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    En corps
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    Alasky
    Alasky

    335 abonnés 3 292 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 avril 2022
    Les jolies scènes d'intro m'ont captivée, fascinée, j'ai cru arriver dans quelque chose de beau, de fort, pour au final m'ennuyer fermement. Tout sonne faux et le scénario est creux. Dommage car il y a quelques acteurs connus que j'adore (Pio Marmaï et François Civil).
    Timoté L.
    Timoté L.

    52 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2022
    Mais c'était d'un ennuie abyssal, les scènes sont inutilement longues, les discours sont niait et mal joués, horrible.
    chantal jorry
    chantal jorry

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Très belle compagnie de danse contemporaine mais beaucoup de longueurs et de blablas inutiles qui enlèvent beaucoup au film
    Marquis7
    Marquis7

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 avril 2022
    le problème de ce film est que la danse et les corps sont finalement marginaux dans ce film et que l'on ne ressent aucune empathie pour les acteurs : ce film se déroule principalement dans une maison en Bretagne où l'actrice principale, danseuse classique, est venue se reposer et où une troupe de danse moderne répète leur prochain spectacle ; la principale question que se pose alors le spectateur est de savoir avec qui notre héroïne va engager une relation amoureuse parmi les danseurs de cette troupe : le prof ? le black ? le chinois ? le punk ? non finalement c'est avec Mehdi (classé "homo" dans ce film) sauf que l'on ne croit pas un instant à cette histoire d'amour. Le film nous impose également tous les clichés bobos : le papa, grand avocat mais insensible aux souffrances affectives de sa fille qui habite pourtant dans un superbe appartement parisien avec balcon défilant et vue sur Montmartre....J'avoue avoir plus d'empathie pour les ukrainiens.
    tixou0
    tixou0

    685 abonnés 1 986 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2024
    "Stop, ou encore" ?... D'un spectacle, l'autre : un gros extrait du répertoire pour commencer ("La Bayadère"), et un (heureusement) plus court par compagnie contemporaine en conclusion. Et au milieu ?... Du remplissage laborieux, entre moraline appliquée au "monde de l'art", romances insipides et dialogue familial embarrassé - le tout pour deux heures d'un ennui colossal, au général ! Que retenir de ce poussif "En Corps" (kolossale finesse...) ? La danse classique est le monde du rêve et de l'effort (qui doit ne pas se voir), la danse contemporaine, celui de la gesticulation redondante. De la grâce, à la gymnastique... Nouveau ratage de Cédric Klapisch - seul le directeur-photo tire (par moments) son épingle du jeu (c'est d'ailleurs le même que pour le lamentable "Ce qui nous lie", le précédent "long" du cinéaste, déjà "entre deux", là, vendanges - savoir Alexis Kavyrchine). Mais avec un scénario (co-écrit avec l'ex de Julie Gayet) minable, pas de dialogues et un casting indigent (au sein duquel se barbe Denis Podalydès, claudique Muriel Robin ou s'égare Pio Marmaï - et que dire de l'"héroïne", jouée si mal par la Première danseuse Barbeau ???)... Laissons place opportunément au "Royaume des Ombres" (cinématographiques) !
    fbelleton
    fbelleton

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Bof, moi qui baille d'ennui devant la danse, vous imaginez comme je me suis ennuyé.
    C'était le seul film à l'affiche du cinéma que je n'avais pas vu, j'ai joué, j'ai perdu.
    Si vous aimez les dialogues mièvres, les mauvais acteurs "à la française", les film sans scénario où tout semble avoir été réalisé au fur et à mesure (et donc sans aucune surprise), vous serez ravis.

    Et sinon plus grave : 4,3 étoiles allociné, alors que c'est noté sur l'affiche du film en gros . Donc forcément, inclus dans le budget de promotion, puisque je doute que les affiches sont conçues "après la diffusion en salle", ok, vous voyez ce que je veux dire ;-)
    velocio
    velocio

    1 277 abonnés 3 105 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2022
    Klapisch aime bien les jeux de mots lorsqu'il choisit les titres de ses films : 5 ans après "Ce qui nous lie", un film sur le milieu viticole, voici "En corps", un film sur le milieu de la danse, ou, plutôt des danses. Danse classique, danse contemporaine, la reconversion d'une grande danseuse de la danse classique à la danse contemporaine à la suite d'un accident au cours d'une représentation. Cette grande danseuse est interprétée par Marion Barbeau, une grande danseuse classique, nommée première danseuse du ballet de l'Opéra de Paris en 2018. Bien entendu, dans ce film, on la voit danser en classique et en contemporain, mais on la voit aussi, jouer, comme on dit, la comédie et elle s'avère excellente comédienne. Film sur la résilience, sur le combat d'une fillette puis d'une femme qui a perdu sa mère très jeune face à un père certes aimant (à sa façon !) qui, avocat qu'il est est, aurait préféré que sa fille fasse des études de droit plutôt que de se tourner vers la danse. Une histoire plutôt banale, mais rehaussée par les nombreuses scènes de danse, tant classiques que contemporaines. Concernant ces dernières, on y retrouve le danseur et chorégraphe israélien Hofesh Shechter. Mon humble avis : c'est loin d'être mauvais, mais c'est également loin de valoir ce que proposent des chorégraphes comme Mourad Merzouki ou Kader Atou ! Plusieurs spectateurs ont applaudi à la fin du film : je n'irai pas jusque là !
    R P
    R P

