Prequel réussi ! La suite dans le passé s'apprécie. Elle suit les prémices de la "jeune" Esther, devenue adulte dans la vraie vie. L'interprétation des protagonistes fait florès et ne désole pas. Un retour à la hauteur du prédécesseur.
L'actrice est trop âgée, si dans le premier on voyait encore une enfant, dans ce prequel ou elle doit faire plus jeune encore c'est raté, les traits du visage ne mentent pas... Le personnage du père est sans consistance , il ne se passe pas grand chose, je suis un peu déçue. Ça se laisse regarder mais sans plus. Ah et la voix française d'Esther est très très très mauvaise.
Le premier n avait déjà rien d’exceptionnel si ce n’est son pitch, ce prequel ne fonctionne pas du tout. L histoire ne prend jamais, on ne croit pas aux différents personnages, les rebondissements du scénario sont absurdes. Les deux choses qui auraient pu marcher à savoir la malaise de ce personnage d’adulte dans un corps d’enfant et le fait qu Esther se retrouve dans une famille encore plus dérangée qu elle ne fonctionnent ne sont pas ou mal exploitées. Isabelle Fuhrman pas aidé par des maquillages absents n arrive jamais à rendre crédible son personnage. Du coup c est un film sans tension, très paresseux et sans réelles idées ou ambition graphique. C est bien faible et cela devrait mettre déjà fin à cette histoire.
Qu'on se le dise, je suis une grande fan d''Esther". Mais vraiment. Gros coup de coeur pour un film qu'on m'avait spoilé et que j'ai vu en pleine après-midi dans une version pourrie. je l'ai vu mille fois, je l'ai montré à mille personnes et mon amour pour ce film ne tarit pas. Comme beaucoup, j'attendais une suite et j'imaginais déjà, à l'époque, un film retraçant les débuts d'Esther mais en fait... Bon... était-ce réellement utile ? J'ai été heureuse de retrouver Esther et j'ai été impressionnée par Isabelle Fuhrman, adulte, qui joue le rôle d'une petite fille. Rien que pour le rendu, je la félicite, c'était osé et plutôt réussi ! J'ai aussi été contente des rebondissements, je ne m'y attendais pas et ça m'a surprise, moi qui m'attendais à voir une réplique du un dans une autre famille. Mais c'est tout, même si j'ai été contente de retrouver Esther, le film n'apporte rien de plus, il m'a surtout donné envie de voir le premier qui se suffit à lui seul !
Le scénario est suffisamment habile pour maintenir un suspense permanent et ne pas donner à ceux qui ont vu Esther 1 de revoir la même chose. Le réalisateur a réussi à éviter la plupart des clichés, pas tous. Il ne tombe pas non plus dans le gore : c'est la psychologie qui domine. Une note d'humour dans la chute montre qu'il ne se prend pas trop au sérieux. Le petit côté subversif sur la famille américaine bourgeoise est plutôt inhabituel dans cette catégorie de film. Une réussite du genre.
Bof bof, un scénario qui part en sucette autour de l'origine d'Esther, malgré de bonnes idées mal mis en scène. Pourtant le 1er était une très bonne surprise mais l'effet ouahou n'est plus là. Nippon ni mauvais.
Et voilà comment gâcher un premier volet surprenant et bien foutu. Ce faux prequel perd tout ce qui faisait le charme du premier, la surprise d'abord. L'histoire on la connaît maintenant et l'actrice principale ayant vieilli, ça fonctionne forcément moins bien. L'unique twist en revanche relance l'intérêt lorsque les forces en présence s'inversent mais ça ne tient pas bien longtemps puisque tout l'aspect tendu et dark du premier volet est remplacé par du sensationnalisme et des rebondissements exagérés. Ça se laisse suivre tout de même et peut être mieux si on a pas vu l'originel mais ça ne vole pas bien haut.
Drôle d'idée que de faire un prequel 13 ans plus tard en gardant la même actrice qui, aussi douée soit-elle, n'est plus une enfant et cela se voit ! Mis à part ça, le film fait le job en termes de frissons et réserve même quelques surprises. Évidemment, on se doute bien du sort réservé à la famille, étant donné le début du premier... C'est parfois un peu grossier, mais plutôt marrant.
