Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Probablement le meilleur film du réalisateur de Sinister à ce jour et assurément le plus flippant.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par La Rédaction
(...) si vous avez déjà vu au cinéma des histoires d’enlèvement, oubliez-les, celle-ci les enterre toutes !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Une excellente surprise.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ethan Hawke parvient à le rendre flippant bien qu’il porte un masque.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Si Black Phone se démarque du tout-venant Jason Blum-esque en collant un cafard d’anthologie, il ne possède pas moins l’efficacité des productions BlumHouse, notamment grâce à la figure du Grabber, incarné par Ethan Hawke (déjà de Sinister l’autre meilleur film de Scott Derrickson).
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Dans un système hollywoodien privilégiant le blockbuster et les élans numériques et/ou pyrotechniques jusqu'à l'overdose, les films Blum […] sembleraient presque obsolètes. Black Phone ne fait pas exception, semblant justement puiser sa force dans cette contrainte […], privilégiant ainsi l'astuce de son scénario très bien bâti et la profondeur de ses personnages plutôt que les effets de peur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Scott Derrickson (Sinister) revient à ce qu’il maîtrise le mieux : un crescendo horrifique, brutal et incarné.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Un bon film qui rallume la flamme de la peur, sans le forcing tapageur auquel nous ont habitués les pétards mouillés du genre. On sursaute peu, mais on a l’intérieur des os qui se serrent – or c’est beaucoup plus difficile d’agir sur l’intérieur des os du public.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre métaphore horrifique sur la pédophilie et thriller psychologique, Black Phone est une franche réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
S’il vire parfois au systématisme et à la pure convention de genre, Black Phone s’impose par une innocence de teen movie se rappelant – jusque dans son aspect vintage – à un genre un peu oublié, celui de la fable banlieusarde fantastique tirant sur l’épouvante des années 80.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Une adaptation un peu laborieuse et finalement relativement anecdotique, qui inquiète tout de même beaucoup lorsqu'elle décrit une Amérique rurale décrépie et hantée par un Ethan Hawke quasi littéralement monstrueux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un huis clos conceptuel, poisseux et malaisant, à la mise en scène épatante, qui ménage des moments de terreur pure.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
À défaut d’exceptionnel et pas toujours finaud, la maison Blumhouse nous jette à la face un slasher parfait pour l’été, où le stress est instauré dès le générique pour ne plus nous lâcher.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Josué Morel
De ce pur canevas kingien, le film tire quelques éclats mais aussi de nombreuses scènes sur courant alternatif, où Scott Derickson ne semble jamais trouver la juste mesure quand il s’agit de faire surgir l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Frédéric Strauss
La noirceur des situations est un défi que le réalisateur doué de Sinister et de Docteur Strange réussit à relever. Mais, en entrant dans le face-à-face avec le tueur sadique, son film devient à la fois moins intéressant dans sa forme et dans son propos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Partant de ces deux constats, le réalisateur de « Sinister », sous la houlette du producteur Jason Blum, grand manitou de l’épouvante à micro-budget, adapte une nouvelle du fils de Stephen King, Joe Hill. Laquelle n’en méritait pas tant, à en juger par la pauvreté du scénario, une apologie du défonçage de gueule comme vecteur d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
On a déjà vu ça mille fois, malgré un Ethan Hawke en tueur sadique affublé d'un masque de démon. Allo ? On raccroche.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Ivre de citations et avare en explications, le nouveau geste horrifique du réalisateur de Sinister est un lent effondrement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Filmsactu
Probablement le meilleur film du réalisateur de Sinister à ce jour et assurément le plus flippant.
Le Parisien
(...) si vous avez déjà vu au cinéma des histoires d’enlèvement, oubliez-les, celle-ci les enterre toutes !
Mad Movies
Une excellente surprise.
20 Minutes
Ethan Hawke parvient à le rendre flippant bien qu’il porte un masque.
CinemaTeaser
Si Black Phone se démarque du tout-venant Jason Blum-esque en collant un cafard d’anthologie, il ne possède pas moins l’efficacité des productions BlumHouse, notamment grâce à la figure du Grabber, incarné par Ethan Hawke (déjà de Sinister l’autre meilleur film de Scott Derrickson).
Culturopoing.com
Dans un système hollywoodien privilégiant le blockbuster et les élans numériques et/ou pyrotechniques jusqu'à l'overdose, les films Blum […] sembleraient presque obsolètes. Black Phone ne fait pas exception, semblant justement puiser sa force dans cette contrainte […], privilégiant ainsi l'astuce de son scénario très bien bâti et la profondeur de ses personnages plutôt que les effets de peur.
Les Fiches du Cinéma
Scott Derrickson (Sinister) revient à ce qu’il maîtrise le mieux : un crescendo horrifique, brutal et incarné.
Libération
Un bon film qui rallume la flamme de la peur, sans le forcing tapageur auquel nous ont habitués les pétards mouillés du genre. On sursaute peu, mais on a l’intérieur des os qui se serrent – or c’est beaucoup plus difficile d’agir sur l’intérieur des os du public.
aVoir-aLire.com
Entre métaphore horrifique sur la pédophilie et thriller psychologique, Black Phone est une franche réussite.
Cahiers du Cinéma
S’il vire parfois au systématisme et à la pure convention de genre, Black Phone s’impose par une innocence de teen movie se rappelant – jusque dans son aspect vintage – à un genre un peu oublié, celui de la fable banlieusarde fantastique tirant sur l’épouvante des années 80.
Ecran Large
Une adaptation un peu laborieuse et finalement relativement anecdotique, qui inquiète tout de même beaucoup lorsqu'elle décrit une Amérique rurale décrépie et hantée par un Ethan Hawke quasi littéralement monstrueux.
Le Journal du Dimanche
Un huis clos conceptuel, poisseux et malaisant, à la mise en scène épatante, qui ménage des moments de terreur pure.
Rolling Stone
À défaut d’exceptionnel et pas toujours finaud, la maison Blumhouse nous jette à la face un slasher parfait pour l’été, où le stress est instauré dès le générique pour ne plus nous lâcher.
Critikat.com
De ce pur canevas kingien, le film tire quelques éclats mais aussi de nombreuses scènes sur courant alternatif, où Scott Derickson ne semble jamais trouver la juste mesure quand il s’agit de faire surgir l’horreur.
Télérama
La noirceur des situations est un défi que le réalisateur doué de Sinister et de Docteur Strange réussit à relever. Mais, en entrant dans le face-à-face avec le tueur sadique, son film devient à la fois moins intéressant dans sa forme et dans son propos.
L'Obs
Partant de ces deux constats, le réalisateur de « Sinister », sous la houlette du producteur Jason Blum, grand manitou de l’épouvante à micro-budget, adapte une nouvelle du fils de Stephen King, Joe Hill. Laquelle n’en méritait pas tant, à en juger par la pauvreté du scénario, une apologie du défonçage de gueule comme vecteur d’émancipation.
Le Figaro
On a déjà vu ça mille fois, malgré un Ethan Hawke en tueur sadique affublé d'un masque de démon. Allo ? On raccroche.
Les Inrockuptibles
Ivre de citations et avare en explications, le nouveau geste horrifique du réalisateur de Sinister est un lent effondrement.