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Votre avis sur Tempura ?
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Drôle, original, frais, Tempura est un film rare qui nous permet de passer un moment comme il y en a peu au cinema : dans la tête de son personnage dont les affres sont ceux de vivre en société.
film beaucoup trop long, d'une lenteur infinie...... d'un vide sidéral !!!
il ne se passe rien, rien n'est expliqué (pourquoi aussi seule?), tout est lent, lent, lent, il ne se passe rien..
c'est un film sur la solitude (choisie, voulue ? impossible de savoir) et sur la voix intérieure de cette femme...
j'ai DETESTE !
il ne se passe rien, rien n'est expliqué (pourquoi aussi seule?), tout est lent, lent, lent, il ne se passe rien..
c'est un film sur la solitude (choisie, voulue ? impossible de savoir) et sur la voix intérieure de cette femme...
j'ai DETESTE !
Mitsuko est un personnage détestable, j ai détesté sa voix. Elle se complique la vie d une façon absolument pas crédible. Trop de situations sont empruntés, trop de situations sont interminables. Quel calvaire !
Tempura est une comédie au potentiel imaginatif aussi exalté que celui de sa protagoniste, qui échappe au formatage, aux stéréotypes. La réalisatrice Akiko Ohku donne ici autant d’importance à l’introspection qu’à l’expression, incitant ses personnages à résoudre leurs mutines équations intérieures pour s’ouvrir aux autres, se rencontrer… Un film touchant, sans cynisme, vivifiant, pour reprendre goût à la vie après avoir été trop longtemps enfermés !
Film très lent et ennuyant. Ca se passe rien et le personnage principal est dans une hysterie incompréhensible à cause du célibat ? C’est la première fois que nous avons quitté la salle au milieu de séance!
Bon on est allé manger un tempura après…
Bon on est allé manger un tempura après…
Début étourdissant. Une tourmente. La caméra est nerveuse comme pour nous perdre avec l'héroïne . Qui est qui ? Qui parle à qui ? Ou va t'on ? Puis on prend ses marques et on s'adapte. On apprivoise ce côté écervelé, cette espèce de fuite en-avant. Ça parle du célibat dans une société qui a tendance à juger celui ou celle qui n'est pas vraiment dans la norme. Il faut du courage dans notre monde pour assumer sa solitude : le célibat n'est pas un défaut c'est un choix ou une conséquence. Culture japonaise ou européenne, si loin ou si proche de nous ... la solitude omniprésente , envahissante, se sentir seule partout malgré la foule, malgré les autres ... avoir peur, quel traumatisme, quelle trahison, ont pu la pousser à ce tourbillon de vie faite de défis pour continuer encore et encore, la conduire à cette folie poétique, à se sauver ou s' oublier dans cet imaginaire débordant, jusqu'à s'inventer un autre soi (d'ailleurs un regret : pourquoi donner un visage, un corps à la "voix off" ). On pourrait parler de maladie psy mais c'est sa manière de sortir d'une réalité insurmontable. Et pourtant il y a tellement de légèreté : l'amour qui se cache dans des mets goûteux, une spontanéité d'un regard, tant d'espoir. Plus le film avance plus on se glisse dans sa vie avec complicité. Une bande son parfaite. J'ai adoré la manière de filmer.
Beaucoup d'émotion sans larmoiement.
Beaucoup de gaité aussi, toute en délicatesse.
Beaucoup d'émotion sans larmoiement.
Beaucoup de gaité aussi, toute en délicatesse.
Mitsuko vit paisiblement, seule, terriblement seule. Elle va faire la rencontre, un soir, par hasard de Tada, jeune commercial, qu’elle aperçoit de temps en temps au travail. Ils vont nouer une relation timide petit à petit qui va tantôt leur donner envie d’aller plus loin, tantôt les effrayer. C’est attendrissant.
assez mauvais en fait. On s'ennuie!!! Pas vraiment d'histoire...ne gaspiller pas votre temps. il y a mieux....
Une comédie romantique rafraîchissante et agréable portée par une actrice incroyable. Certe c est un peu long. Mais on ne peut que prendre plaisir devant le jeu de l actrice. Plein d idée dans ce scénario. Plein d idée dans le jeu de la caméra. Mais il faut reconnaître que c est un peu long et un peu ennuyant. Mais cette actrice est vraiment extraordinaire.
Cinememories
Après avoir triomphé sur les marches du Tokyo International Film Festival, avec son « Tremble All You Want », La réalisatrice Akiko Ohku revient avec une nouvelle adaptation d’un roman de Risa Wataya. Elle sert ainsi une comédie romantique, où son héroïne porte la charge de son œuvre et alimente un récit de solitude, ou presque. Par la force intérieure et la conscience des personnages, qui peinent à épouser leurs émotions, le spectateur se trouvera entre deux bouchées d’une même tempura. Une part sera croustillante, tandis que l’autre n’aura ni le goût, ni la texture pour le fameux pas en avant que l‘on attend.
