (bourrée d'effets gratuits, indigestes à souhait) pour sauver la fa(r)ce, mais plutôt sur une floppée de bons sentiments dont Michael Douglas se fait le parfait serviteur.
MCinéma.com
(...) le sentiment général reste l'exaspération : ce thriller des familles, débile et ennuyeux, n'est qu'un détestable produit destiné à un public texan assoiffé de vengeance. N'en parlons plus !
Première
Au milieu de toutes ces péripéties indigestes, le film s'enlise, et les différentes trames se superposent inutilement sans jamais se marier comme l'exige ce type de structure scénaristique.
Studio Magazine
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Urbuz
Rien de bien original dans ce thriller fade et sans surprises, où la représentation de la psychiatrie prête à sourire. Ce qui, en plus, le rend peu amène, outre son apologie de l'auto justice désormais traditionnelle dans le cinéma US, c'est sa propension à passer en force : l'éloge des vertus familiales (celle de Douglas est évidemment parfaite : femme superbe, jolie petite fille éveillée, niveau de vie aisé) fonctionne comme un bulldozer.
Zurban
Du déjà-vu, revu et archivu.