Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
Une sublime mise en scène de la parole amoureuse, qui semble agir comme un énoncé quasi performatif : le film construit à partir des mots une projection mentale, un temps et un espace propre à la passion de Yann Andréa et Marguerite Duras.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Transfuge
par Serge Kaganski
Claire Simon capte ces échanges intenses et magnifiques en de voluptueux plans-séquences entre lesquels s’intercalent judicieusement quelques images d’archives de Duras (présence dingue). Elle est servie par un acteur et une actrice sensationnels.
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec Vous ne désirez que moi, Claire Simon rend intemporelle l’emprise amoureuse, mais en choisissant la parole du faible, de l’homme dominé. « Être détruit », dit-il. Comme si la cinéaste créait une archive manquante à l’histoire de Yann A. et Marguerite D.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Claire Simon déroule avec brio les ravages de la passion amoureuse à travers le face-à-face subtil et éclairé de l’amant de Duras, Yann Andréa Steiner, et l’écrivaine Michèle Manceaux. Une œuvre de cinéma magnifique en forme d’hommage au mastodonte littéraire Duras.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Françoise Delbecq
Swann Arlaud impressionne du début à la fin (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
De beaux travellings, des reconstitutions, archives et extraits de films diversifient et dynamisent le propos. Plus qu’un documentaire ou un biopic, Vous ne désirez que moi emporte l'adhésion, au-delà de tout voyeurisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Tournée en huis clos, temps réel et longs plans-séquences par une Claire Simon qui a relevé ce défi impossible : faire d’une interview un film dramatique (à la fois théâtral et poignant), la confession de Yann-Swann est, avant tout, un pur moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
C’est avec le sentiment d’avoir dialogué avec son fantôme qu’on quitte à regret ce très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
De ce tête-à-tête, la cinéaste tire un film qui laisse confondu, sous l’emprise d’un troublant suspense. Un pari de fiction en techniques mixtes, qui porte la marque d’un documentaire de faussaire : s’y exprime la recherche d’une forme de biopic intègre, sans grimage, ni cabotinage mimétique, mais s’autorisant toutes les indiscrétions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Dans ce huis clos théâtral et crépusculaire, c'est l'esprit de Duras qui reprend vie, notamment à travers quelques bouleversantes images d'archives.
Positif
par Bernard Génin
Ce qui se joue là nous dépasse, dépasse même les acteurs. On touche du doigt une sorte de transe à deux.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec un sens aigu des sons et du cadrage, Claire Simon cueille sur le visage de ses protagonistes la moindre nuance.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Grâce à l’intensité de jeu d’Arlaud et Devos, ce film étrange réussit à pousser les meubles du portrait d’écrivain pour faire place à une parole rare et peut-être scandaleuse : l’intelligence de l’homme détruit et, inextricablement, construit par cet amour.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Insérant des images d’archives – un extrait d’India Song, des entretiens, un extrait saisissant du tournage de l’Homme Atlantique – et des dessins qui représentent les scènes de sexe, elle invente un objet hybride qui reste fidèle au réel tout en s’autorisant des pas de côté. À travers cette histoire, elle questionne toutes les formes de domination et de violence dans le couple, habituellement subies par des femmes.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Par les intonations et modulations subtiles de sa voix, la lucidité et la sincérité, Swann Arlaud compose un magnifique personnage, prisonnier volontaire d’une passion mortifère qu’il ne maîtrise pas, dont il a conscience des dangers mais qu’il revendique néanmoins.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
La réussite du film de Simon, dont les deux dernières fictions peinaient à retrouver la grâce de ses documentaires ou de ses premières œuvres entremêlant pleinement et si harmonieusement réel et fiction, tient aussi dans le fait qu’à la suite de Duras et d’Andréa choisissant de vivre leur vie comme un roman.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Complices et posés, les comédiens se livrent au plan séquence avec assez de silences et de précautions pour qu'on prenne la mesure de cette vertigineuse confession intime, qui dévoile une Duras capable du pire : violence, humiliation, homophobie…
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
On regrette néanmoins que le film s'écarte à plusieurs reprises de ce coeur brûlant de la parole, en représentant les rêves des deux personnages (...). Claire Simon prend alors un parti illustratif à rebours complet de l'oeuvre durassienne. On peut à ce titre lui savoir gré de ne pas verser dans le fétichisme à son égard.
Le Parisien
par La Rédaction
Le dispositif du film, basé sur une interview donnée à l’époque par Yann Andréa à une journaliste jouée ici par Emmanuelle Devos, et complété par quelques images d’archives de Duras, semble assez austère. Mais Swann Arlaud le sublime complètement (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Les acteurs sont convaincants, mais l’austérité du film fait que le sujet intéressera surtout les familiers de l’autrice.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Claire Simon semble ainsi ne pas savoir quoi faire du personnage de Manceaux, lui rajoutant des scènes inutiles hors de leur face à face. Mais elle réussit pourtant son pari. Grâce à la composition impressionnante de Swann Arlaud mais aussi à la manière, inventive dont elle réussit à faire vivre hors cadre la figure de Duras.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Sans plus de mise à distance, et surtout en l’absence d’un regard plus affirmé sur le récit torturé d’Andréa, le film semble ne dépendre que de la force du texte qui le fonde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Les banalités s'enchaînent sur un ton assez docte. Swann Arlaud s'en tire comme il peut. Emmanuelle Devos ne fait rien. Duras, elle, reste au rez-de-chaussée. Elle a bien raison.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Une sublime mise en scène de la parole amoureuse, qui semble agir comme un énoncé quasi performatif : le film construit à partir des mots une projection mentale, un temps et un espace propre à la passion de Yann Andréa et Marguerite Duras.
