Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
mat niro
343 abonnés
1 794 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 30 mars 2022
Cédric Klapish aime la danse et cela transpire dans son dernier long-métrage. Elise (Marion Barbeau) est contrainte de mettre entre parenthèse sa carrière de danseuse classique après une grave blessure. Le cinéaste filme avec brio et dextérité plusieurs types de danse. Marion Barbeau est une véritable révélation, tant par son aisance dans les chorégraphies que par son jeu d'actrice où elle est vraiment lumineuse. C'est le genre de film à voir absolument sur grand écran pour ressentir l'esthétisme de ces corps en mouvement. Les amateurs de danse (classique ou urbaine) se régaleront, les autres seront peut-être déçu par un scénario léger et des seconds rôles fades (sauf Muriel Robin, très juste ).
La mise en scène de Klapisch est aussi pauvre que ses jeux de mots. C'est très très très dur à regarder jusqu'au bout parce que finalement c'est plus proche des bluettes sportives que l'on voit sur Netflix que de Rocky. Que ce soit les décors, les acteurs, ou le découpage, on a le sentiment d'une espèce de gigantesque pu pour une mutuelle. Triste et plat.
Des scènes de danse classique ou contemporaine bien filmées, une BO avec pas mal de Bach voilà pour le positif. Sinon une histoire cousue de câble de marine, des dialogues plats et convenus et au moins un personnage, le kiné/ François Civil qui ne sert à rien...mais comme c'est un Klapisch il faut qu'il soit là. Et j'oubliais la scène de shooting robes de mariées qui est encore moins utile au déroulé de l'histoire. Bref assez plat et vide.
Malheureusement, je n’aime pas du tout cet esprit thérapie de groupe. Les gens dansent et entourent cette jeune femme avec un chef au milieu qui donne des conseils et surtout une surdose de bienveillance assez pénible. Je n’aime pas non plus les danses hip-hop ou électro ou tout le monde est joyeux de vivre. Ça fait trop de bons sentiments. Je reconnais pourtant la sophistication de certaines images qui rend les mouvements très beaux.
Cédric Klapish réalise ici l’un de ses meilleurs films, un film d’où l’on ressort le cœur léger et le sourire aux lèvres. Son choix habile d’acteurs, d’où l’on retiendra notamment la superbe découverte de Marion Barbeau, aussi bonne comédienne que danseuse élégante, sa recherche d’un scénario fluide et d’une image pleine de recherche, sont les cartes maîtresses de cette heureuse réussite. Oubliant les scories de certains de ses précédents films - humour potache ou digressions inutiles, longueurs ou dialogues bavards - Klapish nous emmène dans l’envers du décor du monde merveilleux de la danse professionnelle. Il nous emmène aussi, et c’est presqu’aussi important ici, dans la profondeur du sentiment amoureux ou de la difficulté d’un père - magnifiques scènes d’un Denis Podalydes engoncé dans ses peines et ses non-dits - à consentir à dire qu’il aime ses filles ou simplement le repas que l’une d’entre elles lui a préparé.
"En Corps" est le symbole de ce cinéma bien-pensant, pétri de valeurs universelles comme l'amour inconditionnel, l'empathie ou bien encore la résilience. Un portrait magnifié par une mise en scène travaillée, mais suscitant rapidement des hauts de cœur devant tant de niaiserie.
mon dieu que ce film est mielleux !! tout est déja vu, déja fait 1000 fois dans des centaines d'autres films !! les dialogues sont pauvres, le scénario sans aucun intérêt et on sait dès les premières minutes ce qu'il va se passer et comment ça va se terminer !! les acteurs jouent horriblement mal (a l'exception de François CIVIL que l'on voit très peu d'ailleurs) et en plus ce film dure près de 2 heures et pour tout vous dire j'ai tenu 40 minutes et je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir aussi longtemps !! à éviter
Tout y est dans le genre cinéma du poncif : la famille bobo, les images des quais de Seine, la danse qui fait mal, les couchers de soleil sur la mer, le kine cool qui va à Gola, le père avocat qui pleure à la fin et la rédemption par la danse contemporaine. Encore une fois un film français pesant, à la psychologue lourdingue et bourré de bons sentiments. C'est consternant. Et on vend ça à l'étranger ? Et bien entendu, la moitié de la salle a applaudi à la fin.
Emporté par Marion Barbeau, éblouissante de talent et de charme, le spectateur accède à une espèce d’extase très agréable. Ce film est un petit chef-d’œuvre.
Mon Dieu que c'est mauvais... Tout est plan-plan, téléphoné depuis la relation bébête de Marion avec son kyné jusqu'à la scène finale , vue mille fois, du père qui assiste au spectacle de sa fille en passant par les interventions hystériques du pauvre Pio Marmaï à qui on ne donne plus que ce genre de rôle. N'oublions pas l'épisode "féministe" racoleur de la séance photo, aussi bête qu'invraisemblable. Même la musique et la chorégraphie ne sont pas au niveau quand on voit ce que les compagnies peuvent produire d'excellent ces jours-ci.
Un superbe navet que ce film... Des lieux communs , des poncifs , du remplissage à n'en plus finir et surtout 2 scènes hilarantes de ridicule : le brave papa qui saisit enfin que sa fifille a du talent et qui , rongé de remords , éclate en sanglots ( vu 10000 fois.. ) et surtout le premier baiser échangé par " l'héroïne " avec son nouveau copain devant... un coucher de soleil . Ouh là là , faites donner les violons...!!!
Merveilleux hommage aux danseuses (rs). Musique géniale et finesse du scénario. Un très très beau film sur la danse, l' amitié et la famille toujours. Merci pour ce beau moment.
C'est vraiment mauvais, même si à la base je ne suis pas client de ce genres de films ou tout est prévisible, la miss qui doute sur ses talents de danseuse avec le père grognon, l'amoureux, le kiné qui fait la morale, plus moralisateur qu'un épisode de josephine, pas pour moi..