Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ouest France
par Nathalie Lecornu-Baert
Une nouvelle pépite d'animation.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un bijou.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La peinture d’un patriarcat impitoyable et d’un monde marqué par l’intolérance et l’obscurantisme.
Le Figaro
par Valérie Beck
Malgré la lenteur du récit et son austérité exigeante, on se laisse embarquer, hypnotiser même, par cette fresque naturaliste au rythme des saisons, d’un automne aux couleurs dorées avec ses promesses portées par des oiseaux en pleine migration, à un été au dénouement plus brutal sous la lumière crue d’un soleil zénithal, terrassé par la chaleur et le labeur des moissons.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Envoûtant et oppressant.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Peut-être encore plus bluffant que « La Passion Van Gogh », ce nouveau film marque la rétine avec son récit édifiant et féministe et ses peintures à l’huile mouvantes qui s’animent comme par magie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A quatre mains, DK et Hugh Welchman adaptent un grand classique de la littérature polonaise dans un film d'animation virtuose, aux frontières de la peinture.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Adaptation du prix Nobel "Les Paysans", "La Jeune fille et les paysans" est une plongée saisissante dans la Pologne patriarcale du XIXe siècle, animée grâce à la technique de la rotoscopie, chère aux deux réalisateurs connus pour "La Passion Van Gogh" (2017).
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Une belle jeune fille de la campagne, qui ne manque pourtant pas de prétendants, va épouser un riche veuf bien plus âgé. La prouesse technique de création utilisée sert parfaitement cette terrible histoire tirée du patrimoine polonais.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Fascinant dans sa forme, La Jeune Fille et les Paysans pâtit hélas d’un jeu d’acteurs trop caricatural.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par V. Cau.
Filmé en prise de vues réelles, chaque plan du film repeint à la main par plus de cent artistes immerge le spectateur dans un tableau vivant qui a pour double vertu d’exalter la splendeur de la campagne polonaise du XIXe siècle et de mettre en lumière tout le courant artistique de la Jeune Pologne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
C'est ainsi que l'on découvre l'histoire de Jagna qui refuse un mariage arrangé avec un propriétaire terrien et cherche à s'émanciper. Sa mise au ban de la petite communauté résonne avec une force terrible. Et l'on ne peut qu'admirer la beauté des images, et l'inventivité technique qui la sous-tend.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Lucie Chiquer
Adapté du Prix Nobel de littérature Les Paysans de Wladyslaw Reymont, ce film-tableau fascine d’emblée par la richesse de son animation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Indubitablement, le labeur abattu est colossal, mais cette « picturalisation » du roman de Władysław Reymont accouche d’une forme bizarrement neutre : d’un côté, elle fige l’imagerie paysanne dans une poétique assez niaise, loin de la rugosité solaire de La Terre de Zola, auquel le film fait beaucoup penser. De l’autre, elle lisse les pics de violence dans un entre-deux bâtard (...).
L'Obs
par Nicolas Schaller
Bref, un objet hybride, insolite, mais à moitié convaincant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télé 2 semaines
par Cédric Choukroun
Au-delà d'impressionnantes ambitions esthétiques, l'histoire ennuie.
Télérama
par Cécile Mury
Les « vrais » comédiens, que l’on ne devine que trop, semblent se débattre sous une épaisse croûte de peinture, dans un tableau très académique et maladroitement hybride de la vie rurale d’antan.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Une nouvelle pépite d'animation.
Franceinfo Culture
Un bijou.
Le Dauphiné Libéré
La peinture d’un patriarcat impitoyable et d’un monde marqué par l’intolérance et l’obscurantisme.
Le Figaro
Malgré la lenteur du récit et son austérité exigeante, on se laisse embarquer, hypnotiser même, par cette fresque naturaliste au rythme des saisons, d’un automne aux couleurs dorées avec ses promesses portées par des oiseaux en pleine migration, à un été au dénouement plus brutal sous la lumière crue d’un soleil zénithal, terrassé par la chaleur et le labeur des moissons.
Le Journal du Dimanche
Envoûtant et oppressant.
Le Parisien
Peut-être encore plus bluffant que « La Passion Van Gogh », ce nouveau film marque la rétine avec son récit édifiant et féministe et ses peintures à l’huile mouvantes qui s’animent comme par magie.
Les Echos
A quatre mains, DK et Hugh Welchman adaptent un grand classique de la littérature polonaise dans un film d'animation virtuose, aux frontières de la peinture.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation du prix Nobel "Les Paysans", "La Jeune fille et les paysans" est une plongée saisissante dans la Pologne patriarcale du XIXe siècle, animée grâce à la technique de la rotoscopie, chère aux deux réalisateurs connus pour "La Passion Van Gogh" (2017).
aVoir-aLire.com
Une belle jeune fille de la campagne, qui ne manque pourtant pas de prétendants, va épouser un riche veuf bien plus âgé. La prouesse technique de création utilisée sert parfaitement cette terrible histoire tirée du patrimoine polonais.
La Croix
Fascinant dans sa forme, La Jeune Fille et les Paysans pâtit hélas d’un jeu d’acteurs trop caricatural.
Le Monde
Filmé en prise de vues réelles, chaque plan du film repeint à la main par plus de cent artistes immerge le spectateur dans un tableau vivant qui a pour double vertu d’exalter la splendeur de la campagne polonaise du XIXe siècle et de mettre en lumière tout le courant artistique de la Jeune Pologne.
Le Point
C'est ainsi que l'on découvre l'histoire de Jagna qui refuse un mariage arrangé avec un propriétaire terrien et cherche à s'émanciper. Sa mise au ban de la petite communauté résonne avec une force terrible. Et l'on ne peut qu'admirer la beauté des images, et l'inventivité technique qui la sous-tend.
Première
Adapté du Prix Nobel de littérature Les Paysans de Wladyslaw Reymont, ce film-tableau fascine d’emblée par la richesse de son animation.
Cahiers du Cinéma
Indubitablement, le labeur abattu est colossal, mais cette « picturalisation » du roman de Władysław Reymont accouche d’une forme bizarrement neutre : d’un côté, elle fige l’imagerie paysanne dans une poétique assez niaise, loin de la rugosité solaire de La Terre de Zola, auquel le film fait beaucoup penser. De l’autre, elle lisse les pics de violence dans un entre-deux bâtard (...).
L'Obs
Bref, un objet hybride, insolite, mais à moitié convaincant.
Télé 2 semaines
Au-delà d'impressionnantes ambitions esthétiques, l'histoire ennuie.
Télérama
Les « vrais » comédiens, que l’on ne devine que trop, semblent se débattre sous une épaisse croûte de peinture, dans un tableau très académique et maladroitement hybride de la vie rurale d’antan.