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Eselce
1 402 abonnés
4 238 critiques
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5,0
Publiée le 1 janvier 2008
Tout simplement génial. Une pure merveille. Du début à la fin. Un grand merci pour le respect entre les combattants dans les dernières minutes. Le salut et le petit coup de gant ;)
Un fabuleux récit sur fond de boxe et de pauvreté mené d'une main de maître par un Russel Crowe au top de sa forme. Un film d'une rare intensité à la puissance désarmante qui n'est pas s'en rappeler le premier Rocky par moment.
un drame trés bien interpreter par russel crowe ou on peut decouvir tout au long du film une belle histoire familial qui est un combat contre la misére.
Braddock contre Rocky K.O technique sur 15 rounds et 2 heures .La différence entre un film humain et realiste et une histoire de conte de fée .On se casse les phalanges et les mains quand on boxe , on peut avoir différentes fractures dont celle des cotes apres ce metier ou les bouchers ne sont pas sur le ring demande un grand courage ,sang froid et intelligence ce qu´on trouve chez Braddock .Ce film est une grande emotion et si il a 5 etoiles c´est pour montrer sa supérorité face a tout les rocky .A voir sans moderation et sortez votre mouchoir sauf si vous etes un max Bear.Ruxel Crowe montre un Braddock subtil ,devoué a sa famille ,d´une grande honneteté ,plein d´´humour je n´ai pas connu Braddock mais c´est surement une eloge au personnage
Ron Howard (Da Vinci Code - 2006) retrace ici la vie d’un célèbre boxeur Américain des années 30, partit de rien, pauvre et inconnu, il a brillement accédé à la gloire du jour au lendemain en devenant le champion du monde lors d’un match face au boxeur Max Baer. Un combat qui marquera à jamais la légende (battu au bout de 15 rounds), un homme qui connu la misère auprès de sa famille et qui fut obligé de reprendre les gants de boxe pour parvenir à nourrir sa famille. Jim Braddock a connu des déboires avant la gloire, De l'ombre à la lumière (2005) est sa vie, son œuvre, Howard lui rend un bien bel hommage, grâce à une mise en scène sobre, des séquences de matchs impressionnantes et prenantes. Avec des acteurs poignants, tels que le couple Russell Crowe & Renée Zellweger, au côté de Paul Giamatti, ce film poignant nous montre la persévérance d’un homme hors du commun, sidérant et capable de tout pour sauver sa famille.
De l'ombre à la lumière (Cinderella Man en version originale Il retrace l'histoire de James J. Braddock, champion mondial poids lourd de boxe professionnelle de 1935 à 1937. La description de Max Baer faite dans le film n'est pas du tout en accord avec le personnage réel L'actrice Rosemarie DeWitt qui joue la voisine de Jimmy Braddock dans le film n'est autre qu'en réalité la petite-fille de James J. Braddock Pendant plusieurs mois Russel Crowe s'est entraîné de façon très intensive allant jusqu'à se démettre une épaule une semaine avant le début du tournage repoussant ce dernier. Le programme d'entraînement se composait de course à pied, natation cyclisme et sessions de boxe. Angelo Dundee, conseiller technique sur le film et ancien entraîneur du champion Mohamed Ali, a dit de Russel Crowe qu'il ne voulait pas ressembler à un boxeur mais en devenir un.
Périlleux pari que celui de revoir Rocky à la façon entre-deux-guerres. Pari selon moi perdu, tant l’histoire est cousue de fil blanc. Le semblant de suspense, maintenu sous perfusion grâce aux diverses fausses pistes, fait peine. Or, pour un film sur le sport, le suspense reste l’élément clé. Se rajoutent à cela les bons sentiments, mâtinés de religieux, dont on se serait aisément passé. Même le formidable atout que constitue cette période si particulière n’est pas exploité pleinement. Quelques airs de swing en début de film, et basta.
L'histoire vraie de James Braddock qui a su incarner le courage et la perséverance durant la grande dépression, un film plein d'émotion et Russell Crowe au top.
Un film de boxe comme les autres : Un ancien grand boxeur décide de reprendre la compétition malgré les obstacles.... Ici, c'est l'époque qui apporte un peu d'originalité au film. Je ne m'attendais pas à ce que cela fonctionne aussi bien mais le film est vraiment prenant de la première à la 144ème minute quand même! C'est ce qui me faisait un peu peur et qui m'a si longtemps freiné avant d'enfin le regarder. J'avais oublié que c'était Ron Howard derrière la caméra et m'en rappeler seulement au générique et là : "tout s'explique!" Pas de gros risques avec ce génial metteur en scène, impossible de se taper une daube (pourvu que ça dure!) Malgré une histoire qu'on devine rapidement, la mise en scène et surtout l'interprétation font que l'on s'étonne de suivre les étapes du retour sur le ring de Braddock que tout le monde croyait détruit par la grande crise de 29... Excellent Cameron Crowe (toujours impeccable dans ce genre de rôle), il réussit à rendre hommage à ce légendaire boxeur ( qui représenta toute une catégorie de la classe populaire durement touchée par la crise mais qui l'aura vaincu par son courage!) sans trop en faire ce qui n'est jamais évident avec des histoires larmoyantes! Un très beau film, une très belle histoire qui vous donnera probablement la petite larme à l'oeil et le petit frisson ....
Une petite histoire qui nos montre une fois de plus (de trop?) où le simple fait d'être gentil suffit à le rendre crédible, c'est mièvre et sans sensibilité.