Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il est des cinéastes qui naissent tout armés, Almodovar n'était pas de ceux-là. Comparé aux oeuvres de la maturité, Matador paraît parfois un peu gauche, parfois entraîné par le désir d'épater le bourgeois. (...) En contrepartie (...), Pedro Almodovar offre son talent burlesque (...)et ses inspirations fulgurantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Zurban
par Addison De Witt
La mise en scène est peut-être mois raffinée que dans ses oeuvres plus récentes, mais elle possède une énergie libératrice digne des deux personnalités à qui il rend ici hommage : Bunuel et Mishima.
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
C'est toujours un pari risqué que de revenir sur des oeuvres de jeunesse. Ici, il s'agirait plutôt de mesurer le chemin parcouru. Matador exhibe un parti pris de provocation caricaturale, en vogue dans une Espagne post-franquiste qui goûtait voracement à la liberté d'expression. Revoir Matador, c'est assister à la mise à mort d'une vieille Espagne qui s'interdisait de parler d'Eros mais avait fait de Thanatos une règle de vie. ¡Viva la muerte !
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Il est des cinéastes qui naissent tout armés, Almodovar n'était pas de ceux-là. Comparé aux oeuvres de la maturité, Matador paraît parfois un peu gauche, parfois entraîné par le désir d'épater le bourgeois. (...) En contrepartie (...), Pedro Almodovar offre son talent burlesque (...)et ses inspirations fulgurantes.
Zurban
La mise en scène est peut-être mois raffinée que dans ses oeuvres plus récentes, mais elle possède une énergie libératrice digne des deux personnalités à qui il rend ici hommage : Bunuel et Mishima.
aVoir-aLire.com
C'est toujours un pari risqué que de revenir sur des oeuvres de jeunesse. Ici, il s'agirait plutôt de mesurer le chemin parcouru. Matador exhibe un parti pris de provocation caricaturale, en vogue dans une Espagne post-franquiste qui goûtait voracement à la liberté d'expression. Revoir Matador, c'est assister à la mise à mort d'une vieille Espagne qui s'interdisait de parler d'Eros mais avait fait de Thanatos une règle de vie. ¡Viva la muerte !