Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ciné Live
par Gwen douguet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
par Isabelle Danel
Wayne Wang s'approche des corps et de leurs frémissements, dévoile des âmes qui rechignent à se laisser déshabiller. Le ballet qu'il filme, envoûtant, érotique, masque à peine la tristesse du propos. Insidieuse et tenace comme un crachin glacé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Gilbert Louis
(...) rien de bien joyeux dans cette histoire où l'on apprend que l'argent ne fait pas le bonheur et que les cœurs ne s'achètent pas aussi aisément que les corps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
(...)la déception est à la mesure de l'espoir suscité pour un spectateur venu regarder le film érotique de l'été.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azouri
Complètement à côté de la plaque, le film n'est à vrai dire au centre de rien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
(...) le résultat n'est pas à la hauteur des espérances, même si l'image DV et une excellente bande originale donnent au film un côté « branchouille » (...)
Première
par Gérard Delorme
Tourné en vidéo avec deux acteurs peu ou pas habillés, il (le film) prétend quand même parler un peu de la grande solitude de la vie moderne. En fin de compte, il n'arrive à délivrer qu'une pile de banalités insipides dans un décor déprimant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
Sa façon de filmer les scènes de «baise non-baise» distille un malaise très peu sensuel, peut-être intentionnel. (...) . On n'en tire pour tout profit qu'un goût de cendre froide et de chair triste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) un film très ennuyeux, bavard et vain, prétendument provocant (...) mais au final plus pudibond que soft jusqu'à en être gênant de vacuité, étouffant ce qu'il a à dire sous des cache-sexe faussement transparents.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
Wayne Wang s'approche des corps et de leurs frémissements, dévoile des âmes qui rechignent à se laisser déshabiller. Le ballet qu'il filme, envoûtant, érotique, masque à peine la tristesse du propos. Insidieuse et tenace comme un crachin glacé.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) rien de bien joyeux dans cette histoire où l'on apprend que l'argent ne fait pas le bonheur et que les cœurs ne s'achètent pas aussi aisément que les corps.
Le Monde
(...)la déception est à la mesure de l'espoir suscité pour un spectateur venu regarder le film érotique de l'été.
Libération
Complètement à côté de la plaque, le film n'est à vrai dire au centre de rien.
MCinéma.com
(...) le résultat n'est pas à la hauteur des espérances, même si l'image DV et une excellente bande originale donnent au film un côté « branchouille » (...)
Première
Tourné en vidéo avec deux acteurs peu ou pas habillés, il (le film) prétend quand même parler un peu de la grande solitude de la vie moderne. En fin de compte, il n'arrive à délivrer qu'une pile de banalités insipides dans un décor déprimant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Sa façon de filmer les scènes de «baise non-baise» distille un malaise très peu sensuel, peut-être intentionnel. (...) . On n'en tire pour tout profit qu'un goût de cendre froide et de chair triste.
Urbuz
(...) un film très ennuyeux, bavard et vain, prétendument provocant (...) mais au final plus pudibond que soft jusqu'à en être gênant de vacuité, étouffant ce qu'il a à dire sous des cache-sexe faussement transparents.