Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Le mélange impur et artificiel de ce film Frankenstein, entre peinture en mouvement, train fantôme, boîte à musique et documentaire, serait incommode si la mise en scène si personnelle de Davies – ses plans longs, frontaux et symétriques, qui immobilisent les personnages au centre d’un cadre centrifuge – ne se confiait pas tout entière à l’expressivité des acteurs, chargés de rendre par le modelé de leur visage et la musicalité de leur élocution toute l’émotion des scènes.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Hanté et tout en retenue : magnifique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Terence Davies n’est pas un antiquaire (de droite) du temps passé mais un anthropologue (de gauche) du temps présent. À cet égard, intensément proustien jusqu’à son style où les plans étirés sont comme les phrases gigognes de la Recherche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Séverine Danflous
Magnifique film crépusculaire autour d’un jeune poète anglais, en proie à l’amour et à la guerre.
Télérama
par Louis Guichard
Éblouissante est la façon dont les différents thèmes sont annoncés (par allusions et touches légères), puis s’imposent au premier plan, avant de redevenir des motifs secondaires, comme de lancinantes réminiscences.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Dernier film de Terence Davies, cette biographie d’un poète britannique est un must. Elle emprunte tous les chemins du cinéma pour déclarer la guerre à la guerre et aux préjugés.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
En renforçant le contraste entre les printemps optimistes et les crépuscules amers, "Les Carnets de Siegfried" laisse transparaître une profonde nostalgie jusqu'à son dénouement sur lequel se referme toute l’œuvre de Davies. Et qui rappelle que la recherche, aussi élégante soit-elle dans sa forme, sera toujours insatisfaite.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Donc, rien d’incomplet, ni de hâtivement bouclé (ou bâclé) par des exécutants anonymes. Ce film clôt avec grâce une filmographie habitée par la nostalgie des prémices du XXe siècle et de la fin du XIXe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Voix off permanente, tonalité littéraire puissante, extraits d’actualités d’époque, reconstitution des réactions de l’armée, poids de la religion et désir de sainteté, tout est là, dans ce film très personnel, qu’il faut aborder comme un petit concert spirituel et non comme un biopic classique. A cette condition, l’œuvre s’ouvre comme une très belle fleur de papier dans l’eau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un très beau film sur le poète oublié Siegfried Sassoon et bénéficie d’une rétrospective au Centre Pompidou. Courez-y!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par T. S.
La mise en scène passe, comme dans tous les films de Davies, par une élégance sobre – dans les cadres, les mouvements de caméra –, qui permet d’aller droit à l’émotion, zébrée d’ironie, voire de burlesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers la vie d'un poète, le cinéaste britannique nous lègue un splendide au revoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sobre, élégant, et d’une rare théâtralité, Les Carnets de Siegfried pénètre admirablement dans la psychologie complexe d’un poète, Siegfried Sassoon, écartelé entre le conformisme dû à sa classe, son désir d’émancipation sexuelle et son combat pour les lettres. Terence Davies est au sommet de son talent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Porteur d’une ambition littéraire presque proustienne, "Les Carnets de Siegfried" est le portrait opaque, parfois rébarbatif, d’un homme souffrant de n’avoir su ni vivre, ni mourir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Camille Brun
Procédant par petites touches, ce long métrage joliment mis en scène souffre de quelques longueurs, mais s'avère d'une bouleversante mélancolie.
Critikat.com
par Luca Mongai
Si le calme souverain régnant sur le film pourrait émouvoir par son aspect funèbre, ce goût pour la suspension temporelle n’est pas sans lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Entre documentaire (images d'archives à l'appui) et fiction, le tout ponctué par des intermèdes musicaux et des lectures de poèmes, ce drame perturbe par sa narration déconstruite et sa trop grande richesse formelle qui le rend indigeste.
Libération
par Laura Tuillier
Homosexuel, mondain, poète, finalement marié et converti au catholicisme, Sassoon est une figure que l’on devine torturée et paradoxale mais qui nous apparaît ici comme excessivement lisse, semblant parcourir le film dans des costumes trop repassés, avec une sorte de retenue affectée qui frise le cabotinage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Davies veut faire ressentir la douleur d’une existence brisée à plusieurs reprises – par la guerre, l’amour, les interdits sociaux – mais la durée excessive du film, les scènes de disputes très répétitives entre Sassoon et ses amants, et le jeu guindé des comédiens donnent à l’ensemble un aspect monotone et suranné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Le mélange impur et artificiel de ce film Frankenstein, entre peinture en mouvement, train fantôme, boîte à musique et documentaire, serait incommode si la mise en scène si personnelle de Davies – ses plans longs, frontaux et symétriques, qui immobilisent les personnages au centre d’un cadre centrifuge – ne se confiait pas tout entière à l’expressivité des acteurs, chargés de rendre par le modelé de leur visage et la musicalité de leur élocution toute l’émotion des scènes.
