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Arnaud Desplechin adapte Tromperie de Philip Roth, qu’il affectionne tant, et réalise un film vibrant d’une grande élégance, où comédiens et techniciens semblent en état d’allégresse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Tromperie s’impose comme un des meilleurs films français de l’année et une des plus grandes réussites d’Arnaud Desplechin. Du brillant roman de Philip Roth, apparemment impossible à adapter (une longue suite de dialogues aux protagonistes difficiles à identifier dans des lieux non décrits), le cinéaste crée une œuvre étonnante d’intelligence et de vérité psychologique.
À l’heure où l’on ne veut plus de « zone grise », Desplechin explore le terrain ambigu du commerce des sentiments, les zones troubles de la sexualité, des relations entre le corps et l'esprit, le réel et la fiction.
Desplechin, comme Roth, pourrait se payer de mots et ventriloquer l’autre sexe, parler à sa place, « piédestaler » pour absenter. Pourtant, chaque présence féminine charrie avec elle un monde si solide qu’il entame la consistance de Philip, la balaie un temps (…).
Et en adaptant Philip Roth, Desplechin se frotte à une langue qui lui colle à merveille. Entre sensualité, psychanalyse, sexualité et pur plaisir de la valse amoureuse, il se livre ici à un jeu de dévoration passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Fidèle au texte, même s’il en réagence la construction, Arnaud Desplechin met en scène le désir, la parole et l’écriture dans un film charnel et élégant, d’une grande intelligence.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Il en résulte un film sensuel, profession de foi cinématographique où l’on pense à Bergman et Truffaut, où les actrices, toutes exceptionnelles, sont magnifiées par la photo de Yorick Le Saux, où le torrent de dialogues merveilleux cède la place à des répliques plus drolatiques [...].
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Pour son nouveau film, Arnaud Desplechin adapte un des romans les plus retors de Philip Roth. Il s’en tire avec les honneurs et offre même un long-métrage virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mais plus encore que dans son ralliement au désir artiste, la beauté du film réside surtout dans le caractère indécidable de l’amour qu’il décline au gré des saisons, dont on se demande tout du long quelle est la part lettrée ou charnelle, et si l’invention coïncide avec la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Léa Seydoux est remarquable, et dévoile une palette de jeu très étendue, qui devrait enfin convaincre de son grand talent ses plus opiniâtres contempteur·rice·s.
De ces scènes enchâssées, chapitrées, le cinéaste de « Trois souvenirs de ma jeunesse » compose une partition vibrante, volubile, virtuose. Mélancolique parfois, mais le plus souvent, étonnamment mouvante car c’est le propre des amants de passer leur temps à ouvrir des portes, à se retrouver, à se jeter dans les bras.
Avec ce film mené en toute délicatesse et non sans humour, Arnaud Desplechin revient à un cinéma lettré et dandy qui a fait les plus grands succès de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Avec ce film mené en toute délicatesse et non sans humour, Arnaud Desplechin revient à un cinéma lettré et dandy qui a fait les plus grands succès de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
C’est intelligent et un peu vain, sauf quand l’auteur est convoqué à un procès féminin et féministe où il affronte les pires caricatures avec son insolence libertine. Un film intelligent mais qui manque de la phénoménale énergie du romancier.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Impressionnant d'intelligence et de maîtrise formelle (Arnaud Desplechin met habilement en scène le bureau de Philip qui tient à la fois du salon libertin et du cabinet de psychanalyste), « Tromperie », hélas, s'abîme dans les pièges de la théorie en image, tant le cinéaste examine ses grands thèmes en usant et abusant de dialogues, certes brillamment écrits, mais qui saturent le film.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Si Tromperie dépasse ses écueils par l’attention qu’il porte à ses acteurs, les derniers films de Desplechin donnent la curieuse impression d’un tâtonnement pour sortir de la forme romanesque qui a fait le succès du cinéaste dans les années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Entouré de Denis Podalydès, Léa Seydoux, Anouk Grimberg et Emmanuelle Devos, le réalisateur donne la parole aux mots, mais ne réussit pas forcément à les incarner.
Arnaud Desplechin orchestre une confrontation très théâtrale et, malgré un discours tournant autour du sentiment amoureux, étrangement désincarnée. On n'arrive jamais à s'attacher à ces deux personnages centrés sur leurs névroses.
Reste tout de même cette impression d’une longue explication de texte où les poncifs s’ils servent la comédie (on rit avec et contre, ce petit monde), empêche toutefois le drame de naître. Et dans cette entreprise autocentrée tout finit par s’épuiser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Avec Denis Podalydès qui campe un écrivain torturé correspondant avec ses maîtresses-groupies, le dernier film du cinéaste, adapté du roman de Philip Roth, est un effarant traité de machisme intello.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Arnaud Desplechin adapte Tromperie de Philip Roth, qu’il affectionne tant, et réalise un film vibrant d’une grande élégance, où comédiens et techniciens semblent en état d’allégresse.
Elle
Etincelant.
Positif
Tromperie s’impose comme un des meilleurs films français de l’année et une des plus grandes réussites d’Arnaud Desplechin. Du brillant roman de Philip Roth, apparemment impossible à adapter (une longue suite de dialogues aux protagonistes difficiles à identifier dans des lieux non décrits), le cinéaste crée une œuvre étonnante d’intelligence et de vérité psychologique.
