Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Superbement écrit, mis en scène et interprété, The Lost King emmène de bout en bout dans un récit enlevé, tendre, drôle et corrosif. Passionnant.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Stephen Frears revient sur l’histoire vraie de Philippa Langley, qui découvrit la dépouille de Richard III à Leicester en 2012 et, à travers elle, donne à voir de manière sensible le processus intuitif à l’œuvre. Un film hautement réjouissant !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Sally Hawkins donne tout pour "The Lost King" : la sincère candeur, l’énergie vidée, la tendresse persuadée. Elle mène avec brio les lignes que les scénaristes lui font partager avec tous ses interlocuteurs, et les situations que Stephen Frears balaye d’un arc-en-ciel de caractères.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sally Hawkins sert idéalement cette entreprise de réhabilitation, avec sa performance sensible dans un rôle qui rappelle celui qu’elle tenait dans La Forme de l’eau de Guillermo del Toro, celui d’une jeune femme muette éprise d’une étrange créature aquatique retenue dans le laboratoire où elle travaille.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Modeste en apparence, The Lost King embrasse merveilleusement le sujet insolite et touchant de cette femme dont la passion soudaine pour Richard III change la vie. Une poésie à l'anglaise pour raconter une histoire profondément anglaise elle aussi, mais pas que, avec un casting parfait qui nous bouleverse sans crier gare. Un film qui porte un propos profond et passionnant sur l'Histoire, l'art, et leur impact sur le commun des mortels.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Drôle et dramatique, le film est typique de Frears, génie du sucré-salé (« My Beautiful Laundrette », « The Queen »). Les académiciens et les universitaires ont détesté le film. Nous, on aime beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) Sally Hawkins apporte sa fantaisie décalée, sa présence spéciale à ce récit vrai extraordinaire, que Stephen Frears met en scène comme un conte. Philippa Langley ne se contente pas de chercher le roi disparu en archéologue détective, elle parle avec son fantôme.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Un film habile et primesautier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers l'histoire de la femme qui a redécouvert le corps de Richard III, Stephen Frears signe un hommage touchant et élégant à la Grande-Bretagne et à son plus grand roi : William Shakespeare.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Stephen Frears prend par surprise en utilisant cette histoire pour traiter du sens de la vie, aidée par une magnifique Sally Hawkins.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Stephen Frears délivre avec The Lost King une nouvelle histoire touchante et étonnamment universelle, malgré son pitch.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par La Rédaction
Avec son peps et son élégance habituels, Hawkins porte à bras-le-corps cette charge sarcastique des plus pertinentes contre le patriarcat et le conformisme.
CNews
par La rédaction
Certes, la mise en scène reste académique et on regrette quelques longueurs, mais Stephen Frears parvient à nous toucher avec le portrait de cette femme ordinaire qui marqua l’histoire avec sa découverte extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
La Croix
par Céline Rouden
Traité sous le registre de la comédie, avec en prime le fantôme de Richard III se promenant dans les rues d’Édimbourg, le film n’a rien de sentencieux, bien au contraire. Il possède toute la légèreté et l’humour distancé qui font le charme des comédies britanniques réussies.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est au final un sentiment d’amertume qui demeure à la vision de ce nouveau film du vétéran britannique Stephen Frears (The Queen). Pas un opus majeur. Mais qu’on redécouvrira sans doute avec plaisir plus tard, à l’occasion d’une exhumation filmographique providentielle.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les apparitions du sémillant roi sur son cheval apportent une touche d’humour bienvenue dans ce sympathique combat digne de David contre Goliath.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
En adaptant la véritable histoire de Philippa Langley, le grand réalisateur britannique Stephen Frears aboutit à une fiction sympathique, portée par la belle interprétation de Sally Hawkins, plusieurs fois nommée aux Oscars. Mais ce morceau d’histoire très anglaise ne parlera pas beaucoup aux spectateurs français…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ode aux outsiders, « The Lost King » est d’une facture classique, légère, mais on retrouve chez Stephen Frears une maîtrise du rythme et un art du récit qui ne sont pas donnés à tous les cinéastes. Une délicatesse aussi.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Marie Sauvion
Avec beaucoup d’humour, The Lost King dresse le portrait d’une héroïne modeste, handicapée par un syndrome de fatigue chronique mais portée par une intuition presque magique. Si les scènes où elle discute « pour de vrai » avec le défunt objet de sa passion semblent too much, le récit de ses recherches se savoure avec le sourire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le film est attachant, la mise en scène de Stephen Frears manque peut-être du panache qu’on lui connaît.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
De facture classique voire conventionnelle, The Lost King s’appuie sur un scénario habile coécrit par Steve Coogan, qui joue l’ex-mari de la protagoniste. Si la première partie – la tentative de Langley de réhabiliter le roi maudit en rejoignant un groupe d’excentriques – est laborieuse, la deuxième, centrée sur la recherche des restes, captive davantage.