Mitstuko (Non) règne dans sa sobre demeure, où elle s’adonne autant que possible à des activités de célibataires, mais ce sera surtout sa personnalité juvénile qui se démarquera du reste. Le quotidien est sans doute trop sombre et trop lourd à supporter pour qu’on puisse pleinement s’échapper. Elle y parvient toutefois, grâce à A, sorte de seconde conscience morale, qui a réponse à tous ses défauts d’interaction. En effet, s’ouvrir à autrui et notamment son idylle secrète et incertaine, Tada (Kento Hayashi), ne lui offre pas la sécurité escomptée, car elle s’y plaît derrière sa cuisine maison et ses souvenirs d’enfance. Nous avons là une femme qui avance vers l’inconnu, mais dont la routine pourrait être rompue par ce Tada, jeune habitant de son quartier et qui semble tout aussi réticent qu’elle à l’accepter dans sa vie.
Un magnifique jeu de séduction est gâché par le manque de tact ou un simple frein que l’on se met, en doutant. A devient alors ce confident, tel un ami imaginaire et en même temps la raison même d’une Mitstuko fuyante. Mais ensemble, ils explorent les limites de son confort, à commencer par un voyage à bord d’un avion, où les motifs de sa folie heureuse peuvent se manifester, signe qu’elle est apte à créer du décalage sur son environnement. Pourtant, l’objectif de toute cette intrigue est partagé avec sa collègue de bureau, son exacte opposée lorsqu’il s’agit de laisser les émotions s’exprimer. Mitstuko se contente essentiellement de l’intérioriser et retourne dans sa tête les mêmes questions, si on ne lui demande pas de rentrer dans le rang. La mise en scène ne cesse d’appuyer cette notion évasive de l’amour, nécessaire mais accessible uniquement par une forme d’émancipation.
De cette manière, l’héroïne devient aussi attachante que charmante dans ses efforts et sa quête d’ouverture. Il faudra sans doute passer par un instant hors du temps et en dehors du cadre froid, où les habitants se font écraser par l’immensité de la ville de Tokyo. Mais c’est dans la grâce d’une vive rencontre ou d’un échange passionné pour une « Tempura » (Watashi wo kuitomete), qu’on se surprend à s’en lécher les babines et à accompagner la Mitstuko amoureuse, dont la voix ne fait plus qu’un avec ses actes. La caméra pourra alors trouver de la stabilité, tout comme la vie trouvera un sens à son existence.
Mitstuko (Non) règne dans sa sobre demeure, où elle s’adonne autant que possible à des activités de célibataires, mais ce sera surtout sa personnalité juvénile qui se démarquera du reste. Le quotidien est sans doute trop sombre et trop lourd à supporter pour qu’on puisse pleinement s’échapper. Elle y parvient toutefois, grâce à A, sorte de seconde conscience morale, qui a réponse à tous ses défauts d’interaction. En effet, s’ouvrir à autrui et notamment son idylle secrète et incertaine, Tada (Kento Hayashi), ne lui offre pas la sécurité escomptée, car elle s’y plaît derrière sa cuisine maison et ses souvenirs d’enfance. Nous avons là une femme qui avance vers l’inconnu, mais dont la routine pourrait être rompue par ce Tada, jeune habitant de son quartier et qui semble tout aussi réticent qu’elle à l’accepter dans sa vie.
Un magnifique jeu de séduction est gâché par le manque de tact ou un simple frein que l’on se met, en doutant. A devient alors ce confident, tel un ami imaginaire et en même temps la raison même d’une Mitstuko fuyante. Mais ensemble, ils explorent les limites de son confort, à commencer par un voyage à bord d’un avion, où les motifs de sa folie heureuse peuvent se manifester, signe qu’elle est apte à créer du décalage sur son environnement. Pourtant, l’objectif de toute cette intrigue est partagé avec sa collègue de bureau, son exacte opposée lorsqu’il s’agit de laisser les émotions s’exprimer. Mitstuko se contente essentiellement de l’intérioriser et retourne dans sa tête les mêmes questions, si on ne lui demande pas de rentrer dans le rang. La mise en scène ne cesse d’appuyer cette notion évasive de l’amour, nécessaire mais accessible uniquement par une forme d’émancipation.