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mai 2022
    Voilà typiquement une comédie de mœurs petit-bourgeois qui regroupe tous les poncifs du genre.
    Monsieur Klapisch cherche à reproduire l’Auberge espagnole qui a été son succès en y incluant toutes les allusions aux thèmes propres à notre époque pour ratisser large( véganisme /conscience écologique , parité/égalité homme-femme, mixité sociale et raciale promue à travers les couples arabes/blancs etc…).
    Toutes les scènes maintes fois reprises dans ses films précédents(jeunisme valorisé, sagesse d’un aîné…) vous lasseront(telle la fuite de garnements après la sceance photo houleuse…).
    Un auteur qui recycle ses œuvre jusqu’à la caricature. C’est « plus belle la vie «  au cinéma. Circulez, il n’y a rien de nouveau!!!
    elriad
    elriad

    419 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2024
    PO-SI-TIF .
    C'est le mot idéal pour qualifier ce petit bijou de "En Corps" , un titre totalement approprié pour cet hymne à la danse sous toutes ses formes. Tout est prétexte à les magnifier, que ce soit en spectacle, durant les répétitions en résidence, où dans les promenades comme cette jolie séquence sur les falaises ventées des sauvages paysages bretons.
    Elise, danseuse classique au firmament de sa carrière, doit se reconstruire après une chute qui la contraint de chambouler sa vie dédiée au ballet. Elle découvre alors dans le cadre d'un lieu de résidence tenu par Josiane (Muriel Robin), une nouvelle vision de la danse, de bouger son corps, plus tribale, plus sauvage, plus tellurique.
    Cédric Klapisch offre un film fort, visuel, qui envoie de belles vibrations positives au spectateur, et c'est un vrai plaisir de se retrouver en immersion au sein de cette compagnie de danse contemporaine, de cette vie communautaire, de cette complicité qui relie chacun au travers de ce fil invisible autant qu'invincible : la danse.
    A ne pas manquer.
    Joce2012
    Joce2012

    198 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Ce film est tout simplement magnifique, un moment de cinéma mémorable, très belles interprétations et une très belle mise en scène , des prises de vue sublimes, de la beauté, de l'art, des remises en question sur la vie .... à voir !
    joelle g
    joelle g

    85 abonnés 863 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2022
    Malgré une certaine déception , 3 étoiles surtout pour la jeune danseuse , actrice d'un jour qui parvient à nous émouvoir ....ne plus pouvoir danser pour une grande danseuse classique ...c'est un réel déchirement.
    3 étoiles pour les scènes de danse , que ce soit classique ou moderne....
    Ici c'est la danse moderne qui devient une thérapie ....se libérer de sa vie , de ses poids ...par le corps....d'où le titre du film à double sens....danser ENCORE et EN CORPS....
    malgré tout ce film est trop lent par moment , trop long du coup...dommage
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    61 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2022
    Film léger avec une BO efficace. L'humour est plutôt bon et Muriel Robin se révèle très bonne actrice encore une fois.
    En terme de rythme je sais pas : la première demi heure est compliquée
    C'est un film bien en terme de scénario ça va mais je reste sur ma fin car c'est très inégal. On passe du coq à l'âne sans lien vraiment.
    Film correct mais c'est loin d'être le meilleur film de Klapich quand on connaît un peu sa filmographie.
    Film qui se disperse un peu d'où ma déception un peu.
    Colorature
    Colorature

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mai 2022
    J'ai trouvé ce film mauvais, même pas divertissant. Les dialogues, le vocabulaire sont très pauvres ainsi que le scénario, assez invraisemblable et puéril. L'interprétation ne vole pas haut, mise à part Mio Marmai qui tire son épingle du jeu. Seul le début, la Bayadère m'a séduit et intéressé. La suite est à jeter.
    Chris58640
    Chris58640