Le Monde
par J. Ma.
Sally Hawkins rappelle, à cet égard, le personnage qu’elle interprétait dans La Forme de l’eau de Guillermo del Toro, où elle filait le parfait amour avec un homme-poisson de la plus belle eau. Une version tout de même un peu plus stylée que celle de Frears, qui la fait dialoguer avec le fantôme empesé de Richard III dans les embouteillages écossais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Le cinéaste nous perd avec une fable patrimoniale, inspirée d’une histoire vraie, tout en sentimentalisme et simplifications.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Si Sally Hawkins excelle dans ce rôle, la mise en scène de Stephen Frears se révèle trop paresseuse.
Première
par Thierry Chèze
Mise en scène fantomatique, flirtant avec le (mauvais) téléfilm et virant parfois au grotesque involontaire (les apparitions de Richard III à Lengley), il manque une envie, un souffle pour être à la hauteur de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Il y a dans cette fable contemporaine quelque chose de si circonscrit au rapport que les Britanniques entretiennent avec leur Couronne qu’il est assez difficile de s’y investir émotionnellement : désolé, mais la “démocratisation de la royauté”, ça ne nous fait rien ressentir, à nous – à part peut-être à Stéphane Bern.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Franceinfo Culture
Superbement écrit, mis en scène et interprété, The Lost King emmène de bout en bout dans un récit enlevé, tendre, drôle et corrosif. Passionnant.
Bande à part
Stephen Frears revient sur l’histoire vraie de Philippa Langley, qui découvrit la dépouille de Richard III à Leicester en 2012 et, à travers elle, donne à voir de manière sensible le processus intuitif à l’œuvre. Un film hautement réjouissant !
Culturopoing.com
Sally Hawkins donne tout pour "The Lost King" : la sincère candeur, l’énergie vidée, la tendresse persuadée. Elle mène avec brio les lignes que les scénaristes lui font partager avec tous ses interlocuteurs, et les situations que Stephen Frears balaye d’un arc-en-ciel de caractères.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sally Hawkins sert idéalement cette entreprise de réhabilitation, avec sa performance sensible dans un rôle qui rappelle celui qu’elle tenait dans La Forme de l’eau de Guillermo del Toro, celui d’une jeune femme muette éprise d’une étrange créature aquatique retenue dans le laboratoire où elle travaille.
Ecran Large
Modeste en apparence, The Lost King embrasse merveilleusement le sujet insolite et touchant de cette femme dont la passion soudaine pour Richard III change la vie. Une poésie à l'anglaise pour raconter une histoire profondément anglaise elle aussi, mais pas que, avec un casting parfait qui nous bouleverse sans crier gare. Un film qui porte un propos profond et passionnant sur l'Histoire, l'art, et leur impact sur le commun des mortels.
L'Obs
Drôle et dramatique, le film est typique de Frears, génie du sucré-salé (« My Beautiful Laundrette », « The Queen »). Les académiciens et les universitaires ont détesté le film. Nous, on aime beaucoup.
Le Dauphiné Libéré
(...) Sally Hawkins apporte sa fantaisie décalée, sa présence spéciale à ce récit vrai extraordinaire, que Stephen Frears met en scène comme un conte. Philippa Langley ne se contente pas de chercher le roi disparu en archéologue détective, elle parle avec son fantôme.
Le Figaro
Un film habile et primesautier.
Les Echos
A travers l'histoire de la femme qui a redécouvert le corps de Richard III, Stephen Frears signe un hommage touchant et élégant à la Grande-Bretagne et à son plus grand roi : William Shakespeare.