De cette manière, l’héroïne devient aussi attachante que charmante dans ses efforts et sa quête d’ouverture. Il faudra sans doute passer par un instant hors du temps et en dehors du cadre froid, où les habitants se font écraser par l’immensité de la ville de Tokyo. Mais c’est dans la grâce d’une vive rencontre ou d’un échange passionné pour une « Tempura » (Watashi wo kuitomete), qu’on se surprend à s’en lécher les babines et à accompagner la Mitstuko amoureuse, dont la voix ne fait plus qu’un avec ses actes. La caméra pourra alors trouver de la stabilité, tout comme la vie trouvera un sens à son existence.
Un film brillant et extrêmement déroutant.
Débutant sur un ton très pop et solaire, Tempura nous emporte dans un univers dans lequel fantasme et réalité s'entremêlent avec beaucoup d'enthousiasme. Notamment grâce à son actrice principale absolument fabuleuse dans ce rôle de trentenaire célibataire vivant en compagnie de sa voix intérieure.
Mais au fil de l'histoire, le ton change et le personnage évolue, laissant apparaitre ses faiblesses et les démons qui la rongent.
En découle une fable, tantôt joyeuse, tantôt sombre, dépeignant les joie et les travers de la société japonaise moderne.
Un excellent film et une très bonne surprise.
Débutant sur un ton très pop et solaire, Tempura nous emporte dans un univers dans lequel fantasme et réalité s'entremêlent avec beaucoup d'enthousiasme. Notamment grâce à son actrice principale absolument fabuleuse dans ce rôle de trentenaire célibataire vivant en compagnie de sa voix intérieure.
Mais au fil de l'histoire, le ton change et le personnage évolue, laissant apparaitre ses faiblesses et les démons qui la rongent.
En découle une fable, tantôt joyeuse, tantôt sombre, dépeignant les joie et les travers de la société japonaise moderne.
Un excellent film et une très bonne surprise.
Un film magnifiquement interprété, d’une créativité merveilleuse, un grand moment de cinéma japonais. Je ne regrette qu’une chose c’est de l’avoir vu si tard.
Pour apprécier ce film je pense qu'il faut avoir connu la situation de jeune femme. C'est mon cas , quelqu'un n'ayant pas connu la solitude ne peut pas comprendre ce genre de prison mentale se formant petit à petit et nous coupant du reste du monde. Reste du monde qu'il devient de plus en plus dur d'affronter du fait d'une anxiété dévastatrice qui nous pousse à ne pas sortir de ce confort de solitude qui est aussi la damnation portée car quoi qu'on en dise quoi qu'on veuille faire croire. L'être Humain est un animal sociale et l'épanouissement personnel passe par la communauté.
Le film est touchant décalé attachant je me suis rappelé pas mal de moments à travers cette célibataire de 30 ans qui illustre bien les maux des grandes villes avec beaucoup de monde au kilomètre mais une sensation de vide et de solitude dans ce monde devenu si particulier où on est proche des gens à L'autre bout du monde mais si loin des gens proches physiquement
. J'ai adoré la fin du film plein d'optimisme !
Et à ceux qui liront mon message et qui sont actuellement dans la solitude je désespérer pas ouvrez vous aux autres. Si j'ai pu trouver mon âme sœur et sortir de ça vous le pourrez aussi. Bon film
Le film est touchant décalé attachant je me suis rappelé pas mal de moments à travers cette célibataire de 30 ans qui illustre bien les maux des grandes villes avec beaucoup de monde au kilomètre mais une sensation de vide et de solitude dans ce monde devenu si particulier où on est proche des gens à L'autre bout du monde mais si loin des gens proches physiquement
. J'ai adoré la fin du film plein d'optimisme !
Et à ceux qui liront mon message et qui sont actuellement dans la solitude je désespérer pas ouvrez vous aux autres. Si j'ai pu trouver mon âme sœur et sortir de ça vous le pourrez aussi. Bon film
Tempura dépeint la vie et les pensées d'une femme célibataire au Japon avec une intelligence et une justesse folle. Le film fourmille de bonnes idées et on ne s'ennuie jamais. On ressent vraiment que l'on n'a pas affaire à un réalisateur qui veut faire le bon élève féministe mais à une réalisatrice qui vit son sujet.
J'ai eu parfois du mal avec des types de jeu d'acteur; les personnages qui crient pour rien et qui joue une forme de débilité qui m'échappe (probablement culturel). Néanmoins, je suis vraiment ravi d'avoir pu voir ce film et suivre le personnage de Mitsuko.
J'ai eu parfois du mal avec des types de jeu d'acteur; les personnages qui crient pour rien et qui joue une forme de débilité qui m'échappe (probablement culturel). Néanmoins, je suis vraiment ravi d'avoir pu voir ce film et suivre le personnage de Mitsuko.
Oui mais non... pourquoi s'infliger 2.h13 de névroses ! L'esprit du Japon nous retient de partir de la salle, l'esprit des jeunes japonais nous atterre _
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