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Votre avis sur Le Bruit des trousseaux ?
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J'ai beaucoup aimé ce téléfilm, Cyril Descours est toujours aussi sublime, touchant, adorable dans ses rôles et Deborah François aussi. Même si j'aime bien la relation entre Alexis et Léa, je trouve que Lise et Alexis sont adorables. Il la prend sous son aile et est un peu comme un grand frère et elle est douce et a besoin de cette relation, on le sent bien.
La decouverte du monde carceral pour un jeune enseignant extremement bienveillant est concommitente avec le fait qu'il tombe amoureux - les allers retours entre la prison et l'exterieur montre sa difficulte a s'extraire de cet univers qui le happe-il est touché par ces humains en captivité - le cliquetis des clés rythme le film- les detenus sont des personnages riches- ce quu ne tient pas se sont ces apprentissages denués de sens calqués sur l'EN
Film parfois touchant malgré un côté caricatural du scénario qui liste tous les lieux communs sur la prison et les prisonniers.
Histoire d'une tranche de vie d'un professeur de français qui débute son métier dans l'univers carcéral. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'est pas préparé à enseigner à ce type de public. Il va réussir cependant à s'adapter parce qu'il est ouvert et bienveillant. Il va même s'attacher à une femme toxicomane. Si le casting des prisonniers est excellent, on ne peut pas en dire de même de la réalisation quelque peu erratique. L'acteur principal joue bien le rôle d'un gentil naïf, guère perspicace dans ses jugements, qui a du mal à se vider la tête quand son travail est terminé, ce qui exaspère sa copine. Tout le long du film, le spectateur se demande où l'on veut l’entraîner et finit par se perdre. A plusieurs reprises, j'ai eu envie d'arrêter ce film, assez exaspérant par certains côtés.
Le jeu des acteurs est excellent.
À aucun moment je n'ai voulu arrêter la vision de ce téléfilm tellement j'avais envie de connaître la suite.
J'ai la chance de ne pas connaître le milieu carcéral, et la description qui en ai faite est pleine de pudeur, de réalisme et d'absence de jugement.
Même si parfois le scénario pourrait paraître convenu, les relations entre les personnages, et c'est le plus important de ce film, sont très bien décrites.
En tout cas j'ai passé un excellent moment.
À aucun moment je n'ai voulu arrêter la vision de ce téléfilm tellement j'avais envie de connaître la suite.
J'ai la chance de ne pas connaître le milieu carcéral, et la description qui en ai faite est pleine de pudeur, de réalisme et d'absence de jugement.
Même si parfois le scénario pourrait paraître convenu, les relations entre les personnages, et c'est le plus important de ce film, sont très bien décrites.
En tout cas j'ai passé un excellent moment.
Philippe Claudel adapte Philippe Claudel. En 2001, alors qu'il soutient sa thèse en littérature française (qui restera inédite, en dépit d'une mention "TB" - avec félicitations unanimes du jury), il publie "Le Bruit des trousseaux" (glaçant, s'il en est, comme "bruit"), un "roman" largement autobiographique, relatant son expérience d'enseignant en prison. 20 ans plus tard, voilà une fiction télévisuelle qui en est tirée, par lui-même.
Et c'est une réussite. De narration. Sans une once de pathos, sur un sujet hautement délicat. Le trentenaire Alexis Pasquier a quitté une carrière prometteuse dans la gestion de patrimoine, pour enseigner (le français) en détention.
On va suivre 1 h 30 durant son apprentissage.... d'homme (bien au-delà du prof). Petites touches pour univers fracassé (les prisonniers - des deux sexes, les gardiens, les collègues : dedans ; mais aussi le vent mauvais de la destinée qui vous fait délinquant, le retour à la liberté impossible : dehors), avec vue pourtant sur "Le ciel est, par-dessus le toit, si bleu, si calme !...". "Sagesse" verlainienne, amour (pour Alexis et Léa, et d'autres, peut-être - espoir/s..).
Réussite aussi de mise en scène, sobre, et de casting, convaincant : Cyril Descours (Alexis) bien sûr, mais aussi, pour n'en citer que deux autres : Wim Willaert ("Rico") et Frédéric Pierrot (le père de Mlle Chartier).
Et c'est une réussite. De narration. Sans une once de pathos, sur un sujet hautement délicat. Le trentenaire Alexis Pasquier a quitté une carrière prometteuse dans la gestion de patrimoine, pour enseigner (le français) en détention.
On va suivre 1 h 30 durant son apprentissage.... d'homme (bien au-delà du prof). Petites touches pour univers fracassé (les prisonniers - des deux sexes, les gardiens, les collègues : dedans ; mais aussi le vent mauvais de la destinée qui vous fait délinquant, le retour à la liberté impossible : dehors), avec vue pourtant sur "Le ciel est, par-dessus le toit, si bleu, si calme !...". "Sagesse" verlainienne, amour (pour Alexis et Léa, et d'autres, peut-être - espoir/s..).
Réussite aussi de mise en scène, sobre, et de casting, convaincant : Cyril Descours (Alexis) bien sûr, mais aussi, pour n'en citer que deux autres : Wim Willaert ("Rico") et Frédéric Pierrot (le père de Mlle Chartier).
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