Les Fiches du Cinéma
Stephen Frears prend par surprise en utilisant cette histoire pour traiter du sens de la vie, aidée par une magnifique Sally Hawkins.
Rolling Stone
Stephen Frears délivre avec The Lost King une nouvelle histoire touchante et étonnamment universelle, malgré son pitch.
Voici
Avec son peps et son élégance habituels, Hawkins porte à bras-le-corps cette charge sarcastique des plus pertinentes contre le patriarcat et le conformisme.
CNews
Certes, la mise en scène reste académique et on regrette quelques longueurs, mais Stephen Frears parvient à nous toucher avec le portrait de cette femme ordinaire qui marqua l’histoire avec sa découverte extraordinaire.
La Croix
Traité sous le registre de la comédie, avec en prime le fantôme de Richard III se promenant dans les rues d’Édimbourg, le film n’a rien de sentencieux, bien au contraire. Il possède toute la légèreté et l’humour distancé qui font le charme des comédies britanniques réussies.
La Voix du Nord
C’est au final un sentiment d’amertume qui demeure à la vision de ce nouveau film du vétéran britannique Stephen Frears (The Queen). Pas un opus majeur. Mais qu’on redécouvrira sans doute avec plaisir plus tard, à l’occasion d’une exhumation filmographique providentielle.
Le Journal du Dimanche
Les apparitions du sémillant roi sur son cheval apportent une touche d’humour bienvenue dans ce sympathique combat digne de David contre Goliath.
Le Parisien
En adaptant la véritable histoire de Philippa Langley, le grand réalisateur britannique Stephen Frears aboutit à une fiction sympathique, portée par la belle interprétation de Sally Hawkins, plusieurs fois nommée aux Oscars. Mais ce morceau d’histoire très anglaise ne parlera pas beaucoup aux spectateurs français…
Sud Ouest
Ode aux outsiders, « The Lost King » est d’une facture classique, légère, mais on retrouve chez Stephen Frears une maîtrise du rythme et un art du récit qui ne sont pas donnés à tous les cinéastes. Une délicatesse aussi.
Télérama
Avec beaucoup d’humour, The Lost King dresse le portrait d’une héroïne modeste, handicapée par un syndrome de fatigue chronique mais portée par une intuition presque magique. Si les scènes où elle discute « pour de vrai » avec le défunt objet de sa passion semblent too much, le récit de ses recherches se savoure avec le sourire.
aVoir-aLire.com
Si le film est attachant, la mise en scène de Stephen Frears manque peut-être du panache qu’on lui connaît.
Cahiers du Cinéma
De facture classique voire conventionnelle, The Lost King s’appuie sur un scénario habile coécrit par Steve Coogan, qui joue l’ex-mari de la protagoniste. Si la première partie – la tentative de Langley de réhabiliter le roi maudit en rejoignant un groupe d’excentriques – est laborieuse, la deuxième, centrée sur la recherche des restes, captive davantage.
Le Monde
Sally Hawkins rappelle, à cet égard, le personnage qu’elle interprétait dans La Forme de l’eau de Guillermo del Toro, où elle filait le parfait amour avec un homme-poisson de la plus belle eau. Une version tout de même un peu plus stylée que celle de Frears, qui la fait dialoguer avec le fantôme empesé de Richard III dans les embouteillages écossais.
Libération
Le cinéaste nous perd avec une fable patrimoniale, inspirée d’une histoire vraie, tout en sentimentalisme et simplifications.
Ouest France
Si Sally Hawkins excelle dans ce rôle, la mise en scène de Stephen Frears se révèle trop paresseuse.
Première
Mise en scène fantomatique, flirtant avec le (mauvais) téléfilm et virant parfois au grotesque involontaire (les apparitions de Richard III à Lengley), il manque une envie, un souffle pour être à la hauteur de son sujet.
Les Inrockuptibles
Il y a dans cette fable contemporaine quelque chose de si circonscrit au rapport que les Britanniques entretiennent avec leur Couronne qu’il est assez difficile de s’y investir émotionnellement : désolé, mais la “démocratisation de la royauté”, ça ne nous fait rien ressentir, à nous – à part peut-être à Stéphane Bern.