Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Eleonore Vigier
"Earwig" donne à vivre une traversée cinématographique dans l’image et ses ténèbres les plus obscures.(...) Derrière son apparente austérité se dissimule une poétique plus flamboyante, propre à bercer son spectateur, au milieu des miroitements de lumières et des jeux de reflets musicaux - tout en synesthésie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Lucile Hadzihalilovic regarde l’enfance comme une anomalie ou le monde adulte comme terrifiant. Elle adapte avec raffinement Earwig, fable kafkaïenne du Britannique Brian Catling.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Lucile Hadzihalilovic fignole avec soin une ambiance de cauchemar éveillé, tout en tableaux enivrants, jusqu’à l’apothéose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Il y a de quoi se perdre, tout comme il y a matière à rester bouche bée devant la saisissante beauté de cet acte de fois dans l’intangible. Le voyage n’emprunte aucune route connue, vers une destination trouble.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Certains films, extrêmement rares, s’apparentent à des séances d’hypnose, et Earwig appartient à cette tradition qui du muet jusqu’à certaines productions de David Lynch ou Lars Von Trier, illuminent le cinéma.
20 Minutes
par Caroline Vié
Lucile Hadzihalilovic offre une œuvre unique et singulière qui plonge dans l’esprit d’un homme perturbé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Alex Masson
Exigeant mais fascinant album d'images sensorielles. Earwig confirme une cinéaste unique.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Un joli cauchemar fétichiste, débordant de poésie et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Cl. F.
Il faut entrer dans ce récit kaléidoscopique comme on s’abandonne aux mains d’un hypnotiseur. Earwig est un film songe dont les éclats de verre seraient le reflet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Philippe Rouyer
Et si ce film claustrophobe était la plus belle expression cinématographique du confinement que nous avons tous connu ?
Première
par Frédéric Foubert
Un grand moment d’hypnose et d’effroi, une splendeur visuelle et sonore dans la lignée de David Lynch et Nicolas Roeg.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Julie Mengelle
Le rythme singulier du film donne le sentiment que tout est figé, mais également que la plus imperceptible des agitations œuvre ailleurs, à un autre niveau de conscience.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Lucile Hadzihalilovic propose une expérience sensorielle au spectateur avec ce drame singulier, insolite et radical, qui prône une mise en scène au minimalisme absolu mais d’une folle élégance, une économie de dialogues au profit d’un silence inquiétant et l’ellipse pour laisser se déployer le mystère dont on ne détiendra jamais les clés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Un rêve étrange où il faut accepter de ne pas tout comprendre. Mais l'esthétique est fascinante et certaines scènes restent longtemps en mémoire
Télérama
par Jacques Morice
Le film épousant la logique des rêves, on peut s’y perdre en conjectures. Il est parfois un peu monotone par la narration, mais riche en termes plastique, sonore et symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Mais en dépit de son inventivité renouvelée, la cinéaste peine à se maintenir sur la ligne de crête qui faisait le sel de ses précédents longs : instaurer une tension sans pour autant lui attribuer un objet. Dans les décors désertiques du film, l’oxygène semble faire défaut autant que les êtres vivants.
L'Obs
par N. S.
Le roman de Brian Catling (2019), est, paraît-il, culte. Le film ne cherche pas à l’être avec son fétichisme onirique (beau travail sur l’image et le son) et son récit brumeux aux pesants symboles anti-patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Visuellement original, ce film à l’onirisme funèbre échoue à troubler comme à intéresser.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Là où ce fantastique pourrait inviter au voyage et ouvrir son monde pour mieux immerger son spectateur dans son liquide amniotique de bizarrerie (c’est que Hadzihalilovic parvenait à faire dans l’envoutant Évolution ), il se montre ici terriblement fermé sur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Culturopoing.com
"Earwig" donne à vivre une traversée cinématographique dans l’image et ses ténèbres les plus obscures.(...) Derrière son apparente austérité se dissimule une poétique plus flamboyante, propre à bercer son spectateur, au milieu des miroitements de lumières et des jeux de reflets musicaux - tout en synesthésie.
L'Humanité
Lucile Hadzihalilovic regarde l’enfance comme une anomalie ou le monde adulte comme terrifiant. Elle adapte avec raffinement Earwig, fable kafkaïenne du Britannique Brian Catling.
Libération
Lucile Hadzihalilovic fignole avec soin une ambiance de cauchemar éveillé, tout en tableaux enivrants, jusqu’à l’apothéose.
Mad Movies
Il y a de quoi se perdre, tout comme il y a matière à rester bouche bée devant la saisissante beauté de cet acte de fois dans l’intangible. Le voyage n’emprunte aucune route connue, vers une destination trouble.
Transfuge
Certains films, extrêmement rares, s’apparentent à des séances d’hypnose, et Earwig appartient à cette tradition qui du muet jusqu’à certaines productions de David Lynch ou Lars Von Trier, illuminent le cinéma.
20 Minutes
Lucile Hadzihalilovic offre une œuvre unique et singulière qui plonge dans l’esprit d’un homme perturbé.
CinemaTeaser
Exigeant mais fascinant album d'images sensorielles. Earwig confirme une cinéaste unique.
Ecran Large
Un joli cauchemar fétichiste, débordant de poésie et de cinéma.
Le Monde
Il faut entrer dans ce récit kaléidoscopique comme on s’abandonne aux mains d’un hypnotiseur. Earwig est un film songe dont les éclats de verre seraient le reflet.
Positif
Et si ce film claustrophobe était la plus belle expression cinématographique du confinement que nous avons tous connu ?
Première
Un grand moment d’hypnose et d’effroi, une splendeur visuelle et sonore dans la lignée de David Lynch et Nicolas Roeg.
Critikat.com
Le rythme singulier du film donne le sentiment que tout est figé, mais également que la plus imperceptible des agitations œuvre ailleurs, à un autre niveau de conscience.
Le Journal du Dimanche
Lucile Hadzihalilovic propose une expérience sensorielle au spectateur avec ce drame singulier, insolite et radical, qui prône une mise en scène au minimalisme absolu mais d’une folle élégance, une économie de dialogues au profit d’un silence inquiétant et l’ellipse pour laisser se déployer le mystère dont on ne détiendra jamais les clés.
Télé 2 semaines
Un rêve étrange où il faut accepter de ne pas tout comprendre. Mais l'esthétique est fascinante et certaines scènes restent longtemps en mémoire
Télérama
Le film épousant la logique des rêves, on peut s’y perdre en conjectures. Il est parfois un peu monotone par la narration, mais riche en termes plastique, sonore et symbolique.
Cahiers du Cinéma
Mais en dépit de son inventivité renouvelée, la cinéaste peine à se maintenir sur la ligne de crête qui faisait le sel de ses précédents longs : instaurer une tension sans pour autant lui attribuer un objet. Dans les décors désertiques du film, l’oxygène semble faire défaut autant que les êtres vivants.
L'Obs
Le roman de Brian Catling (2019), est, paraît-il, culte. Le film ne cherche pas à l’être avec son fétichisme onirique (beau travail sur l’image et le son) et son récit brumeux aux pesants symboles anti-patriarcat.
Les Fiches du Cinéma
Visuellement original, ce film à l’onirisme funèbre échoue à troubler comme à intéresser.
Les Inrockuptibles
Là où ce fantastique pourrait inviter au voyage et ouvrir son monde pour mieux immerger son spectateur dans son liquide amniotique de bizarrerie (c’est que Hadzihalilovic parvenait à faire dans l’envoutant Évolution ), il se montre ici terriblement fermé sur lui-même.