Le Esther fondateur reposait intégralement sur un twist qui avait marqué les esprits en son temps. Sans lui, ‘Esther’ n’aurait été qu’un “film-à-enfant-diabolique” de plus, et pas le plus dégourdi de la portée. Puisque ce twist est aujourd’hui éventé et que le film ne peut donc plus quémander le statut spécial dont ce dernier l’avait gratifié, il fallait imaginer quelque chose qui donne envie au spectateur d’en apprendre un peu plus sur Esther, alors que le plus important est déjà connu. Comme il ne fallait pas trop compter sur William Brent Bell, faiseur compétent mais dont aucun film n’a jamais laissé de traces majeures dans le cinéma fantastique, les scénaristes se sont décarcassés, décarcassés…et ils ont fini par mettre la main sur quelque chose. Leur trouvaille ne marquera sûrement pas autant les esprits, n’apporte pas grand chose au concept - ‘Esther 2’ est un préquelle - mais on ne le voit pas arriver, c’est déjà ça de pris. Reste que quelque part, la logique de fabrication du film est pratiquement devenue plus tordue que le scénario lui-même, étant donné qu’on ne pouvait pas décemment engager une autre actrice qu’Isabelle Fuhrmann pour incarner à nouveau Esther.. Dans le premier film, une gamine de douze ans jouait une psychopathe naine de trente ans qui se faisait passer pour une gamine de douze ans. Dans celui-ci, une actrice adulte joue une psychopathe naine adulte qui se fait passer pour une gamine de douze ans. Evidemment, on note quand même une évolution physique de l’actrice qui fait dire qu’aujourd’hui, Esther est à la fois plus crédible - elle a l’âge de son personnage - et moins crédible - elle n’a pas l’âge que veut paraître son personnage - qu’elle ne l’était dans le premier film. A part ça, le résultat n’est évidemment pas très intéressant mais honnêtement, je m’attendais à bien pire.
Le retour d'Esther ne marquera pas les mémoires. Malgré quelques scènes sanglantes, cela ne suffit pas a sauver le film. On apprend pas grand chose que l'on ne savait déjà pas dans le premier chapitre, hormis le twist concernant la premiere famille d'accueil d'esther, ou on ne s'y attend pas du tout Sinon, l'ensemble du film reste médiocre et prévisible. Dommage.
Esther 2 les origines est un prequelle qu'il faut surtout pas regarder si on a pas vu Esther car on aurait pas envie de le regarder tant ce film entache l'original par un scénario très moyen. De plus l'actrice jouant le rôle d'esther paraît plus vieille ce qui rend pas crédible ce film.
Parmi les enfants maléfiques qui peuplent le cinéma d’horreur, Esther avait marqué les esprits. À condition d’accepter son rajeunissement parfois peu crédible, c’est un plaisir de retrouver Isabelle Fuhrman dans le rôle. La grande qualité de cette suite est de ne pas se contenter de reprendre la structure de son modèle. Un excellent rebondissement vient faire basculer le récit et mettre l’intruse hantant sa famille d’adoption dans une posture inattendue.
Si Leena Klammer vient bien d'un hôpital psychiatrique du fin fond de l'Estonie conformement à ce qui est mentionné dans le 1er film, on apprend ici qu'elle a usurpé l'identité, après son évasion, d'une fillette disparue depuis 4 ans se nommant...Esther (et n'a donc jamais été adoptée depuis la Russie par la famille Sullivan, disparue dans l'incendie de leur maison). L'originalité de ce second volet tient à un twist qui intervient à la moitié du récit, faisant basculer le film et l'éloignant, fort heureusement, d'un vulgaire "copier-coller" du premier. Cet avantage a aussi l'inconvénient de rééquilibrer le rapport de force et de faire perdre de l'intensité au côté démoniaque d'Esther. Malgré tout, la performance d'Isabelle Fuhrman reste respectable (même si évidemment la différence physique est flagrante compte tenu du temps qui sépare les 2 épisodes) car dans l'absolu, on retrouve bien "une psychopathe adulte dans le corps d'une fillette". D'une durée relativement courte, ce prequel se laisse donc regarder et n'est pas inutile (comme c'est souvent le cas), mais il n'atteindra jamais le paroxysme de son prédécesseur (successeur?!)...