Transfuge
Claire Simon capte ces échanges intenses et magnifiques en de voluptueux plans-séquences entre lesquels s’intercalent judicieusement quelques images d’archives de Duras (présence dingue). Elle est servie par un acteur et une actrice sensationnels.
Télérama
Avec Vous ne désirez que moi, Claire Simon rend intemporelle l’emprise amoureuse, mais en choisissant la parole du faible, de l’homme dominé. « Être détruit », dit-il. Comme si la cinéaste créait une archive manquante à l’histoire de Yann A. et Marguerite D.
aVoir-aLire.com
Claire Simon déroule avec brio les ravages de la passion amoureuse à travers le face-à-face subtil et éclairé de l’amant de Duras, Yann Andréa Steiner, et l’écrivaine Michèle Manceaux. Une œuvre de cinéma magnifique en forme d’hommage au mastodonte littéraire Duras.
Elle
Swann Arlaud impressionne du début à la fin (...).
Franceinfo Culture
De beaux travellings, des reconstitutions, archives et extraits de films diversifient et dynamisent le propos. Plus qu’un documentaire ou un biopic, Vous ne désirez que moi emporte l'adhésion, au-delà de tout voyeurisme.
L'Obs
Tournée en huis clos, temps réel et longs plans-séquences par une Claire Simon qui a relevé ce défi impossible : faire d’une interview un film dramatique (à la fois théâtral et poignant), la confession de Yann-Swann est, avant tout, un pur moment de cinéma.
Les Inrockuptibles
C’est avec le sentiment d’avoir dialogué avec son fantôme qu’on quitte à regret ce très beau film.
Libération
De ce tête-à-tête, la cinéaste tire un film qui laisse confondu, sous l’emprise d’un troublant suspense. Un pari de fiction en techniques mixtes, qui porte la marque d’un documentaire de faussaire : s’y exprime la recherche d’une forme de biopic intègre, sans grimage, ni cabotinage mimétique, mais s’autorisant toutes les indiscrétions.
Marie Claire
Dans ce huis clos théâtral et crépusculaire, c'est l'esprit de Duras qui reprend vie, notamment à travers quelques bouleversantes images d'archives.
Positif
Ce qui se joue là nous dépasse, dépasse même les acteurs. On touche du doigt une sorte de transe à deux.
Sud Ouest
Avec un sens aigu des sons et du cadrage, Claire Simon cueille sur le visage de ses protagonistes la moindre nuance.
Cahiers du Cinéma
Grâce à l’intensité de jeu d’Arlaud et Devos, ce film étrange réussit à pousser les meubles du portrait d’écrivain pour faire place à une parole rare et peut-être scandaleuse : l’intelligence de l’homme détruit et, inextricablement, construit par cet amour.
L'Humanité
Insérant des images d’archives – un extrait d’India Song, des entretiens, un extrait saisissant du tournage de l’Homme Atlantique – et des dessins qui représentent les scènes de sexe, elle invente un objet hybride qui reste fidèle au réel tout en s’autorisant des pas de côté. À travers cette histoire, elle questionne toutes les formes de domination et de violence dans le couple, habituellement subies par des femmes.
La Croix
Par les intonations et modulations subtiles de sa voix, la lucidité et la sincérité, Swann Arlaud compose un magnifique personnage, prisonnier volontaire d’une passion mortifère qu’il ne maîtrise pas, dont il a conscience des dangers mais qu’il revendique néanmoins.
La Septième Obsession
La réussite du film de Simon, dont les deux dernières fictions peinaient à retrouver la grâce de ses documentaires ou de ses premières œuvres entremêlant pleinement et si harmonieusement réel et fiction, tient aussi dans le fait qu’à la suite de Duras et d’Andréa choisissant de vivre leur vie comme un roman.
Le Journal du Dimanche
Complices et posés, les comédiens se livrent au plan séquence avec assez de silences et de précautions pour qu'on prenne la mesure de cette vertigineuse confession intime, qui dévoile une Duras capable du pire : violence, humiliation, homophobie…
Le Monde
On regrette néanmoins que le film s'écarte à plusieurs reprises de ce coeur brûlant de la parole, en représentant les rêves des deux personnages (...). Claire Simon prend alors un parti illustratif à rebours complet de l'oeuvre durassienne. On peut à ce titre lui savoir gré de ne pas verser dans le fétichisme à son égard.
Le Parisien
Le dispositif du film, basé sur une interview donnée à l’époque par Yann Andréa à une journaliste jouée ici par Emmanuelle Devos, et complété par quelques images d’archives de Duras, semble assez austère. Mais Swann Arlaud le sublime complètement (...).
Les Fiches du Cinéma
Les acteurs sont convaincants, mais l’austérité du film fait que le sujet intéressera surtout les familiers de l’autrice.
Première
Claire Simon semble ainsi ne pas savoir quoi faire du personnage de Manceaux, lui rajoutant des scènes inutiles hors de leur face à face. Mais elle réussit pourtant son pari. Grâce à la composition impressionnante de Swann Arlaud mais aussi à la manière, inventive dont elle réussit à faire vivre hors cadre la figure de Duras.
Critikat.com
Sans plus de mise à distance, et surtout en l’absence d’un regard plus affirmé sur le récit torturé d’Andréa, le film semble ne dépendre que de la force du texte qui le fonde.
Le Figaro
Les banalités s'enchaînent sur un ton assez docte. Swann Arlaud s'en tire comme il peut. Emmanuelle Devos ne fait rien. Duras, elle, reste au rez-de-chaussée. Elle a bien raison.