Transfuge
À l’heure où l’on ne veut plus de « zone grise », Desplechin explore le terrain ambigu du commerce des sentiments, les zones troubles de la sexualité, des relations entre le corps et l'esprit, le réel et la fiction.
Cahiers du Cinéma
Desplechin, comme Roth, pourrait se payer de mots et ventriloquer l’autre sexe, parler à sa place, « piédestaler » pour absenter. Pourtant, chaque présence féminine charrie avec elle un monde si solide qu’il entame la consistance de Philip, la balaie un temps (…).
Ecran Large
Et en adaptant Philip Roth, Desplechin se frotte à une langue qui lui colle à merveille. Entre sensualité, psychanalyse, sexualité et pur plaisir de la valse amoureuse, il se livre ici à un jeu de dévoration passionnant.
L'Humanité
Fidèle au texte, même s’il en réagence la construction, Arnaud Desplechin met en scène le désir, la parole et l’écriture dans un film charnel et élégant, d’une grande intelligence.
L'Obs
Il en résulte un film sensuel, profession de foi cinématographique où l’on pense à Bergman et Truffaut, où les actrices, toutes exceptionnelles, sont magnifiées par la photo de Yorick Le Saux, où le torrent de dialogues merveilleux cède la place à des répliques plus drolatiques [...].
La Croix
Quand le cinéma et la littérature entrent à ce point en symbiose, on ne peut que saluer la virtuosité du cinéaste.
La Voix du Nord
Un tourbillon sentimental aussi élégant que tortueux qui renoue explicitement avec la veine romanesque et littéraire du réalisateur.
Le Figaro
Pour son nouveau film, Arnaud Desplechin adapte un des romans les plus retors de Philip Roth. Il s’en tire avec les honneurs et offre même un long-métrage virtuose.
Le Monde
Mais plus encore que dans son ralliement au désir artiste, la beauté du film réside surtout dans le caractère indécidable de l’amour qu’il décline au gré des saisons, dont on se demande tout du long quelle est la part lettrée ou charnelle, et si l’invention coïncide avec la réalité.
Les Inrockuptibles
Léa Seydoux est remarquable, et dévoile une palette de jeu très étendue, qui devrait enfin convaincre de son grand talent ses plus opiniâtres contempteur·rice·s.
Paris Match
Un grand film d'amour, sensuel et dérangeant.
Sud Ouest
De ces scènes enchâssées, chapitrées, le cinéaste de « Trois souvenirs de ma jeunesse » compose une partition vibrante, volubile, virtuose. Mélancolique parfois, mais le plus souvent, étonnamment mouvante car c’est le propre des amants de passer leur temps à ouvrir des portes, à se retrouver, à se jeter dans les bras.
Télérama
Quelques saisons de rendez-vous amoureux dans la vie de l'écrivain Philip Roth. Et, surtout, une magnifique constellation d’actrices.
aVoir-aLire.com
Avec ce film mené en toute délicatesse et non sans humour, Arnaud Desplechin revient à un cinéma lettré et dandy qui a fait les plus grands succès de sa carrière.
aVoir-aLire.com
Avec ce film mené en toute délicatesse et non sans humour, Arnaud Desplechin revient à un cinéma lettré et dandy qui a fait les plus grands succès de sa carrière.
Femme Actuelle
Une réflexion (un peu lente) sur les mystérieux replis du désir.
Le Parisien
C’est intelligent et un peu vain, sauf quand l’auteur est convoqué à un procès féminin et féministe où il affronte les pires caricatures avec son insolence libertine. Un film intelligent mais qui manque de la phénoménale énergie du romancier.
Les Echos
Impressionnant d'intelligence et de maîtrise formelle (Arnaud Desplechin met habilement en scène le bureau de Philip qui tient à la fois du salon libertin et du cabinet de psychanalyste), « Tromperie », hélas, s'abîme dans les pièges de la théorie en image, tant le cinéaste examine ses grands thèmes en usant et abusant de dialogues, certes brillamment écrits, mais qui saturent le film.
Critikat.com
Si Tromperie dépasse ses écueils par l’attention qu’il porte à ses acteurs, les derniers films de Desplechin donnent la curieuse impression d’un tâtonnement pour sortir de la forme romanesque qui a fait le succès du cinéaste dans les années 2000.
Franceinfo Culture
Entouré de Denis Podalydès, Léa Seydoux, Anouk Grimberg et Emmanuelle Devos, le réalisateur donne la parole aux mots, mais ne réussit pas forcément à les incarner.
Le Journal du Dimanche
Arnaud Desplechin orchestre une confrontation très théâtrale et, malgré un discours tournant autour du sentiment amoureux, étrangement désincarnée. On n'arrive jamais à s'attacher à ces deux personnages centrés sur leurs névroses.
Première
Reste tout de même cette impression d’une longue explication de texte où les poncifs s’ils servent la comédie (on rit avec et contre, ce petit monde), empêche toutefois le drame de naître. Et dans cette entreprise autocentrée tout finit par s’épuiser.
Libération
Avec Denis Podalydès qui campe un écrivain torturé correspondant avec ses maîtresses-groupies, le dernier film du cinéaste, adapté du roman de Philip Roth, est un effarant traité de machisme intello.