CinemaTeaser
Hanté et tout en retenue : magnifique.
Les Inrockuptibles
Terence Davies n’est pas un antiquaire (de droite) du temps passé mais un anthropologue (de gauche) du temps présent. À cet égard, intensément proustien jusqu’à son style où les plans étirés sont comme les phrases gigognes de la Recherche.
Transfuge
Magnifique film crépusculaire autour d’un jeune poète anglais, en proie à l’amour et à la guerre.
Télérama
Éblouissante est la façon dont les différents thèmes sont annoncés (par allusions et touches légères), puis s’imposent au premier plan, avant de redevenir des motifs secondaires, comme de lancinantes réminiscences.
Bande à part
Dernier film de Terence Davies, cette biographie d’un poète britannique est un must. Elle emprunte tous les chemins du cinéma pour déclarer la guerre à la guerre et aux préjugés.
Culturopoing.com
En renforçant le contraste entre les printemps optimistes et les crépuscules amers, "Les Carnets de Siegfried" laisse transparaître une profonde nostalgie jusqu'à son dénouement sur lequel se referme toute l’œuvre de Davies. Et qui rappelle que la recherche, aussi élégante soit-elle dans sa forme, sera toujours insatisfaite.
L'Humanité
Donc, rien d’incomplet, ni de hâtivement bouclé (ou bâclé) par des exécutants anonymes. Ce film clôt avec grâce une filmographie habitée par la nostalgie des prémices du XXe siècle et de la fin du XIXe.
L'Obs
Voix off permanente, tonalité littéraire puissante, extraits d’actualités d’époque, reconstitution des réactions de l’armée, poids de la religion et désir de sainteté, tout est là, dans ce film très personnel, qu’il faut aborder comme un petit concert spirituel et non comme un biopic classique. A cette condition, l’œuvre s’ouvre comme une très belle fleur de papier dans l’eau.
Le Figaro
Un très beau film sur le poète oublié Siegfried Sassoon et bénéficie d’une rétrospective au Centre Pompidou. Courez-y!
Le Monde
La mise en scène passe, comme dans tous les films de Davies, par une élégance sobre – dans les cadres, les mouvements de caméra –, qui permet d’aller droit à l’émotion, zébrée d’ironie, voire de burlesque.
Les Echos
A travers la vie d'un poète, le cinéaste britannique nous lègue un splendide au revoir.
aVoir-aLire.com
Sobre, élégant, et d’une rare théâtralité, Les Carnets de Siegfried pénètre admirablement dans la psychologie complexe d’un poète, Siegfried Sassoon, écartelé entre le conformisme dû à sa classe, son désir d’émancipation sexuelle et son combat pour les lettres. Terence Davies est au sommet de son talent.
Les Fiches du Cinéma
Porteur d’une ambition littéraire presque proustienne, "Les Carnets de Siegfried" est le portrait opaque, parfois rébarbatif, d’un homme souffrant de n’avoir su ni vivre, ni mourir.
Télé Loisirs
Procédant par petites touches, ce long métrage joliment mis en scène souffre de quelques longueurs, mais s'avère d'une bouleversante mélancolie.
Critikat.com
Si le calme souverain régnant sur le film pourrait émouvoir par son aspect funèbre, ce goût pour la suspension temporelle n’est pas sans lourdeur.
Le Journal du Dimanche
Entre documentaire (images d'archives à l'appui) et fiction, le tout ponctué par des intermèdes musicaux et des lectures de poèmes, ce drame perturbe par sa narration déconstruite et sa trop grande richesse formelle qui le rend indigeste.
Libération
Homosexuel, mondain, poète, finalement marié et converti au catholicisme, Sassoon est une figure que l’on devine torturée et paradoxale mais qui nous apparaît ici comme excessivement lisse, semblant parcourir le film dans des costumes trop repassés, avec une sorte de retenue affectée qui frise le cabotinage.
Première
Davies veut faire ressentir la douleur d’une existence brisée à plusieurs reprises – par la guerre, l’amour, les interdits sociaux – mais la durée excessive du film, les scènes de disputes très répétitives entre Sassoon et ses amants, et le jeu guindé des comédiens donnent à l’ensemble un aspect monotone et suranné.