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Curieux film nostalgique et lent, cousin fantomatique de certains pamphlets des années 70, (...) mais des ellipses permanentes empêchent le réalisateur, qui n'a pas le brio de ses glorieux aînés, de réussir un film totalement intense et troublant. Reste Pacino, prodigieux jusque dans les scènes finales, où il semble inconscient de jouer sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Inégal, (...) le film devient réellement attachant quand il se focalise sur son personnage central pour dresser le portrait subtil et enivrant d'un homme brisé qui a dédié sa vie à nettoyer celle des autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Al Pacino n'est plus que le fantôme de lui-même. De toute façon, cela avait mal commencé. Comment croire à un monde où Ryan O'Neal serait une star oscarisée et Al Pacino un inconnu ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour sa première fiction d'envergure, Daniel Algrant échoue au beau milieu des rogatons, dans le cul de basse fosse estival. (...) Présent dans 99% des plans, Al Pacino joue, sous tous les angles, un type fourbu et lucide qui, au crépuscule de sa carrière, se lance un défi dont il aurait pu faire l'économie.
Derrière la caméra, Daniel Algrant semble lui aussi happé par le charisme de sa star. Menant son histoire à rythme lancinant, il passe complètement au travers du scénario. Difficile dans ces conditions de prendre un quelconque plaisir à suivre cette intrigue trop sombre (...)
Télérama
Curieux film nostalgique et lent, cousin fantomatique de certains pamphlets des années 70, (...) mais des ellipses permanentes empêchent le réalisateur, qui n'a pas le brio de ses glorieux aînés, de réussir un film totalement intense et troublant. Reste Pacino, prodigieux jusque dans les scènes finales, où il semble inconscient de jouer sa vie.
Les Echos
Al Pacino est grand. Il cabotine et on aime ça, dans ce polar à message gentiment efficace.
Première
Inégal, (...) le film devient réellement attachant quand il se focalise sur son personnage central pour dresser le portrait subtil et enivrant d'un homme brisé qui a dédié sa vie à nettoyer celle des autres.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Al Pacino n'est plus que le fantôme de lui-même. De toute façon, cela avait mal commencé. Comment croire à un monde où Ryan O'Neal serait une star oscarisée et Al Pacino un inconnu ?
Libération
Pour sa première fiction d'envergure, Daniel Algrant échoue au beau milieu des rogatons, dans le cul de basse fosse estival. (...) Présent dans 99% des plans, Al Pacino joue, sous tous les angles, un type fourbu et lucide qui, au crépuscule de sa carrière, se lance un défi dont il aurait pu faire l'économie.
MCinéma.com
Derrière la caméra, Daniel Algrant semble lui aussi happé par le charisme de sa star. Menant son histoire à rythme lancinant, il passe complètement au travers du scénario. Difficile dans ces conditions de prendre un quelconque plaisir à suivre cette intrigue trop sombre (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le film est finalement à l'image de son héros : neurasténique et enfumé.