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ffred
Je ne savais pas qu’Abel Ferrara tournait encore. Mais bon, toujours en attente d’une bonne surprise, j’ai tenté. Autant dans les années 90 ça se tenait encore, autant là, on est même plus au niveau expérimental, c’est du n’importe quoi. Personnellement, je n’ai rien compris à ce film-ci. Il y a une pandémie, des soldats américains à Rome, des russes, la chute du Vatican, etc...Des personnages et des scènes sans queue ni tête. L’image est sombre, on ne voit pratiquement rien. Cela a l’avantage d’être court, un monologue de Ethan Hawk au début du film, et un autre à la fin, pour vanter les mérites du réalisateur et du film, en vain. Il jour un double rôle, et on se demande bien ce qu’il est venu faire là, ou alors ça sent vraiment la fin de carrière. Du coup, le film lui-même dure à peine une heure. Bref, aucun intérêt.
L'histoire est chaotique, et repose sur un fond mystique mal dégrossi dont la narration est lente et soporifique. Tout est sombre et flou, aussi bien les images, la bande son ou le montage. Je pense qu'il faudrait diffuser ce film dans les écoles de réalisation, pour montrer tout ce qui est éviter dans l'écriture et la réalisation d'un film.
Un attentat sur Rome et une enquête... et bien c est suffisamment obscur tant dans l ambiance que dans le déroulement du film pour être dérouté. Au final ce n est pas vraiment un film d action tellement le rythme est lent et typée caméra au poings. Pas vraiment d intérêt quand on finit le film, fatiguant par des dialogues également très plats ... bof !
On s’ennuie du début à j’imagine la fin ( car j’ai coupé avant tellement je m’endormais) Il y a plus de suspense et d’action dans le commissaire magelan.
FaRem
"Zeros and Ones" a la particularité de s'ouvrir par un message d'Ethan Hawke qui s'adresse à nous face caméra pour notamment exprimer son admiration pour Abel Ferrera. Il décrit également ce film comme une réponse du réalisateur à l'année folle qui l'on vient de vivre. Dans un style sombre, le réalisateur nous propose une histoire tout aussi obscure sur un militaire et son frère, le tout dans une ambiance de fin du monde en raison du confinement, mais aussi d'un attentat. Peu importe l'histoire finalement, car on a l'impression de voir un film incomplet. Ethan Hawke, encore lui, parle d'un script qu'il n'a pas compris, mais qui l'a fasciné seulement, je ne peux pas en dire autant. Pour le coup, on comprend plus ou moins ce qui se passe même si c'est brouillon, mais c'est vraiment inintéressant. Tout ce qu'il y a autour n'est pas suffisamment développé pour nous impliquer dans cette histoire. Je m'attendais à pire, mais "Zeros and Ones" reste quand même un film chaotique et mal foutu qui n'est pas digne des personnes impliquées.
Ce n'est pas foncièrement nul. On dirait juste que le film est incomplet. Qu'on ne comprenne rien à l'histoire qui se joue ici n'est pas forcément une mauvaise chose, l'auteur pouvant très bien se servir de ce foutoir pour nourrir sa vision. Mais nous parachuter aux côtés d'un personnage dont on ne connaît presque rien, dont rien n'est fait pour susciter notre intérêt envers lui, qui n'est en somme qu'un parfait inconnu de bout en bout : voilà l'erreur fondamentale du film. On se fout complètement de lui, et donc on se désintéresse de son histoire. C'est bien dommage, car la mise en scène et l'atmosphère globale du long-métrage s'avèrent plutôt réussis.
Lent lent et lent.
Ce film n'a ni queue ni tête.
Au bout de 30 minutes rien ne donne envie d'aller plus loin.
Ce film n'a ni queue ni tête.
Au bout de 30 minutes rien ne donne envie d'aller plus loin.
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