    203 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2022
    Le dernier film de Cédric Klapisch débute par un mini tour de force. La longue scène d’ouverture (générique de début magnifique inclus) dure presque 20 minutes sans quasiment aucun dialogue. Et pour tant on comprend tout, on y voit Elise, si sûre d’elle sur ses pointes, perdre pieds parce qu’avant d’entrer en scène, elle a vu quelque chose qui l’a bouleversé et déconcentré. Jusqu’à la chute (où je jurerai que j’ai entendu l’os craquer), tout est montré avec simplicité et virtuosité et on se dit que « En corps » part sur de très bons rails. Après évidemment, le film redevient ce dont on a l’habitude avec Cédric Klapisch, et qui fait son succès : une histoire à hauteur d’homme, où l’émotion affleure partout mais dont l’humour n’est jamais absent, un humour souvent dévolu aux rôles secondaires. Même si le film, qui dure quand même presque deux heures, passe sans trop de problèmes, j’ai quand même un tout petit peu de mal avec les nombreuses scènes de danse contemporaine. Et c’est ce que je craignais un peu sur le papier, autant les scènes de danse classique sont accessibles au néophyte comme moi, autant la danse contemporaine et ses abstractions un peu lunaires m’ont laissé dubitative, pour ne pas dire autre chose. Il y en a une tout petit peu trop dans le film à mon gout, parfois assez longues, et elles ne sont pas filmées avec le désir de les rendre intelligibles. Disons pour faire court que si on est un peu étranger à ce type de danse, ce n’est pas « En Corps » qui va améliorer les choses. C’est dommage d’ailleurs car c’était l’occasion. Je souligne quand même que le film est très bien réalisé, il y a des plans inventifs, amusants et d’autres très beaux (lors des scènes en bords de mer) mais surtout que la musique, qui tient forcément une très grande place dans le film, est très bien utilisée. Voilà comment il faut utiliser la musique au cinéma : des musiques variées mais jamais passe-partout, utilisées comme il faut, à la tonalité qu’il faut, qui accompagnent les images sans les parasiter. Ca nous change des bandes originales qui se ressemblent toutes et qui envahissent chaque plan. Le rôle principal est tenu par une danseuse classique dont c’est le premier rôle autrement que sur une scène de ballet. Elle danse merveilleusement bien, c’est une évidence. Pour que qui est de la comédie, c’est parfois un peu plus difficile, dans les expressions du visage notamment où elle a parfois du mal, je trouve, à faire passer une émotion autrement qu’en fronçant les sourcils. Mais je ne veux pas être trop dure avec elle, parce que c’est un sacré défi pour une première fois, de porter un film sur ses épaules et au final, elle ne s’en sort pas si mal que cela. Pour lui faciliter les choses, peut-être, Klapisch l’a entouré de très bons comédiens confirmés à qui ils offre des seconds rôles bien écrits (même quand si certains n’ont pas assez de scènes à mon gout) : François Civil en kiné amoureux, et hypersensible, (et un peu collant), Pio Marmaï et Souheila Yacoub en couple volcanique (qui se prennent la tête pour un oui ou pour un non mais se réconcilie immédiatement sur l’oreiller), Muriel Robin en femme blessée qui rêve d’art par procuration ou encore Bruno Podalydes en père (très) maladroit. Tous sont très biens et font le job sans essayer de tirer la couverture à eux. La majorité des moments d’humour sont pour eux, un humour délicat, plein de second degré, très agréable. Le petit souci de « En corps », sur le papier, c’est quand même que son scénario est assez light. Une danseuse classique blessée cherche sa « seconde vie » e spoiler: t la trouve dans la danse contemporaine, plus animale, moins exigeante, plus instinctive, moins rigide. En gros, c’est à peu près tout et c’est un petit peu léger point de vue intrigue, quand même. Le film fait l’impasse sur quelques aspects du drame intime que connait Elise, notamment financier (excusez-moi d’être un peu terre à terre mais comment diable peut-elle se payer un appartement à deux doigts de Montmartre alors qu’elle ne travaille plus et n’a aucun plan B ?) pour focaliser sur le désarroi psychologique qui est le sien. Quand on a tout sacrifié à quelque chose (ici la danse, mais ça marcherait avec le sport aussi), quand on n’a pas fait d’études, quand on a jamais réfléchi à « l’après », comment rebondir si tout s’écroule du jour au lendemain. Le film insiste sur la psychologue et l’envie de la jeune Elise en oubliant assez vite la blessure mais surtout tout le reste, et le reste (l’argent, l’estime de soi, la reconnaissance sociale, sa place dans la société), cela ne compte pas pour rien. Je regrette un petit peu que le film, qui pose une vraie bonne question, y réponde de façon incomplète, se contentant presque de faire basculer son héroïne d’une forme de danse vers une autre, de la rigidité vers le mouvement, de l’austérité vers l’enthousiasme. Je présente à dessein les choses de façon caricaturale mais c’est un peu l’impression finale que laisse « En Corps » : tu ne peux plus danser, danse autrement, c’est un tout petit peu léger.
    Si bien réussi dans la forme, avec de beaux rôles bien écrits, quelques scènes absolument superbes, « En Corps » aurait mérité un scénario un tout petit peu plus consistant.
    cinono1
    cinono1

    287 abonnés 2 037 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2022
    Cedric Klapish psychothérapeute du cinéma Français. Son énergie positive fait du bien. Comme dans son précédent film, il parle de se reconstruire à travers l'action, sans faire fi des trop nombreux conseils. Toujours en contact avec la jeunesse, on sent son amour pour la danse, dont il sait filmer les lignes claires et les mouvements. Le 1er quart d'heure nous fait nous sentir davantage à l'opéra qu'au cinéma. Malgré une histoire un peu simple et quelques longueurs, un beau film bien portée par son héroïne et quelques savoureux seconds rôles, Pio Marmai en tête.
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