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Rėgine Buchholtz
19 abonnés
18 critiques
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5,0
Publiée le 30 mars 2022
Merveilleux hommage aux danseuses (rs). Musique géniale et finesse du scénario. Un très très beau film sur la danse, l' amitié et la famille toujours. Merci pour ce beau moment.
C'est vraiment mauvais, même si à la base je ne suis pas client de ce genres de films ou tout est prévisible, la miss qui doute sur ses talents de danseuse avec le père grognon, l'amoureux, le kiné qui fait la morale, plus moralisateur qu'un épisode de josephine, pas pour moi..
Les jolies scènes d'intro m'ont captivée, fascinée, j'ai cru arriver dans quelque chose de beau, de fort, pour au final m'ennuyer fermement. Tout sonne faux et le scénario est creux. Dommage car il y a quelques acteurs connus que j'adore (Pio Marmaï et François Civil).
le problème de ce film est que la danse et les corps sont finalement marginaux dans ce film et que l'on ne ressent aucune empathie pour les acteurs : ce film se déroule principalement dans une maison en Bretagne où l'actrice principale, danseuse classique, est venue se reposer et où une troupe de danse moderne répète leur prochain spectacle ; la principale question que se pose alors le spectateur est de savoir avec qui notre héroïne va engager une relation amoureuse parmi les danseurs de cette troupe : le prof ? le black ? le chinois ? le punk ? non finalement c'est avec Mehdi (classé "homo" dans ce film) sauf que l'on ne croit pas un instant à cette histoire d'amour. Le film nous impose également tous les clichés bobos : le papa, grand avocat mais insensible aux souffrances affectives de sa fille qui habite pourtant dans un superbe appartement parisien avec balcon défilant et vue sur Montmartre....J'avoue avoir plus d'empathie pour les ukrainiens.
"Stop, ou encore" ?... D'un spectacle, l'autre : un gros extrait du répertoire pour commencer ("La Bayadère"), et un (heureusement) plus court par compagnie contemporaine en conclusion. Et au milieu ?... Du remplissage laborieux, entre moraline appliquée au "monde de l'art", romances insipides et dialogue familial embarrassé - le tout pour deux heures d'un ennui colossal, au général ! Que retenir de ce poussif "En Corps" (kolossale finesse...) ? La danse classique est le monde du rêve et de l'effort (qui doit ne pas se voir), la danse contemporaine, celui de la gesticulation redondante. De la grâce, à la gymnastique... Nouveau ratage de Cédric Klapisch - seul le directeur-photo tire (par moments) son épingle du jeu (c'est d'ailleurs le même que pour le lamentable "Ce qui nous lie", le précédent "long" du cinéaste, déjà "entre deux", là, vendanges - savoir Alexis Kavyrchine). Mais avec un scénario (co-écrit avec l'ex de Julie Gayet) minable, pas de dialogues et un casting indigent (au sein duquel se barbe Denis Podalydès, claudique Muriel Robin ou s'égare Pio Marmaï - et que dire de l'"héroïne", jouée si mal par la Première danseuse Barbeau ???)... Laissons place opportunément au "Royaume des Ombres" (cinématographiques) !
Bof, moi qui baille d'ennui devant la danse, vous imaginez comme je me suis ennuyé. C'était le seul film à l'affiche du cinéma que je n'avais pas vu, j'ai joué, j'ai perdu. Si vous aimez les dialogues mièvres, les mauvais acteurs "à la française", les film sans scénario où tout semble avoir été réalisé au fur et à mesure (et donc sans aucune surprise), vous serez ravis.
Et sinon plus grave : 4,3 étoiles allociné, alors que c'est noté sur l'affiche du film en gros . Donc forcément, inclus dans le budget de promotion, puisque je doute que les affiches sont conçues "après la diffusion en salle", ok, vous voyez ce que je veux dire ;-)
Klapisch aime bien les jeux de mots lorsqu'il choisit les titres de ses films : 5 ans après "Ce qui nous lie", un film sur le milieu viticole, voici "En corps", un film sur le milieu de la danse, ou, plutôt des danses. Danse classique, danse contemporaine, la reconversion d'une grande danseuse de la danse classique à la danse contemporaine à la suite d'un accident au cours d'une représentation. Cette grande danseuse est interprétée par Marion Barbeau, une grande danseuse classique, nommée première danseuse du ballet de l'Opéra de Paris en 2018. Bien entendu, dans ce film, on la voit danser en classique et en contemporain, mais on la voit aussi, jouer, comme on dit, la comédie et elle s'avère excellente comédienne. Film sur la résilience, sur le combat d'une fillette puis d'une femme qui a perdu sa mère très jeune face à un père certes aimant (à sa façon !) qui, avocat qu'il est est, aurait préféré que sa fille fasse des études de droit plutôt que de se tourner vers la danse. Une histoire plutôt banale, mais rehaussée par les nombreuses scènes de danse, tant classiques que contemporaines. Concernant ces dernières, on y retrouve le danseur et chorégraphe israélien Hofesh Shechter. Mon humble avis : c'est loin d'être mauvais, mais c'est également loin de valoir ce que proposent des chorégraphes comme Mourad Merzouki ou Kader Atou ! Plusieurs spectateurs ont applaudi à la fin du film : je n'irai pas jusque là !
Voilà typiquement une comédie de mœurs petit-bourgeois qui regroupe tous les poncifs du genre. Monsieur Klapisch cherche à reproduire l’Auberge espagnole qui a été son succès en y incluant toutes les allusions aux thèmes propres à notre époque pour ratisser large( véganisme /conscience écologique , parité/égalité homme-femme, mixité sociale et raciale promue à travers les couples arabes/blancs etc…). Toutes les scènes maintes fois reprises dans ses films précédents(jeunisme valorisé, sagesse d’un aîné…) vous lasseront(telle la fuite de garnements après la sceance photo houleuse…). Un auteur qui recycle ses œuvre jusqu’à la caricature. C’est « plus belle la vie « au cinéma. Circulez, il n’y a rien de nouveau!!!
Ce film est tout simplement magnifique, un moment de cinéma mémorable, très belles interprétations et une très belle mise en scène , des prises de vue sublimes, de la beauté, de l'art, des remises en question sur la vie .... à voir !
Malgré une certaine déception , 3 étoiles surtout pour la jeune danseuse , actrice d'un jour qui parvient à nous émouvoir ....ne plus pouvoir danser pour une grande danseuse classique ...c'est un réel déchirement. 3 étoiles pour les scènes de danse , que ce soit classique ou moderne.... Ici c'est la danse moderne qui devient une thérapie ....se libérer de sa vie , de ses poids ...par le corps....d'où le titre du film à double sens....danser ENCORE et EN CORPS.... malgré tout ce film est trop lent par moment , trop long du coup...dommage
Film léger avec une BO efficace. L'humour est plutôt bon et Muriel Robin se révèle très bonne actrice encore une fois. En terme de rythme je sais pas : la première demi heure est compliquée C'est un film bien en terme de scénario ça va mais je reste sur ma fin car c'est très inégal. On passe du coq à l'âne sans lien vraiment. Film correct mais c'est loin d'être le meilleur film de Klapich quand on connaît un peu sa filmographie. Film qui se disperse un peu d'où ma déception un peu.
J'ai trouvé ce film mauvais, même pas divertissant. Les dialogues, le vocabulaire sont très pauvres ainsi que le scénario, assez invraisemblable et puéril. L'interprétation ne vole pas haut, mise à part Mio Marmai qui tire son épingle du jeu. Seul le début, la Bayadère m'a séduit et intéressé. La suite est à jeter.