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    En corps
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    elbandito
    elbandito

    334 abonnés 954 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2022
    Une fois encore, le brillant Cédric Klapisch nous emporte dans une œuvre contemporaine en parfaite adéquation avec son époque en scrutant avec finesse la reconstruction d’une danseuse étoile blessée. Portée par la novice Marion Barbeau, ce film dégage un parfum de légèreté et une indicible sensation de bien-être qui nous accompagne après l’avoir vu. Cantonnés à des seconds rôles truculents, Pio Marmaï et François Civil apportent une belle touche d’humour alors que Muriel Robin est particulièrement touchante dans son rôle.
    Penda K
    Penda K

    61 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2022
    Cédric Klapisch nous offre une ouverture époustouflante dans son nouveau film, à l'instar du #Samouraï, de l'action avant toute chose. Je suis donc d'accord avec "En corps", là où se place le corps de danse, se centre la danseuse, où la fée Muriel Robin s'y connaît en joie, liberté et beauté. Rendez-vous ce #30mars au #cinéma pour que le corps exulte encore une fois, encore mille fois !
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    37 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2022
    “En corps”, un film qui a pour thème principalement la danse. Si la première partie sait montrer de l'intérêt, grâce à une introduction de 15 minutes unique, la deuxième présente plus de longueurs. Un casting qui rayonne pour ce nouveau long-métrage de Cédric Klapisch qui on sent à plaisir à filmer les corps en mouvement, un prolongement de la propre histoire de chaque danseur, d’un état émotionnel, d’un art qui nous parle tout de suite ou qui ne nous parle pas du tout, c’est à double tranchant. Cependant, je n’ai été que partiellement transporté par “En Corps”, très ancré dans la réalité, pas assez poétique. Marion Barbeau dans le rôle de Élise est convaincante, surtout dans les moments où elle danse, plus timide en revanche sur ses talents de comédienne. Le personnage de Yann (François Civil) est pataud, c’est l'énergie du couple Loïc (Pio Marmaï)/Sabrina (Souheila Yacoub), ainsi que la vision et le personnage de Josiane (Muriel Robin) qui m’ont le plus plu. Un film sur la recherche du soi, sur la résilience qui fait toujours plaisir à voir mais malheureusement ne révolutionne pas le genre malgré les émotions positives qui en ressortent.
    Dylan Deberge
    Dylan Deberge

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2022
    Un film un brin lunaire et décevant... Le jeu d'acteur est étonnant bas et les dialogues très pauvres. Déçu !
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    145 abonnés 2 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2022
    "En corps", film franco-belge coécrit et réalisé par Cédric Klapisch, sorti en 2022.
    Avec Marion Barbeau, Denis Podalydès, Muriel Robin, Pio Marmaï, François Civil, Olivier Broche et Zinedine Soualem.
    Un premier rôle pour la danseuse du ballet de l'Opéra de Paris Marion Barbeau qui fait une belle prestation d'actrice.
    Un bon film, bien réalisé, avec des belles chorégraphies,
    garnierix
    garnierix

    223 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2022
    C'est dommage que le synopsis du film raconte tout le film (les tenants et aboutissants), parce qu'il n'y a plus de surprise. Mais c'est vrai qu'on ne va pas le voir pour l’histoire. L’histoire est finalement banale, même si le grain de sable dans la carrière de la danseuse (l’entorse) stoppe net sa carrière dans la danse classique, rêvée depuis ses six ans (on ne cesse aujourd’hui de prôner les bienfaits sociétaux du changement et le film n’est pas en reste). Quant aux à-côtés de l’histoire, ils sont également banals, encombrant plutôt le film de longueurs (les amours à droite et à gauche) —sauf quand on évoque la vanité et la limitation de la danse classique (comparée notamment à celle des super-héros, inhumains) —ainsi que la vanité et la limitation de la médecine qui annonçait la fin de carrière de la danseuse (l’autre grain de sable et le pire). On va voir ce film pour les magnifiques séquences de ballets (classiques comme contemporains). On va le voir pour l'émotion qu’elles procurent (à ceux qui sont de chair et d'os évidemment), que ce soit la danse ou la musique —les yeux et les oreilles. Mais l'émotion, qui est quand même le maître-mot du film, ne vient pas uniquement de ça ou de la métamorphose réussie de cette danseuse (sa carrière se poursuit dans la danse contemporaine avec sa fragilité de non-super-héros). L’émotion vient aussi des seconds rôles du film. C’est d’eux que viennent des perles comme "ça te fait du bien d'en chier" ou "faut pas laisser rouiller les voitures de collection au garage". Deux seconds rôles en particulier : Denis Podalydès le père, froid ou juste imbibé de culture froide ; et Murielle Robin, une certaine Josiane, dont les réparties font toujours rire mais pas que. Les deux, sans jamais jouer ensemble, se complémentent et excellent sur un sujet qui finalement n'a rien à voir avec la danse —ou si ? Il s'agit de la fameuse expression "je t'aime" : elle envahit le cinéma et les séries américaines, mais elle écorche la langue de tant de gens dans la vraie vie —comme la danse contemporaine écorche les canons de la danse classique ? A.G.
    GéDéon
    GéDéon

