Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Télérama
par Marine Landrot
Cet amour-là s'installe dans une éternité, une apesanteur, une légèreté qui rendent chaque seconde essentielle. (...). Son film (Josée Dayan ) est une valse, douce, langoureuse et sépulcrale, interprétée par deux danseurs d'exception.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Prendre du champ avec la ressemblance fétichisée par des accessoires pour redonner au fantôme de Marguerite Duras la possibilité de hanter en toute liberté le champ du film, voilà ce à quoi ce film surprenant, jamais littéraire, parvient à nous offrir.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Duras - pas l'écrivain, le personnage Duras - est une mine de postures, de mots à l'emporte-pièce, de traits étincelants et de moments indignes, une silhouette, un phrasé, une lyre à faire ses gammes pour cent actrices douées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Peron
Ce projet casse-gueule tient debout. Il marche même plus droit que son héroïne...
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Comme pour respecter l'écriture de Duras, le film se présente en mini-chapitres clos par des fondus au noir. Ne pas vouloir déifier l'écrivain, mais la présenter tour à tour mutine, enjôleuse, tyrannique, infecte, montre toute la complexité du personnage.
Première
par Jean-Baptiste Drouet
Et contre toute attente, son film (Josée dayan), sévèrement bien écrit, touche par l'interprétation de Jeanne Moreau, formidable. Forcément formidable...
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Luc Levesque
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Le film de Josée Dayan, hélas, effleure son sujet, et l'on veut y voir un excès de pudeur. Cet Amour là est un film bien sous tous rapports, pour tous publics et laisse à peine percevoir ce qu'écrivait Duras sur cette liaison exceptionnelle : "Je crois que notre enfer est exemplaire."
Cine Libre
par Jean-Julien Primack
Cet amour-là sans être un chef-d'oeuvre loin sans faut, réserve de bonnes surprises.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Figaroscope
par La rédaction
Jeanne Moreau est remarquable dans cette histoire d'amour peu ordinnaire mais un peu longuette.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Marguerite Duras écoutant en boucle "Capri, c'est fini", la larme à l'oeil et les lèvres tremblotantes, il falait oser. José Dayan l'a fait (...). Le tout ne manque que d'un peu de souffle pour tenir la route de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
L'échec du film tient à l'absence d'un rythme "moderato cantabile" qui entraînerait chacun des protagonistes hors de la fonction qui lui est assignée (...), pour mieux saisir leur mouvement commun, ce qu'ils ont, à deux, réussi à vivre : une passion indéchiffrable.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Cet amour-là, c'est Un Gars, une fille version glauque et gérontophile, avec l'écriture en toile de fond Marguerite apprend à conduire à Yann, qui est vraiment un gros nul au volant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Novaplanet.com
par Alex Masson
Moreau dans la peau d'une Marguerite effeuillée presque aussi drôle que Karl Zéro en col roulé rouge. Il est peut-être temps d'interdire à Josée Dayan l'accès aux bibliothèques.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Télérama
Cet amour-là s'installe dans une éternité, une apesanteur, une légèreté qui rendent chaque seconde essentielle. (...). Son film (Josée Dayan ) est une valse, douce, langoureuse et sépulcrale, interprétée par deux danseurs d'exception.
Cahiers du Cinéma
Prendre du champ avec la ressemblance fétichisée par des accessoires pour redonner au fantôme de Marguerite Duras la possibilité de hanter en toute liberté le champ du film, voilà ce à quoi ce film surprenant, jamais littéraire, parvient à nous offrir.
Le Monde
Duras - pas l'écrivain, le personnage Duras - est une mine de postures, de mots à l'emporte-pièce, de traits étincelants et de moments indignes, une silhouette, un phrasé, une lyre à faire ses gammes pour cent actrices douées.
Libération
Ce projet casse-gueule tient debout. Il marche même plus droit que son héroïne...
MCinéma.com
Comme pour respecter l'écriture de Duras, le film se présente en mini-chapitres clos par des fondus au noir. Ne pas vouloir déifier l'écrivain, mais la présenter tour à tour mutine, enjôleuse, tyrannique, infecte, montre toute la complexité du personnage.
Première
Et contre toute attente, son film (Josée dayan), sévèrement bien écrit, touche par l'interprétation de Jeanne Moreau, formidable. Forcément formidable...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Le film de Josée Dayan, hélas, effleure son sujet, et l'on veut y voir un excès de pudeur. Cet Amour là est un film bien sous tous rapports, pour tous publics et laisse à peine percevoir ce qu'écrivait Duras sur cette liaison exceptionnelle : "Je crois que notre enfer est exemplaire."
Cine Libre
Cet amour-là sans être un chef-d'oeuvre loin sans faut, réserve de bonnes surprises.
Le Figaroscope
Jeanne Moreau est remarquable dans cette histoire d'amour peu ordinnaire mais un peu longuette.
TéléCinéObs
Marguerite Duras écoutant en boucle "Capri, c'est fini", la larme à l'oeil et les lèvres tremblotantes, il falait oser. José Dayan l'a fait (...). Le tout ne manque que d'un peu de souffle pour tenir la route de bout en bout.
Urbuz
L'échec du film tient à l'absence d'un rythme "moderato cantabile" qui entraînerait chacun des protagonistes hors de la fonction qui lui est assignée (...), pour mieux saisir leur mouvement commun, ce qu'ils ont, à deux, réussi à vivre : une passion indéchiffrable.
Chronic'art.com
Cet amour-là, c'est Un Gars, une fille version glauque et gérontophile, avec l'écriture en toile de fond Marguerite apprend à conduire à Yann, qui est vraiment un gros nul au volant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Novaplanet.com
Moreau dans la peau d'une Marguerite effeuillée presque aussi drôle que Karl Zéro en col roulé rouge. Il est peut-être temps d'interdire à Josée Dayan l'accès aux bibliothèques.