Malgré une démarche sincère, Klapisch se laisse ici trop aller aux trop bons sentiments, et ne peut s'empêcher de céder à de nombreux clichés : injonction à rebondir, personnages ridicules (le kiné, la bonne copine, le cuisinier, le père), la petite aventure sentimentale inévitable, les arguments simplistes de l'hôteliere, l'histoire extrêmement prévisible.
On voudrait y croire mais ça ne prend pas.
On ne voit plus la fraîcheur des personnages des précédents films, mais des cases à cocher pour les interprètes.
Par conséquent, l'émotion prend la poudre d'escampette.
Dommage...