    79 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2022
    Comme à son habitude, Cédric Klapisch signe un film choral s’appuyant cette fois-ci sur l’univers de la danse. Lorsqu’une danseuse classique doit mettre sa carrière entre parenthèse pour reposer son corps meurtri (Marion Barbeau, également première danseuse de l’Opéra de Paris), le temps est venu de se ressourcer. Dans ce long-métrage, réalisé en 2022, le cinéaste prouve sa maitrise de la mise en scène, notamment lors des séquences de ballet totalement hypnotisantes. Là où le bât blesse, c’est finalement l’absence de traitement en profondeur des différentes relations que nouent cette jeune femme avec son entourage. La multitude de personnages pourtant attachants (François Civil, Pio Marmaï, Denis Podalydès, Muriel Robin, etc.) reste abordée de manière trop superficielle. On papillonne, on effleure, mais sans aucun approfondissement. Bref, une agréable comédie dont le contenu aurait mérité d’être plus resserré ou bien développé dans une série de vingt épisodes.
    Cinememories
    Cinememories

    469 abonnés 1 460 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2022
    En dehors de ses classiques que l’on ne cite plus, Cédric Klapisch, c’est également la force des sentiments à travers un vignoble dans « Ce qui nous lie » et un portrait moderne de Paris avec « Deux moi ». Il continue de sonder ce qui enrichit le langage corporel, cette fois-ci à travers la danse. Ce qu’il a pu capter à l’Opéra de Paris, notamment avec son documentaire « Aurélie Dupont, l’espace d’un instant », il en vient à en faire un sujet de fiction à part entière, centré sur la reconstruction d’une danseuse de ballet, qui se reconvertit peu à peu dans un autre registre. Le récit dressera constamment des ponts entre deux mondes, qu’il convient de consolider, à la force du mouvement, générée par l’âme et le corps même des interprètes.

    L’ouverture fascine et sans perdre de temps, des coulisses à la scène, de la réalité et spectacle, Klapisch nous convie dans un élan maîtrisé et somptueux, à la présentation des enjeux à venir pour l’étoile de l’Opéra. Sa chute est aussi physique que sentimental, un éventail de symbolisme qui prend le geste tel qu’il est pour introduit une entorse aux règles élitiques de la danse classique. Et soudain, un générique punk-rock vient investir ce lac des signes, en décalage avec leur environnement et en pleine errance dans un moment de flottement. C’est le coup de fouet nécessaire pour enfin visualiser la portée d’une intrigue qui ne joue pas dans l’originalité. Hélas, cette sensation s’estompe assez rapidement, lorsque l’on revient conclure la scène d’exposition. Élise (Marion Barbeau) ne sera donc plus la seule à boiter, car la narration va suivre cette même dynamique, même au-delà de sa guérison partielle. Il y avait déjà ce genre de limites, que l’on pouvait distinguer dans ces premiers films, car la recette ne prend plus aujourd’hui.

    Si le cinéaste semble satisfait du plaisir qu’il a de capter les corps en osmose, ce sera au prix d’une grande subtilité. Ce qui faisait de lui un grand narrateur, c’est avant tout parce qu’il est sensible et il parvient souvent à projeter cela à l’écran, mais pas cette fois, pas avec toute l’amplitude qu’il aurait souhaitée. Ce qui est assez fâcheux, sachant que Marion Barbeau finit par convaincre et porter à elle seule cette intrigue cousue de fils blancs. Et si cela ne manquait pas d’être surligné à chaque étape, ce sera souvent le verbe qui aura raison du non-dit, du langage du corps et de la danse, afin de transcender la douleur d’une martyre. Cela ne donc ni justice au parcours de la jeune danseuse, ni à l’investissement du compositeur et chorégraphe Hofesh Shechter. Nous passons plus de temps à côté du sujet, là où l’on croit pouvoir tenir une galerie de personnages secondaires, prêts à tirer Élise vers le haut. La réconciliation avec le père (Denis Podalydès), le souvenir d’une mère, les conseils de Josiane (Muriel Robin), un potentiel compagnon gay, le renouveau artistique illustré par la cuisine de Loïc (Pio Marmaï) et une sous-intrigue maladroitement, voire inutilement inspirée par le kinésithérapeute Yann (François Civil).

    C’est une bien belle troupe qui mérite une meilleure cohérence, mais surtout un aboutissement plus intuitif, au lieu d’ôter toute cette réflexion au spectateur, qui n’a plus que l’image à se mettre sous la dent. « En Corps » ne manque pas d’éléments attachants et nous attrape quelques sourires au passage, mais jamais il ne nous laisse pleinement vivre le succès d’une héroïne, qui parvient à se défaire de ses démons. Le spectacle final tranche évidemment avec le ballet d’ouverture, mais atteint rarement le même panache dans sa mise en scène. Les palpitations se feront attendre, tout comme le sensationnel, qui restera de l’ordre du privilège.
    Relonnor
    Relonnor

    29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 septembre 2023
    Malgré une démarche sincère, Klapisch se laisse ici trop aller aux trop bons sentiments, et ne peut s'empêcher de céder à de nombreux clichés : injonction à rebondir, personnages ridicules (le kiné, la bonne copine, le cuisinier, le père), la petite aventure sentimentale inévitable, les arguments simplistes de l'hôteliere, l'histoire extrêmement prévisible.
    On voudrait y croire mais ça ne prend pas.
    On ne voit plus la fraîcheur des personnages des précédents films, mais des cases à cocher pour les interprètes.
    Par conséquent, l'émotion prend la poudre d'escampette.
    Dommage...
    Lancelot G
    Lancelot G

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2022
    Plat comme une table a repasser, strate 0 de la créativité.
    Scène d'amoureux qui court vu et revu scène d'amour représenté par un vanne qui tremble...
    Lamentable
    Michel Moatti
    Michel Moatti

    7 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2022
    ENCORE !!! Merveilleux moment de cinéma !
    sans jamais céder à la guimauve, Klapisch nous raconte une belle histoire, de danse tout d'abord et d'amour ensuite. Une belle émotion nous a saisissante. cette histoire de résilience d'une jeune danseuse fauchée par l'adversité est emballages! l'actrice principale est absolument craquante, les seconds rôles, François Civil, Denis Podalydès et Muriel Robin sont épatants.
    du grand cinéma !
    gonin.robert
    gonin.robert

    5 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2022
    Très bon montage avec de la bonne musique.
    Regard sur le monde de la culture et particulièrement de la danse.
    Rafraîchissant .
    Je n'hésite plus à mettre des 5 car les films qui le méritent sont rares aujourd'hui
    Revert O.
    Revert O.

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 avril 2022
    Une belle entrée en matière mais après que de longueurs et d'insistance pour faire avancer l'intrigue et évoluer la danseuse. Tout devient très conventionnel, trop évident presque naïf. Quel dommage car la danse aurait mérité un bien meilleur traitement.
    cinéman
    cinéman

    34 abonnés 792 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2024
    Jolies danses et de toutes sortes, jolies musiques, joli film bien tourné, et Marion Barbeau joue excellemment (d'autant que c'est son premier film). Pas grand chose à reprocher au niveau de la forme donc. Malheureusement le scénario est très mince, voire inexistant, et semble se limiter à un message assez mièvre sur comment lutter et garder un esprit positif face aux blessures de la vie. En outre les personnages sont trop "lisses", sans relief, prévisibles... Même l'héroïne, en dehors de son jeu impeccable, ne parait pas avoir grand chose à revendiquer, si ce n'est de se remettre de ses blessures à elle, dont une physique qui l'handicape. Son mec n'en parlons même pas, c'est un personnage vide, et on se demande vraiment pourquoi elle se met avec. D'ailleurs tous les personnages sont superficiels. On est donc dans une sorte d'univers convenu, sans prises de risques, où on cache par des danses magnifiques, une histoire minimaliste et sans grand intérêt. Autant voir directement un spectacle de danse !
    notillus
    notillus

    21 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2022
    Bizarre,
    Nous avons tous des à priori !
    Je suis allé voir ce film à reculons, par défaut je pourrai dire !
    Cette histoire mélodramatique d’une danseuse qui se blesse durement lors d’un spectacle ne m’enthousiasmait pas vraiment !
    Et bien, j’avais tort !
    Ce film est à voir et même à revoir !
    Je ne suis pas fan de danse moderne et c’est un euphémisme, alors que j’adore la danse classique.
    Mais les images sont superbes et les acteurs très touchants.
    A 60 ans, j’ai eu les larmes aux yeux !
    Non, pas pour l’histoire, mais pour cette alchimie mystérieuse qui parfois nous offre des moments de grâce !
    Trois points négatifs.
    - Par moment une musique moderne très criarde,
    - l’accessoire de la canne pour Murielle Robin, totalement stupide, alors qu’elle est exceptionnelle dans ce personnage,
    - Ce besoin égotique du réalisateur de se montrer quelques secondes.
    Cela n’apporte rien au film, et il faut arrêter de singer le grand Hitchcock !

    Mais la très grande beauté des images, le jeu magnifique des acteurs avec une mention spéciale pour la jeune danseuse, toute de grâce et d’humilité, l’histoire qui ne tombe jamais dans le pathos, font de ce film une vraie réussite.
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